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Page 1:  · => Plan d’action chlordécone en Martinique et en Guadeloupe => Plan stratégique national de prévention des infections associées aux soins => Programme national de prévention

LLAA GGAAZZEETTTTEEDDEE LLAA MMAAIISSOONN SSAAIINNTT JJOOSSEEPPHH

GazettepriméeparleConservatoireFrancophonedesJournauxd'Etablissementsen2000

Des spectacles

Joyeux

Noël!

44èèmmeettrriimmeessttrree22001122

Des festivités !

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SOMMAIRE

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EEddiittoorriiaall

Avec une certaine émotion, je profite de cette Gazettede début janvier pour souhaiter à chacun de vous,chers lecteurs, une excellente année 201 3.

Je m'adresse en premier l ieu à nos résidents à qui jesouhaite de vivre une année sereine et de supporteravec courage les misères plus ou moins importantes et éprouvantes qui sonthélas le privi lège de leur âge, mais que notre personnel s'efforce autant quepossible d'al léger et de tempérer.

Aux membres de notre personnel dont la compétence et le dévouement suscitentchez moi une constante admiration, je souhaite qu'i l puissent mesurer la beautéet la juste valeur de leur tâche quotidienne qui vise à assurer un « meil leur-être »à des personnes qui, dans le passé, avaient el les-mêmes apporté à la collectivitéle fruit de leur courage, de leur passion et de leur savoir-faire professionnel.

Je dis aussi mes vœux amicaux aux famil les de nos résidents, et particul ièrementà toutes les personnes qui viennent ici régul ièrement visiter leurs parents et amis.L'ambiance famil iale à laquelle el les participent, ainsi que leur aide affectueuseconstituent un précieux secours autant pour les résidents que pour notrepersonnel.

Ce n'est pas sans raison que j'ai employé le mot « émotion » au début de cemessage. En effet, vous l isez aujourd'hui le dernier des éditoriaux que j'ai eus àrédiger en tant que président de notre association. Ainsi que l 'annonce en a étéfaite lors de la visite récente de Monsieur le Maire de Mazamet, un Conseild'Administration et Assemblée générale de l 'Association Galibert-Ferret m'ontautorisé à passer le témoin à mon ami Michel Camanès qui est donc devenu lePrésident de notre établissement. Je lui dis toute ma reconnaissance. MichelCamanès avec lequel j 'entretiens depuis longtemps des liens amicaux, est unhomme de grande qualité, compétent et expérimenté. Dans les diffici lescirconstances actuel les i l mettra son énergie et ses capacités au service de notreassociation qu'i l fera évoluer dans l 'esprit que ses fondateurs et leurssuccesseurs ont imprimé au fi l des années. I l a toute ma confiance, i l auraassurément la vôtre, et je lui souhaite d'avoir à ce poste d'aussi grandessatisfactions que celles que j'ai eu, moi-même, la chance d'y trouver.

A lui, comme à vous tous, je souhaite donc une très bonne année 201 3,

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BBoonnààssaavvooiirr

Plan Alzheimer : Le Président de la République le prolonge.

Vous ne le savez pas peut être pas, mais lasimplification de notre société, dans sarecherche permanente d'efficacité, utilise lanotion de PLANS. Il en existe de toute nature.En Santé Publique, il existe un livre des plansque je vous prie de trouver sur le lien INTERNETci-dessous :http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/Livre_des_plans_sante_publique_2011_BD.pdf

Voici quelques lignes édifiantes de l'introduction :" l'objectif du Livre des plans est d’offrir unpanorama de l’ensemble des plans nationaux desanté. Il a été conçu comme un outild’information à partager largement .../... pour quiil est souvent difficile de connaître l’ensemble dela programmation nationale. .../... Il est toutefoisnécessaire de préciser que le présent recueiln’englobe pas l’ensemble des plans qui ont traità la santé des individus .../... En ce qui concernele livre des plans, l'activité de programmation estsi constante qu'une actualisation année parannée ne permet pas un suivi assez étroit.L’objectif de cet ouvrage, uniquement distribuépar voie électronique, sera désormais d’êtreconstamment réactualisé "

Une recherche rapide et non exhaustive surInternet permet d'en citer quelques uns que jesoumets à votre attention :=> Plan national VIH/Sida IST 2010-2014(ministère chargé de la santé).=> Programme national nutrition santé 2011-2015 (ministère chargé de la santé).=> Plan Obésité 2010-2013 (ministère chargé dela santé).=> Plan psychiatrie et santé mentale 2011-2015(ministère chargé de la santé).=> Plan Greffe 2012-2016=> Plan Autisme 2008-2010=> Plan Alzheimer et maladies apparentées2008-2012=> Plan solidarité grand âge (2007-2012)=> Plan VIH/Sida IST 2010-2014=> Plan d'amélioration de la Qualité de vie despersonnes atteintes de maladies chroniques

2007-2011=> Plan Cancer 2009-2013=> Programme d’actions en faveur de labroncho-pneumopathie chronique obstructive(BPCO) 2005–2010=> Plan d’actions national « accidentsvasculaires cérébraux 2010-2014=> Plan national maladies rares 2010-2014=> Plan national santé environnement=> Plan d’amélioration de la prise en charge dela douleur 2006-2010=> Programme de développement des soinspalliatifs 2008-2012=> Plan d’actions stratégiques 2010-2014,Politique de santé pour les personnes placéessous main de justice=> Plan national de prévention par l’activitéphysique ou sportive (PNAPS - 2008)=> Plan national de prévention et de lutte «pandémie grippale »=> Plan blanc et Plan Blanc élargi=> Plan national canicule, Plan grand froid –plan hiver=> Plan de santé au travail 2010/2014=> Plan de prévention des accidents de la viecourante=> Plan d’action chlordécone en Martinique eten Guadeloupe=> Plan stratégique national de prévention desinfections associées aux soins=> Programme national de prévention desinfections nosocomiales 2009-2013=> Plan national de lutte contre hépatites B et C=> Programme de lutte contre la tuberculose=> Plan d’élimination de la rougeole et de larubéole congénitale en France=> Plan pour préserver l'efficacité desantibiotiquesDevant tant d'efforts intellectuels que jerespecte, devant tant de complexité que j'ai dumal à maitriser, je proposerai bien un proverberassurant, Italien :" On ne va jamais aussi loin que lorsqu'on nesait pas où l'on va" (Christophe Colomb 1450-1506).

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BBoonnààssaavvooiirr

Comme vous le savez, la maison deretraite Saint-Joseph, le serviced'hébergement temporaire "Entre-temps", son service d'aide àdomici le, son unité Alzheimer, sarésidence, son hébergement socialsont des activités gérées par uneassociation sans but lucratif type Loi1 901 : "l 'association Galibert-Ferret"créée en 1 924 officiel lement.

L'intérêt d'un tel "outi l" dans lepaysage français est d'une part derespecter une liberté d'entreprendreouverte à toute personne morale,d'autre part d'affirmer qu'i l y a unrisque à gérer les services destinés àdes publics fragiles, sans capacité dese défendre, comme des clients(secteur marchand, dictat de lalogique du marché et du clientél isme)ou comme des administrés ouusagers (service public, dictat de l 'éluou de la bureaucratie administrative).

Qu'i l ne soit pas compris dans cesquelques l ignes ci-dessus que lesecteur associatif est angélique, ouque le secteur marchand ou publicsoit l 'inverse. Dans le secteur publicou marchand, i l existe toujours desindividus (ou groupes) capables demesurer l 'intérêt des règles, qui lesadaptent au quotidien dans l 'intérêtdes plus fragiles d'entre nous. Cen'est pas un appel à ladésobéissance citoyenne, mais unconstat. Par ail leurs, le mondeassociatif engagé dans le médico-social comprend des associationsbien éloignées de l'association desolidarité, et dont l 'intérêt égoïste estle moteur d'action.

Diffici le donc, pour le profane, de s'yrepérer. Cependant, avec un peud'attention, de vigi lance, de rigueuret de questionnement, c'est tout àfait possible.

Le poids du secteur associatif sansbut lucratif est souvent mésestimé :=> les associations et mutuel lesgèrent environ 27,5% de l’offrehospital ière, soit 782 établissementssur 2 838 structures.=> Secteur Handicap : 83% de l’offrede service aux enfants et adultessouffrant d’un handicap est née del’ initiative désintéressée.=> Secteur Personne âgée : Lesassociations, mutuel les etcongrégations gèrent 29% desétablissements.=> Secteur de la lutte contrel 'exclusion et la pauvreté : El les nereprésentent pas moins de 84%.=> Secteur de l 'accueil de la petiteenfance : 30% de l’offre nationale.=> Secteur des jeunes en danger :Aide sociale à l ’enfance (ASE), 80%des capacités d’accueil (Maisonsd’enfants à caractère social, foyersde l’enfance, l ieux de vie,pouponnières à caractère social).Dans le domaine judiciaire, el lesgèrent ainsi près de 82% desétablissements et services, soit 1330 structures.

(sources UNIOPSS, http: //www.saint-joseph.asso.fr/images/stories/plaquette_macif_uniopss_juin2011 .pdf )

BM

Les associations sociales et médico-sociales : Quel poids ?

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BBoonnààssaavvooiirr

Admission à l'aide sociale :Le numéro 2775 du magazine ASH (actualités sociales hebdomadaires) du22 septembre 2012 est un dossier complet sur l'admission à l'aide sociale :acteurs, conditions et procédures. Disponible au bureau du Directeur, surdemande.

Introduction : L'aide sociale est un élément important à l'EHPAD Saint-Joseph. Par exemple, c'est environ une vingtaine de personnes qui sont àl'aide-sociale hébergement. L'aide sociale en France est un ensemble deprestations, en nature ou en espèce, destinées à faire face à un état debesoins pour des bénéficiaires dans l'impossiblité d'y pourvoir. Cedispositif est né à la révolution, et il a survécu à la naissance de la Sécurité

Sociale en 1945. Il trouve ses fondements juridiques contemporains dans le Décret du 29 novembre1953 portant réforme des loi d'assistance. Le secours de la Nation devient alors un droit, en mêmetemps qu'apparait le vocable "d'aide sociale".

Définition : L'aide sociale se distingue des prestations d'assurances sociales qui supposent unecontrepartie du bénéficiaire, généralement sous la forme d'une cotisation, et des prestations d'actionsociale qui se caractérisent par "la libre initiative de ses promoteurs, publics, semi-publics ou privés".

Outre le caractère obligatoire de l'aide-sociale, celle-ci se définit par l'existence :=> d'un droit alimentaire, c'est à dire que la mise en oeuvre est étroitement rattachée à la notion de"besoin". L'aide sociale apparait en ce sens comme le prolongement du code civil.=> d'un droit subsidiaire dans la mesure où l'aide sociale n'intervient que si le demandeur ne peutsatisfaire le besoin par ses propres moyens ou par la mise en oeuvre de ses droits sociaux ou desdroits dont il dispose dans le cadre de la solidarité familiale.=> d'un droit subjectif car étroitement attaché aux caractèristiques de l'individu et reconnu par le droitobjectif comme une prérogative individuelle.

En pratique :Ces caractéristiques impliquent que les prestations sont soumises à conditions de ressources,tiennent des droits alimentaires du demandeur, et les aides allouées sont susceptibles d'êtrerécupérées.

Aide et actions sociales

Les différentes Prestations :

Prestation d'aide sociale à l'enfance :Prestation d'aide sociale en faveur despersonnes âgées :* Aide ménagère* Hébergement* Allocation personnalisée autonomiePrestation d'aide sociale en faveur despersonnes handicapées :* Aide ménagère* Hébergement

* Prestation de compensation du handicap* Allocation aux adultes handicapés (AAH) etallocation d'éducation de l'enfant handicapé(AEEH)* les accessoires à l'AAH et à l'AEEHPrestation relevant du domaine de la santé* Couverture maladie universelle* Couverture maladie universellecomplémentaire* Aide médicale de l'EtatLe revenu de solidarité active

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DDiirreeccttiioonn

IInnffoorrmmaattiioonnssddee

LLaa DDiirreeccttiioonn

LLaa MMaaiissoonn SSaaiinntt JJoosseepphh ::

RRééssiiddeennccee,, UUnniittéé AAllzzhheeiimmeerr,,

MMaaiissoonn ddee rreettrraaiittee

mmééddiiccaalliissééee,,

AAccccuueeiill ddee jjoouurr,,

HHéébbeerrggeemmeenntt tteemmppoorraaiirree......

Nous vous informions dansles numéros précédents dela création de notre serviced'hébergement temporaire,suite à la décisionconjointe du Conseil

Général du Tarn et de l'Agence Régionale deSanté (ARS) et conformément au contenu de laconvention tripartite.Ce service "Entre temps" prenait laplace de notre activité historiqued'hébergement temporaire. Un projetde service a été créé, le serviceréfléchi et amélioré, les logementsadaptés. Si l'on peut regretter, en2012, l'absence de financement en année pleinede cette activité, c'est sur la base de cettepromesse de financement que le projet a puaboutir. Nous sommes toujours dans l'attente dela visite de conformité du fait des pouvoirspublics dans l'impossibilité de trouver du tempspour cette formalité.En matière de communication,l'objectif était d'être discret afin depermettre une montée en chargeprogressive. Le Conseil de la VieSociale de la Maison de retraite(EHPAD) a été informé, le siteinternet modifié avec une demande en lignepossible.Depuis la mise en place du nouveau service, lademande a fortement augmenté, et c'est un hautniveau de satisfaction que nous constatons.

Certes la raison tient surement à l'améliorationdu service rendu :=> D'abord la capacité de répondre à l'urgence.Ce service est en capacité d'accepter lapersonne à 18h si la demande a été faite à 17h,par exemple. Un logement est dédié à cetaccueil d'urgence et est en permanencedisponible sous réserve qu'il ne s'agisse qued'une seule urgence par jour (logement 371).

=> La nuitée. Le service peut accueillirpour des séjours d'une nuit à un moisrenouvelable par décision de lacommission multidisciplinaire.=> tout est compris en cas d'urgence. Unnécessaire comprenant affaires de

toilette, hygiène dentaire, drap est fourni.=> Grâce aux financements des pouvoirspublics, ce tarif est moins cher qu'un hôtel (40euros par jour + dépendance), et il comprend lesrepas ou régimes, la prise en charge des soins,l'aide aux gestes quotidiens de la vie, la

surveillance de l'état de santé, l'évaluationet la coordination, l'animation, les produitspour incontinence, TV, WIFI, bientôt letéléphone. L'objectif est d'inciter lesfamilles à utiliser l'hébergementtemporaire afin de souffler un peu, de seprotéger, de prendre soin de soi, de

répondre à une situation d'urgence.Plus d'informations : http://www.saint-joseph.asso.fr/accueil-sequentiel/tarifs-hebergement-temporaire.html

Hébergement temporaire "Entre temps" : le succès

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DDiirreeccttiioonn

AAccttiioonn pphhiillaannttrrooppiiqquuee"" LLeess ssoouuttiieennss ddee SSaaiinntt--JJoosseepphh -- MMaazzaammeett ""

Convivage Tarn-Sud :

=> C'est quoi ?Association Loi 1901 ayant pour objet« d'Améliorer, avec d'autres, le quotidiendes Ainés et des Personnes handicapéesafin de favoriser le Bien Vieillir et le VivreEnsemble. »Pour satisfaire ce projet collectif d'intérêtgénéral, l'association se donne pour buts:- d'assurer une vigilance concernant les besoins et la satisfa ctiondes personnes âgées et handicapées, dans le cadre des servic esrendus- de donner la parole aux personnes âgées et handicapées, et d e lesreprésenter- de donner la parole aux divers acteurs (mairies, établissemen ts,professions libérales, services, fédérations et associationsmilitantes...)- d'être un interlocuteur privilégié de l’Etat et des Collectivité sterritoriales de par sa représentation et sa connaissance du terr itoireet du terrain,- de mener des actions d’observation sur le territoire, en fonction del’actualité et des besoins ressentis,- d'animer des groupes de réflexion et d'études afin d’améliore r laprise en charge des personnes âgées et personnes handicapée s.- de favoriser le travail en réseau et la mutualisation des moyens- de mener ou susciter toutes actions améliorant la situation despersonnes âgées et des personnes handicapées=> Site internet : Pas de site, en projet actuellement.=> Pourquoi soutenir ?- Promouvoir un bien vieillir et un vivre ensemble sur le Tarn Sud.- Améliorer l'écoute des difficultés des retraités, autant à domic ilequ'en établissement.- favoriser la culture et le travail en réseau, centré sur le parco urs dela personne.=> Comment et qui ? Présidence de l'association : Bruno Marten- Hébergement siège social. prêt salle réunion.

=> ActualitésFil Rouge : la dépendance, soutien magazine 2° semestre 2012 dumagazine "sur le banc" (subvention)Bureau 18 janvier 2013Conseil d'administration 1 février 2013Campagne d'adhésion en 2013Assemblée générale 5 avril 2013

AJRT Journal "Surle Banc" :

=> C'est quoi ?L'association pour le journal des résidents de maison de retrai te duTarn, dite AJRT diffuse gratuitement, et réalise un journal nommé" Sur le Banc ".Il est réalisé par des résidents de maisons de retraite et foyerslogements, accompagnés des animatrices de ces mêmesétablissements soutenus par des bénévoles et professionnels(directeurs, médecins, géronto-psychologues, infirmiers,secrétaires...).C'est une édition gratuite semestrielle à 1700 exemplaires. Ce j ournala été primé lors des Journées de la Francophonie à Genève enoctobre 2007 et par le Conseil Général du Tarn en 2011. Il contin uegrâce au soutien de tous, résidents, animatrices, directeurs,professionnels...

=> Site internet :http://ajrt.org

=> Pourquoi soutenir ?- Offrir aux résidents la possibilité de "se raconter" et d'écrir e.- Synergie avec la Gazette de Saint-Joseph.- Travail en réseau avec les animatrices des autres établisseme nts.- devoir de mémoire vis à vis de nos ainés.

=> Comment et qui ? Danièle Lagoute, Bruno Marten- Trésorerie de l'association- Comité de rédaction du journal- Gestion du site internet

=> Actualités

Revues en ligne http://ajrt.orgLe thème du prochain numéro "Remèdes et astuces d'autrefois"Assemblée Générale le 4 avril 2013 (Voir site http://ajrt.org)

URIOPSS Midi-Pyrénées :=> C'est quoi ?C'est l'Union Régionale des Organismes PrivésSanitaires et Sociaux à but non lucratif, quirassemble environ 250 établissements et services.Elle a pour objectif notamment d'unir lesassociations pour développer les solidarités enMidi-Pyrénées. Depuis 1947, l’Uniopss (Unionnationale interfédérale des œuvres et organismesprivés non lucratifs sanitaires et sociaux) unit,défend et valorise le secteur non lucratif desolidarité.=> Site internet : http://www.uriopss-midipyrenees.asso.fr/=> Pourquoi soutenir ?- Observer de l'intérieur les réelles difficultés de mise en oeu vre despolitiques publiques à destination des populations fragiles,indépendamment de l'influence des pouvoirs politiques, admi nistratifs,commerciaux et financiers.- Assumer les devoirs de vigilance, de faire, de dire, de restau rer laparole.- Promouvoir la structure associative LOI 1901 comme organisati onéthique et indépendante pour gérer les établissements à destinati on depublics fragiles et/ou démunis.- favoriser l'existence d'associations locales, gestionnaire sd'établissements et de services à taille moyenne, afin de permettr e auxcitoyens locaux d'être acteurs et auteurs, favorisant ainsi la dé mocratieet le "vivre ensemble".- Travailler en réseau et mutualiser afin d'éviter les regroupe ments àtailles inhumaines délocalisant les pouvoirs de décisions,d'innovations et d'engagements citoyen et de solidarité.=> Comment et qui ? Michel CAMANES, Bruno MARTEN- adhésion et cotisation annuelle- participation et soutien aux évênements organisés par l'URIOP SS- membre du comité régional,- participation à la commission personnes âgées- mandat de représentation au sein du territoire de santé du Tarn da nsle cadre de l'ARS Midi pyrénées=> Actualités- Nouveau conseiller technique des pôles personnes âgées, sa nitaire etaide à domicile : Geoffrey YONNET-SARRAT- Commission URIOPSS, établissements et services pour person nesâgées, 7 décembre 2012.- Comité Régional de l’URIOPSS Midi-Pyrénées Vendredi 15 févrie r2013

Ail-Network du Pays d'Autan :=> C'est quoi ?Ail-Network est uneassociation déclarée auprèsde l'A.R.C.E.P. en tantqu'opérateur et fournisseurd'accès internet. Laparticularité "d'Ail-Network du Pays d'Autan" est de promouvoir uninternet local, libre, solidaire et citoyen sur le territoire du Paysd'Autan, Tarn Sud-Est.La charte :=> Fédérer, rassembler, mutualiser des organisations et despersonnes autour des valeurs de citoyenneté, de territoire, desolidarité=> Conjuguer l'intérêt général et les intérêts particuliers=> Offrir l'accès internet sur des zones mal couvertes et/ou à destarifs à prix coutant=> Agir pour la neutralité du réseau internet=> Favoriser localement le développement des compétences=> Innover avec volontarisme et pragmatisme=> Participer à un développement économique s'appuyant sur d espartenariats équilibrés entre les acteurs publics et privés.=> Sensibiliser, éduquer, prévenir et surveiller les dange rs destechnologies de l'information (vie privé, wifi...).=> Construire l'autonomie du réseau A.I.L. Network, tout en tissa ntdes liens avec les acteurs éthiques de l'Internet=> Favoriser le bénévolat, l'action citoyenne, les liens entre l eshabitants d'un territoire=> Site internet : http://ail-network.org=> Pourquoi soutenir ?- Lutter contre les zones où l'accès à internet est limité ou troponéreux, afin de garantir l’égal accès de tous à l’instruction, laformation professionnelle, la culture et aux conditions nécessa ires àson développement.- Développer la maitrise des réseaux informatiques et des systèm esd'informations.- Participer au développement de compétences locales

=> Comment et qui ? Présidence de l'association : Bruno MARTEN- Gestion du site internet, avance de trésorerie.- Hébergement siège social, prêt locaux, accès internet fibre

=> Actualités (voir site http://ail-network.org )- Assemblée Générale 22 janvier 2013, nouveau bureau (NicoleFANTOU, Anne DANNENBERG, Bruno MARTEN)- Passage à la fibre, augmentation des adhérents, conventions,adhésion FFDN

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DDiirreeccttiioonn

C'est sur le fondement du guide 2007 desbonnes pratiques en EHPAD, produit parDirection Générale de la Santé, la DirectionGénérale de l’Action Sociale et la SociétéFrançaise de Gériatrie et Gérontologie que laMaison Saint-Joseph avait pour projet "de limiterà douze heures maximum le délai entre le repasdu soir et le petit-déjeuner". Par ailleurs, lesdernières études scientifiques témoignent de laperte musculaire (sarcopénie) chez les patientsdont les repas sont espacés de plus de douzeheures.

Comme annoncé, c'est au 1° octobre que lechangement a été opéré. Le moment opportunétait constitué par les changements de planningsuite à la mise en oeuvre de la nouvelle unitéAlzheimer.Certaines familles ont été mécontentes,témoignant de leurs difficultés à comprendrel'intérêt de ces horaires, et cela malgrél'information donnée. Il est à noter que certainsrésidents apprécient de manger tôt.

Tout est maintenant paisible, ou presque.

LLeess rrééaalliissaattiioonnss dduu ddeerrnniieerr ttrriimmeessttrree 22001122

LL''hhoorraaiirree dduu rreeppaass dduu ssooiirr eesstt ppaasssséé ddee 1188hh3300 àà 1199 hh

IIRRAABB oouu iinnffeeccttiioonn rreessppiirraattooiirree aaiigguuëëee bbaassssee ((ggrriippppee......))

Le Haut Conseil de la santé publique a publié enjuillet 2012 un rapport s'imposant aux EHPAD "Conduite à tenir devant une ou des IRA enEhpad". Ce rapport remplace un ensemble derecommendations antérieures. L’infectionrespiratoire aiguë (IRA) demeure la premièrecause de mortalité d’origine infectieuse enétablissements d’hébergement pour personnesâgées dépendantes (Ehpad) et la premièrecause infectieuse de transfert vers l’hôpital. Unecirculaire N° 489 du 22/11/2006 impose unecertaine organisation et la mise en oeuvred'actions, notamment la déclaration auxadministrations des épidémies dansl'établissement.Dès le début du mois d'octobre, l'établissement amobilisé ses ressources pour répondre à cesexigences et se préparer à lutter contre cesmaladies contagieuses, au détrimentnaturellement des autres dossiers.- suivi et coordination par les référents hygiène(Bernadette PUPO et Nicole BATALLER,infirmières formées à l'hygiène et en relationavec le comité régional d'hygiène)- vaccination des résidents, réalisé parl'établissement selon l'état de santé (médecin

traitant)- vaccination des personnels- communication : affichage aux entrées,affichage sur les 17 panneaux "familles",diaporamas en boucle sur les écrans de diffusion- session de formation au risque infectieux et àl'hygiène par les médecins coordonnateurs (3sessions de 12 personnes)- session de sensibilisation (18 et 25 octobre)- réactivation des actions quotidiennes dedésinfection des points à risques (svce nuit,claviers, main courante, poignées de porte,interrupteurs...)- veille hebdomadaire de suivi des bulletinsd'alerte (réseau GROG midi pyrénées)

Fin décembre, la grippe est bien là, avec troisvirus actifs. Il est constaté aucun impact à laMaison Saint-Joseph.Cependant, le taux de vaccination despersonnels est très faible. De plus, les visiteurset familles respectent exceptionnellement lesrègles d'hygiène (pas de lavage des mains, visiteen étant visiblement enrhumé, refus portmasque...) et il suffit d'une seule personneinfectée !

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DDiirreeccttiioonn

La système de téléphonie de la Maison Saint-

Joseph était devenu obsolète et i l a dû être

remplacé avec le projet de l 'unité Alzheimer dite

"UPAD". I l a été choisi un système moderne,

simple et accessible pour tous !

La phase 1 a été réalisée en juin 201 2, avec la

mise en fonction de l 'unité UPAD. I l était prévu de

général iser le projet sur l 'ensemble de

l 'établ issement dès que possible. Le nouveau

système de téléphonie sera donc plus performant

et moins cher que la téléphonie classique connu

de chacun de nous.

En effet, le projet de nouvelle téléphonie validé

notamment par les représentants des résidents

et des famil les, et mis en œuvre, tout d'abord à

l 'unité Alzheimer, présente les intérêts suivants :

=> Proposer un abonnement téléphonique dans

la chambre à un tarif inférieur des opérateurs

téléphoniques historiques (France Télécom, Sfr,

Bouygues. . . . avec un coût moyen de 30 € mois)

qui favorisera le maintien des relations sociales

du résident, tel les que recommandées par

l 'Agence Nationale de l 'évaluation et de la qualité

des établissements et services sociaux et

médico-sociaux (ANESM).

=> Eliminer les coûts excessifs (environ 1 00

euros) facturés par les opérateurs lors d'un

transfert de chambre notamment ou de l'entrée

d'un résident.

=> Permettre au résident de garder son ancien

numéro.

=> Offrir une téléphonie interne et adaptée

(ergonomie – téléphone à grosses touches

notamment).

Ce nouveau système de téléphonie concernera

toutes les chambres de l'établ issement (hors

Unité Alzheimer qui en profite déjà depuis son

ouverture en juin dernier). Le nouveau système

devrait être opérationnelle fin février 201 3 et, en

conséquence, le téléphone actuel du résident ne

fonctionnera plus à dater du 1 8 février 201 3.

Pour en bénéficier, nous vous conseil lons de

prendre contact avec votre opérateur de

téléphonie actuel afin de connaître les modalités

de résil iation de votre abonnement téléphonique

et de « portabil ité » de votre numéro de

téléphone (lettre recommandée avec AR

vivement conseil lée). Le secrétariat est à votre

disposition pour vous accompagner dans ces

démarches.

Certes, comme vous vous en doutez, des

difficultés sont à prévoir. Avec l 'unité Alzheimer,

nous avons constaté que les transferts de

numéros s’opéraient très mal. Nous aurons

toutefois la possibi l ité de vous donner un

nouveau numéro très rapidement, soit

temporairement, soit définitivement. Par ail leurs,

i l sera toujours possible de vous joindre de

l 'extérieur en passant par le standard 05 63 61

02 08.

Le montant de l 'abonnement mensuelle

téléphonique EHPAD sera de 1 9,00 €/mois par

résident pour une offre de téléphonie en il l imité,

vers les téléphones fixes et portables partout en

France (pas d'accès à l'international). La

facturation de la téléphonie prendra effet à

compter du 1 er avri l 201 3.

Hébergement temporaire exclusivement enchambre individuel le : 4400 €€//jjAccompagnant et famil les exclusivementHébergement : 2233.. 3399 €€//jjRepas hors fêtes (café, vin compris) : 99.. 55 €€Petit déjeuner : 44 €€Repas de fêtes (café, vin compris) : 11 55 €€Hébergement permanent :Chambre double : 3399.. 7700 €€//jj

Chambre double résidence et assimilée :

4411 .. 6600 €€//jjChambre individuel le : 4477.. 2255 €€//jj oouurrDépendance :GIR 5/6 : 55.. 7788 €€//jj GIR 3/4 : 11 33.. 6633 €€//jjGIR 1 /2 : 2211 .. 4466 €€//jj( cf Détail sur un des 1 7 panneauxd'affichage "direction")

TTaarriiff22001122 aapppplliiccaabbllee ddeeppuuiiss llee 11°° jjuuiinn 22001122

TTéélléépphhoonnee àà SSaaiinntt--JJoosseepphh :: NNOOUUVVEEAAUU !!

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VViieeddeellaammaaiissoonn

Le jeudi 11 octobre, RichardCrémadés nous a interprétécertaines des plus bellesromances de la chansonfrançaise. Le répertoire qu'ilavait sélectionné pour nous,nous a permis de l'accompagnerdans son tour de chant. Cetteaprès-midi fut un véritablemoment de bonheur où nousavons pu réentendre et chanterles chansons qui ont bercé notrejeunesse

MarcelDuchemin

RichardCrémadès

Le mercredi 14 novembre, Olivier Soler, qui devient "MarcelDuchemin" dès qu'il a revêtu son costume de marin au long cours,nous a fait revivre le temps d'une représentation, les chansonspopulaires des années 50. De Tino Rossi à Charles Trenet, enpassant par Luis Mariano ou Bourvil son spectacle nous aemportés, dès les premières mesures, dans l'ambiance desguinguettes d'antan.

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VViieeddeellaammaaiissoonn

VVeennttee

Le samedi 17 novembre, nous avons organiséune vente d'automne au sein de la maison.

Cela a duré toute la journée sans interruption.Cette vente se composait d'objets décoratifs

confectionnés par les résidents; peintures, traîneauxtirés par un renne, couronnes de Noël et biend'autres.

dd''aauuttoommnnee

Cette manifestation a été informée par la radio "100%", les quotidiens "la Dépêchedu Midi"et "la Montagne Noire", mais aussi par des affiches placées à Mazamet et sesalentours.

Chacun a pu apprécier et acquérir le « chef-d'oeuvre » de son choix.Cette journée sympathique fut une belle réussite. Les bénéfices serviront à acheter

des lots pour les prochains lotos, organisés mensuellement dans notre maison.

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VViieeddeellaammaaiissoonn

PPoouussssoonnss llaa cchhaannssoonnnneettttee

Le 12 décembre, nous avons reçu la chorale, "Poussons la Chansonnette. Ils ont débuté avecdes morceaux de flûte puis d'harmonica. Ils ont ensuite chanté des chants profanes et ont terminé leurprestation avec des chants de Noël. Ils nous ont entraînés et les résidents ont apprécié de chanteravec eux. Cette après-midi s'est achevée sur l'air du "Se Canto". Merci de nous avoir fait passer un siagréable moment.

LL''ÉÉcchhoo SSoouuss llaa VVooûûtteeMercredi 19 décembre,le groupe vocal :"L'Écho sous la Voûte"nous a fait passer untrès agréable momenten chansons. Ils ont unrépertoire composé dechants populaires desannées 50 à 80. Ils ontaussi interprété deschants de Noël enfrançais et en occitan.Ils étaient accompagnéspar un accordéoniste.À la fin de leurprestation, nous étionstous enchantés !

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VViieeddeellaammaaiissoonn

LL'' UUNN II TTÉÉ GGAAUUGGUU IINN

FFÊÊTTEE NNOOEELL

OOCCAARRIINNAA

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VViiee ddee ll aa mmaaii ssoonn

CC''EESSTT NNOOËËLL,, OOÙÙ :: QQUUAANNDD TTOOUULLOOUUSSEE--LLAAUUTTRREECC EETT

VVAANN GGOOGGHH SSEE RREENNCCOONNTTRREENNTT !!

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VViieeddeellaammaaiissoonn

NNOOËËLL,,

EENNCCOORREE

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TTOOUUJJOOUURRSS !!

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VViieeddeellaammaaiissoonn

Joyeuses fêtes de NoëlAprès avoir confectionné des centresde table, des guirlandes, des étoiles ,nous avons décoré le restaurant d'or,de rouge et de vert. Nous avons placéle sapin au centre de la pièce, mis enplace la crèche, il ne nous restait alorsplus qu'une seule chose à faire:attendre le jour de Noël !Afin d'écourter cette longue attente,avec l'équipe soignante nous avonspréparé des sablés de Noël, que nousavons dégustés tous ensemble.

Le 25 décembre arriva enfin!Au matin, on nous a servis descroissants frais. L'équipe nous aensuite offert un petit présent ainsiqu'un père Noël en chocolat.

Vers 11h nous avons rejoint lerestaurant où nous avons pu découvrirune table festive, sur des nappesblanches étaient disposés des cheminsde table colorés, une vaisselle orange,des menus et des serviettes avec unrond de serviette confectionné par lesrésidents du bâtiment principal .

Le repas débuta aux alentours de 12 hpar un apéritif, puis nous ont été servisdu foie gras, des crevettes, du saumonfumé, suivis d'une dinde aux marrons,du roquefort et pour clôturer le repasnous avons eu une part de bûche. Toutcela accompagné de bouteilles deGailhac rouge!Ce fut une journée pleine de gaieté etde convivialité, comme en témoignentces photos !

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VViieeCChhrrééttiieennnnee

Les quatre bougies !

Quatre bougies brûlaient lentement. L'ambiance était tellement silencieuse qu'on pouvaitentendre leur conversation.

La première dit : Je suis la paix !Cependant, personne n'arrive a me maintenir al lumée. Je crois que je vais m'éteindre. Et sa

flamme dimnuait rapidement, el le s'éteignit complètement.

La seconde dit : Je suis la Foi !Dorénavant, je ne suis plus indispensable. Cela n'a plus de sens que je reste al lumée plus

longtemps. Quand elle eut fini de parler, une brise souffla sur el le et l 'éteignit.

Triste, la troisième bougie manifesta à son tour :

Je suis l'Amour ! Je n'ai plus de force pour rester al lumée, les gens me laissent de côté et

ne comprennent pas mon importance. I ls oublient même d'aimer ceux qui sont proches

d'eux. Et, sans plus attendre, el le s'éteignit à son tour.

Soudain un enfant entra dans la pièce et vit les trois bougies éteintes. Pourquoi êtes-vouséteintes ? Vous devriez rester allumées jusqu'à la fin !En disant cela, l'enfant commença à pleurer.

Alors la quatrième bougie parla : N'aie pas peur, tant que j'aurai ma flamme, nous pourrons

allumer les autres bougies, Je suis l'Espoir !

Avec des yeux brillants, l'enfant prit alors la bougie de l'espoir... Et alluma les trois autres.

Que l'espoir ne s'éteigne jamais à l'intérieur de vous!...Et que chacun de nous sache être l'outil que cet enfant utilisa pour maintenir

L'ESPOIR, LA FOI, LA PAIX ET L'AMOUR !

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RRéécciitt ddee VViiee

Mon nom de jeune fille est MALLIGAND, mes prénoms : Anne-Marie, Irène. Jesuis née le 16 août 1925, à Polliat, un petit village à côté de Bourg-en-Bresse, dans l'Ain(01), à mon avis, le plus grand département de France. C'est la région où l'on élève lesvolailles de Bresse. Savez-ous ce que sont les volailles de Bresse ? Ce sont lesmeilleures !

Mes souvenirs de jeunesse ? La mort de mon père, j'étais jeune quand il est mort.Il avait fait la Guerre de 1914. Il a fait 4 ans de guerre.Je suis la quatrième fille de la maison, mon père avait eu deux filles avant la Guerre de1914 et après il en a eu encore deux autres.J'aidais ma mère aux travaux qu'il y avait à faire dans la propriété parce que c'était laguerre, il fallait s'occuper de traire les vaches et élever les volailles.J'avais ma grand-mère, une personne très petite, mais très vaillante, elle s'appelaitMarceline. J'avais également deux soeurs aînées qui étaient parties de la maison, carelles s 'étaient mariées.

Mes études ? J'ai obtenu le Certificat d'Études et ça s'est arrêté là.Enfin, je suis allée dans une école appelée « école ménagère » à Bourg-en-Bresse, j'yétais pensionnaire.J'ai beaucoup cousu, il y avait des cours de coupe, de dessin, des cours de beaucoup dechoses... Après j'ai toujours confectionné des vêtements (manteaux, robes...). Je nefaisais pas ça pour les gens, mais pour moi et pour ma soeur. J'habillais mes poupées.Cela me plaisait.Ma soeur a aussi été dans cette école, deux ans avant moi.Mon métier était d'aider ma famille , je n'ai pas eu d'autre métier.

Je me suis mariée en avril, je n'avais pas 20 ans. J'ai épousé un monsieur quis'appelait Monsieur Gély. C'était un de ces messieurs, militaires de la Première ArméeFrançaise qui était montée en Alsace. Ils sont passés et se sont arrêtés dans la propriétéqui était ma ferme. Ils ont séjourné un moment dans la salle à manger. Mon futur mariavait 12 ans de plus que moi, il était né à Aix-en-Provence et travaillait dans la laine chezun cousin.

Anne-Marie Gély

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RRéécciitt ddee VViiee

1199

Tout le monde travaillait dans la laine, mais, après la guerre, la fabrique s'esteffondrée, car cela ne faisait plus vivre les gens. Il n'était pas dans l'armée, mais avait étéappelé ou plutôt engagé. Autrement dit, ce n'était pas son métier. Il a fait toute la guerre, ilest parti de Londres en 1939 et a fait toute l'Afrique. Il est parti en Provence puis il estremonté en Allemagne avec la Première Armée Française et ils ont fait escale, au passage,dans notre propriété.

J'ai fait du ski avec mon mari parce qu'il aimait bien en faire, mais pendant la guerre,on ne faisait pas grand-chose parce qu'il ne fallait pas s'amuser à courir partout.

En 1945, nous sommes venus habiter à Mazamet, car mon mari était revenu pourreprendre son activité, dans la laine. Puis nous avons fait construire une maison avec unjardin, car j'aimais jardiner. Nous y avons installé une piscine. Cette maison se trouve àPayrin et j'en suis toujours propriétaire. J'aime le Sud, le soleil, j'aimais bronzer étant jeune.

J'ai trois filles, la première je l'ai eue alors que je n'avais que 20 ans. Je les aihabillées, jusqu'à la robe de mariée. Quand mes filles arrivaient à l'école Jeanne d'Arc, onleur demandait : « Où as-tu trouvé cette cape ? »Oooh ! tout le monde était en extase.

Elles étaient satisfaites de leur couturière surtout qu'à l'époque on trouvait de beauxtissus parce qu'il y avait beaucoup de fabriques de lainage aux alentours de Mazamet.

J'ai des petits enfants qui me dépassent, qui jouent au rugby. Un des garçons vit surla côte basque.

Aujourd'hui, je suis à la maison de retraite Saint-Joseph avec des personnesaimables, avec lesquelles je peux discuter alors que si j'étais restée seule dans ma grandemaison, ce serait bien monotone. Et puis cela me plaît d'être ici...

Propos de Mme Anne-Marie Gély recueillispar Kim Cordioux (animatrice stagiaire)

Anne-Marie

Gély

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SSaannttéé

Grippe (saisonnière)

Principaux faits

La grippe est une infection virale aiguë qui se propage facilement d’une personne à l’autre.La grippe circule dans le monde entier et peut toucher n’importe qui dans n’importe quelgroupe d’âge.La grippe provoque des épidémies annuelles qui atteignent leur pic pendant l ’hiver dans lesrégions tempérées.La grippe est un problème de santé publique sérieux qui provoque des maladies graves etdes décès dans les populations à plus haut risque.Une épidémie peut également avoir des répercussions économiques par perte deproductivité et sol l iciter énormément les services de santé.La vaccination est le moyen le plus efficace de prévenir l ’ infection.

La grippe saisonnière est une infection virale aiguë provoquée par un virus grippal,Myxovirus influenzae.I l existe trois types de grippe saisonnière – A, B et C. Les virus grippaux de type A sesubdivisent en sous-types en fonction des différentes sortes et associations de protéines desurface du virus. Parmi les nombreux sous-types des virus grippaux A, les sous-typesA(H1 N1 ) et A(H3N2) circulent actuel lement chez l’homme.Des virus grippaux circulent dans toutes les régions du monde. Les cas de grippe de type Csurviennent beaucoup moins fréquemment que ceux des types A et B. C’est pourquoi seulsles virus grippaux A et B figurent dans la composition des vaccins contre la grippesaisonnière.La grippe est une maladie paradoxale, souvent considérée comme bénignepar le grand public, car el le est confondue avec des affections pseudo-grippalesrelevant d’autres agents étiologiques, alors qu’el le peut être responsable d’unnombre élevé. de décès

Signes et symptômes

Après une incubation de 24-48 heures, le début de la maladie est le plussouvent brutal et se caractérise par une fièvre élevée, des frissons, une asthénieintense, des courbatures, des céphalées, des douleurs diverses. On observesouvent des signes d’irritation laryngo-trachéale, bronchitique ou conjonctivale.Fièvre et douleurs durent trois ou quatre jours et la courbe thermiquepeut revêtir un aspect diphasique. Une guérison rapide est habituel le, mais laconvalescence est longue, avec une asthénie persistante.

Populations à risque

Chaque année, les épidémies de grippe peuvent toucher gravement tous les groupesd’âge, mais le plus haut risque de complications concerne les enfants de moins de deuxans, les adultes de 65 ans ou plus et les personnes de tout âge présentant certaines

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SSaannttéé

affections tel les que des maladies chroniques, qu’el les soient cardiaques, pulmonaires,

rénales, hépatiques, sanguines ou métaboliques (comme le diabète), ou un affaibl issement

du système immunitaire. La gravité peut être due au virus lui-même (formes toxiques),

plus souvent aux surinfections bactériennes.

Transmission

La grippe saisonnière se propage facilement et peut frapper une école, un établissement

de long séjour, une entreprise ou une vil le tout entière. Lorsqu’une personne infectée

tousse, el le projette dans l ’air des gouttelettes infectées qu’une autre personne peut

respirer et auxquelles el le peut être exposée. Le virus peut aussi se propager par les

mains. Pour prévenir la transmission, i l convient de se couvrir la bouche et le nez à l’aide

d’un mouchoir lorsque l’on tousse et de se laver les mains régulièrement.

Prévention

Le moyen le plus efficace de se prémunir de la maladie ou d’une issue grave est la

vaccination. Des vaccins sûrs et efficaces existent et sont uti l isés depuis plus de 60 ans.

Chez les adultes en bonne santé, le vaccin antigrippal peut éviter 70 à 90% des

pathologies spécifiques à la grippe. Parmi les personnes âgées, la vaccination permet de

réduire de jusqu’à 60 % la gravité de la maladie et ses complications et de jusqu’à 80 % la

mortal ité.

La vaccination est particul ièrement importante pour les personnes à risque plus élevé de

complications graves de la grippe, et pour les personnes qui vivent avec des personnes à

haut risque ou s’en occupent.

L’OMS recommande la vaccination annuelle pour (par ordre de priorité):

-les personnes vivant en établissements de long séjour (personnes âgées ou

handicapées);

-les personnes âgées;

-les personnes souffrant d’affections chroniques;

-d’autres groupes tels que les femmes enceintes, les agents de santé, les personnes ayant

des fonctions essentiel les dans la société, ainsi que les enfants de six mois à deux ans.

La vaccination contre la grippe est surtout efficace lorsque les virus vaccins correspondent

bien aux virus en circulation. Les virus grippaux évoluent constamment et le réseau

mondial OMS de surveil lance de la grippe (GI SN ), partenariat des centres nationaux de la

grippe dans le monde, surveil le les virus grippaux qui circulent chez l’homme.

La persistance des anticorps est l imitée dans le temps.

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SSaannttéé

La figure 1 montre l’évolution de la mortalité attribuée à la grippe et la couverture vaccinale despatients de75 ans et plus, de 1950 à 2001.

Traitement

Des antiviraux contre la grippe sont disponibles. Certains virus grippaux deviennent résistantsaux antiviraux, ce qui limite l’efficacité du traitement. L’OMS surveille la sensibilité auxantiviraux des virus grippaux en circulation.

Épidémie saisonnière

Les épidémies de grippe surviennent chaque année au cours de l’automne et de l’hiver dansles régions tempérées. Elles provoquent des hospitalisations et des décès principalementparmi les groupes à haut risque (très jeunes, personnes âgées ou maladies chroniques). Auniveau mondial, ces épidémies annuelles sont responsables d’environ trois à cinq millions decas de maladies graves, et 250 000 à 500 000 décès. La plupart des décès associés à lagrippe dans les pays industrialisés surviennent parmi les personnes âgées de 65 ans ou plus.Dans certains pays tropicaux, les virus grippaux circulent tout au long de l’année avec un oudeux pics au cours de la saison des pluies.

Effets de la maladie

La grippe peut entraîner de graves problèmes économiques et de santé publique. Dans lespays développés, les épidémies peuvent se traduire par des niveaux élevés d’absentéisme autravail et des pertes de productivité. Dans les communautés, les dispensaires et les hôpitauxpeuvent être débordés lorsqu’un grand nombre de malades viennent consulter au cours du picde la maladie.Si la plupart des gens guérissent de la grippe, un grand nombre de personnes ont besoin d’êtrehospitalisées et beaucoup meurent de la maladie chaque année. On connaît mal les effets desépidémies de grippe dans les pays en développement.

Sources : guide des vaccinations inpes et OMS centre des médiasDocteurs Catherine et Jacques Boutot

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GGrroouuppeeddeeppaarroolleeLa dépendance: si nous en parlions...

D'après l'illustration d'une fable de la Fontaine : Le chien et le loup, nous avons pu déterminer les

différences physiques ainsi que les attitudes de chacun des deux personnages.

Antoinette Gaubert : Le loup est maigre. Le chien a l'oppulence tandis que le loup a faim.

Charly Séverac : Oui comme nous à midi.

Emma Astié : Le loup a la liberté mais a des difficultés pour trouver à manger.

En effet, nous étions tous d'accord quant à la nature des animaux, à savoir un chien et un loup. De plus, nous étions

du même avis sur la pauvreté que reflétait le loup, de par ses haillons et son corps chétif. Au contraire le chien

incarnait la richesse et le bien portant, de par son costume et son embonpoint (malgré un col râpé). Après lecture

de la fable qui nous a amené à réfléchir sur diverses idées, nous avons mis des mots sur les points qui nous

paraissaient importants comme par exemple la dépendance, l'appartenance, ou bien encore sur la liberté et

l'indépendance.

Ces mots forts en signification ont été trouvés en faisant un tour de table afin que chacun s'exprime à sa manière

sur la leçon de la Fontaine.

Marie-Rose Béziat : Moi, je préfère être le chien pour avoir l'affection de mes maîtres plutôt que la liberté.

Antoinette Gaubert, Charly Séverac et Paulette Arnaud quant à eux, préfèrent la liberté !

Raymonde Pujol : Moi j'aime le confort.

Pour finir, nous avons discuté de nos propres situations et en avons conclue que tout « être » est toujours

dépendant de tel ou telle chose alors que la recherche de tous est la liberté.

Emma Astié : J'ai accepté une certaine liberté mais à condition de faire des voeux, c'est un choix, j'ai quitté ma

maison pour cela, mais même aujourd'hui il manque souvent quelque chose même dans la vie communautaire.

Enfin chacun à notre tour nous avons choisis pour un temps donné d'être chien ou loup ; la majorité ont préféré la

liberté du loup avec tous ces inconvénients, mais, un tout petit nombre de personnes ont choisi la sécurité du chien

en privilégiant la dépendance.

Propos de résidents recueillis par Caroline Séverac

Selon le dictionnaire, la dépendance est l'état d'une personne, d'une chose qui dépend d'une autre.

Pour moi, qui vis en maison de retraite, il est évident que je suis dépendante, mais jusqu'à quel point ?

Je me sens dépendante dans la mesure ou je ne suis pas libre. Je suis tenue par des horaires par exemple et à

mon âge, justement, je voudrais agir à ma guise et prendre mon temps. Hélas, il est toujours l'heure de quelque

chose, le repas, la douche, le kiné...

Tenez, ce matin, je n'avais pas envie de prendre ma douche et il a bien fallu que je me plie à cette demande. Mais

en même temps, pour mon bien-être et pour ma santé, je ne pouvais pas refuser ;

La dépendance serait donc à la fois un bien et un mal, car à mon âge j'ai besoin d'être aidée et soutenue ce qui

implique que je dois accepter les avantages et les inconvénients de ma situation.

Quitter mon domicile a été une situation très difficile à vivre, mais trouver un établissement qui m'accueille et

m’apporte l'aide dont j'ai besoin mérite bien les petits tracas que cela entraîne.

Le terme dépendance peut paraître négatif, mais tout dépend, comment l'on vit, sa dépendance.

Il faut accepter les règles de la vie en société.

Moi, j'ai besoin d'aide sur le plan physique, mais sur le plan intellectuel je suis complètement autonome , et je

remercie les personnes qui m'apportent leur aide.

Il est cependant très important pour moi de continuer à faire ce que je peux encore faire et de ne demander de l'aide

que pour les actes quotidiens que je ne peux accomplir moi même.

Dépendante, oui ! Mais à quel point ? C'est à moi de définir mes besoins.

Il y a quelque temps encore je ne me déplaçais qu'en fauteuil roulant, maintenant, je marche en utilisant un

déambulateur et je suis plus autonome. J'ai donc vaincu, et j'en suis fière, grâce à ma volonté et à l'aide que l'on m'a

apportée (kiné, personnel...) un peu de ma dépendance.

Propos de Mme Gaubert Antoinette recueillis par Danièle Lagoute

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PPssyycchhoollooggiiee

Qu'est ce que l'Humanitude ?

Les quatre piliers de l'humanitude:

L'H umanitude est une méthode de soin qui repose sur un changement global decomportement des soignants :

- Le regard : i l doit s'échanger face à face, les yeux dans les yeux, à hauteur du visage- La parole : el le doit annoncer et expliquer chaque geste- Le toucher : i l s'agit de transformer le "toucher uti l i taire" en "toucher tendresse"- La vertical ité : exit les toi lettes effectuées au lit et les patients qui ne quittent plus leurmatelas.

Pour Yves Gineste, une personne âgée correctement accompagnée peut et doit vivredebout. La vertical ité est l 'une des caractéristiques qui nous distingue des animaux, d'oùl 'importance de lever la personne.

La mise en oeuvre de ces 4 préceptes doit permettre une meil leure écoute et uneamélioration des soins, à condition bien sûr d'agir en fonction des situations et despersonnes.

L'indispensable individualisation les soins

Mais qu'est ce qu'un soignant ? Etre soignant, ce n'est pas soigner, mais prendre soin d'unepersonne, nous l 'avons vu, unique. N ous n'avons jamais soigné, le malade se soigne lui-même, avec notre aide, bien sûr, mais c'est lui qui se "répare".N ous devons être capables de tendresse et d'empathie pour nous en rapprocher. Tendressede la solidarité et non pas pitié. La différence entre les deux, c'est l 'action.

"Vous avez un problème, je vais vous aider à le vivre, peut être à le résoudre".

U ne fois les bases acquises, le soignant doit s'adapter à chaque patient. Plus question alorsde timing. On intervient lorsque la personne le souhaite.

On est davantage à l'écoute de ses désirs et des besoins. On apprend à connaître sonhistoire. "Cela ne demande pas davantage de temps" souligne Yves Gineste, "car même sil 'on prend 30 ou 40 secondes pour faire des prél iminaires aux soins, on a ensuite quelqu'undont i l est extrêmement facile de s'occuper".

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PPssyycchhoollooggiiee

Une méthode qui a fait ses preuves

Implantée en France, en Suisse, au Bénélux au Canada et dans les DOM, l 'InstitutGineste-Marescotti dispense des formations à l 'ensemble du personnel médical. EnFrance métropolitaine, plus d'un mil l ier d'établ issements ont fait appel à eux et la l isted'attente est longue.Afin d'apporter une caution scientifique sur les bienfaits de l 'humanitude, une étude aété réalisée sur 111 femmes âgées de 67 à 1 01 ans qui présentaient une démence detype Alzheimer et résidaient en établissement hospital ier pour personnes âgéesdépendantes (EHPAD).Dans chaque cas, i l s'agissait de mesurer les réactions lors de la toi lette - moment leplus délicat - avant et après la formation des soignants aux techniques del'humanitude.

Résultat : dans 83 % des cas, les soins habituel lement diffici les ont été améliorés defaçon importante (43 % "mieux") ou très importante (50 % "beaucoup mieux"). Alorsque près de la moitié des patientes donnaient des coups, dont 23% avec une intensitéforte ou très forte, après l 'application de la méthode 65 % n'en donnaient plus du tout !

Lors de la venue du soignant non formé dans leur chambre, 49% des patientesn'exprimaient aucune réaction, éprouvaient une inquiétude ou exprimaient uneopposition. Après la formation du soignant aux techniques de l'humanitude, nonseulement 80 % acceptaient sa venue, mais exprimaient leur plaisir en offrant unvisage détendu et souriant. Enfin au sein des unités où a été présentée cetteméthode, le taux de maintien permanent au l it a chuté de 60 % et la prise demédicaments a baissé dans 70 % des cas !

L'humanitude a donc fait ses preuves, tant pour le bien-être des patients que dessoignants. Yves Gineste et Rosette Marescotti ont d'ai l leurs été salués comme despionniers en juin 2008 lors de la présentation de ces résultats par Valérie Létard,Secrétaire d'Etat à la Solidarité. Un nouveau pas vers une prise en charge plushumaine de nos seniors .

(extrait "Humanitude" de Yves Gineste et Jérôme Pell issier)Anne-Sophie Stanton, Géronto-Psychologue

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FFllaasshhIInnffooQQuuaalliittééREVUE DE PROCESSUS SOINS

Le 11 septembre 201 2 a eu lieu la revue de processus "Accompagner, restaurer, héberger

dans de petites unités de vie spécifiques" à la sal le Galibert Ferret. Vous trouverez ci-

dessous les résultats des enquêtes de satisfaction auprès des résidents, et auprès des

membres du conseil de la vie sociale, étudiés en revue de processus.

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FFllaasshhIInnffooQQuuaalliittéé

La revue de processus "projet de vie individuel : Evaluer, orienter, admettre" a eu lieu le

1 8 septembre 201 2.

Vous trouverez ci-dessous les résultats des enquêtes de satisfaction auprès des

nouveaux résidents, étudiés lors de la revue de processus.

Edwige GINIEYS, Animatrice qualité

REVUE DE PROCESSUS

Les 1 5 et 1 6 octobre 201 2, nous avons eu un audit de renouvellement de certification ISO

9001 : 2008. Les audits permettent de vérifier régul ièrement notre système qualité, d'évaluer

notre organisation, nos forces, et nos points faibles et de dégager des pistes d'amélioration.

L'auditeur de Bureau Véritas (organisme certificateur) a noté deux non-conformités sur le

pilotage de l'établ issement. A ce jour, ces écarts ont été soldés. Le dossier est en cours de

traitement, dans l 'attente du certificat.

AUDIT DE RENOUVELLEMENT DE CERTIFICATION ISO 9001 :2008

Un grand merci aux membres du personnel pour leurs efforts et leur implication dans le

système qualité.

Agenda :

Pour information, le prochain audit de suivi aura l ieu courant

octobre 201 3.

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CCôôttéé RReessssoouurr cceess HHuummaaii nneess

2288

LA SANTE AU TRAVAIL

La santé au travail est une démarche interdisciplinaire, as sociant employés etemployeurs, dans le but de créer un lieu de travail favorable à la santé.

Le texte des conventions et recommandations de l'Organisat ion Internationaledu Travail (OIT) en donne cette définition : « le terme « santé » , en relation avecle travail, ne vise pas seulement l'absence de maladie ou d'i nfirmité ; il inclutaussi les éléments physiques et mentaux affectant la santé d irectement liés à lasécurité et à l'hygiène du travail.

La santé au travail s’articule autour de trois objectifs dis tincts :- préservation et promotion de la santé du travailleur et de s a capacité detravail;- amélioration du milieu de travail et des conditions de trav ail, qui doivent êtrerendus favorables à la sécurité et la santé;- élaboration d’une organisation et d’une culture du travai l qui développent lasanté et la sécurité au travail.

La promotion de la santé au travail s’exprime, en pratique, d ans les systèmes degestion, la politique en matière de gestion du personnel, le s principes departicipation, les politiques de formation, et la gestion d e la qualité. Ainsi, lasanté au travail est une approche globale et intégrée en mati ère de santé quivise toutes les personnes dans un lieu de travail et l'organi sation dans sonensemble. Cette approche s'applique à une grande variété d' aspects touchant àla santé: conditions physiques et psychosociales, environ nement, pratiques enmatière de santé, ressources personnelles,...

La santé au travail en France est issue d'une démarche à la sor tie de laDeuxième Guerre Mondiale. La santé était alors essentielle pour fabriquer laforce de travail, et elle s'est imposée comme raison d'être d e la sécurité sociale.Les syndicats ont exigé une protection de cette force de trav ail : c'est lanaissance de la médecine du travail. La santé était au servic e de l'économied'entreprise.

Aujourd'hui, la mission première des Services de Santé au Tr avail en Frances'est rapprochée peu à peu d'autres valeurs que celles de la s imple actionmédicale du médecin du travail. I l ne s'agit pas de dire que le médecin n'a plusde rôle à jouer, mais qu'il n'est pas le seul acteur : le « manag er » est lui aussiimpliqué. L'idée générale est de changer les relations entr e le travail et la santé: « le travail fabrique de la santé ».

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AM E L I OR E R L A SAN T E AU T R AVAI L

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CClliinn dd''ooeeiill ssuurr lleess nnoouuvveeaauuxx ssaallaarriiééss

J e m'appelle Marie-Céline Pégourié et je suis très contente

d'être parmi vous et de vous rencontrer midi et soir au restau-

rant au sein d'une équipe dynamique et accueil lante.

J e vous remercie de m'avoir si bien acceptée à Saint J oseph

et espère que tout se passera bien entre nous durant mon

contrat.

CCôôttééRReessssoouurrcceessHHuummaaiinneess

Martine ROBLES

Aide Soignante

dans l 'unité Van Gogh

N athalie DI MAN CH E

Aide soigante

dans l 'unité Van Gogh

N adine GU I TTARD

Aide soignante

dans l 'unité Gauguin

Françoise VI DAL

Agent de service

au Restaurant

Arlette N OLL

Aide soignante dans

l 'unité Toulouse-Lautrec

J ean Louis BEZ

Agent technique de

maintenanceMathieu BERTH OMI EU

Agent technique

espaces verts

Marie H elene ROBERT

Agent de surveil lance

U nité Alzheimer

Gael GRAO &

Saturnino ROLDAN

Agent de manutention

Sylvie CH AVEZ

Agent de service dans

l 'unité Van Gogh

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3322

BBiieennvveennuueeàà ttoouuss cceeuuxx qquuii nnoouuss oonntt rreejjooiinnttss.. .. ..

Marthe ARNAUD : 04/1 0/201 2Anne-Marie GASTOU : 09/1 0/201 2Madeleine LARTIGUE : 1 0/1 0/201 2

Guy ROUQUIER : 1 7/1 0/201 2Anne-Marie JORDAN : 25/1 0/201 2Geneviève VIDAL : 29/1 0/201 2Roselyne FIEU : 1 9/11 /201 2Simone JULIEN : 20/11 /201 2Rémy SÉNÉGAS : 21 /11 /201 2

Gilberte FEUILLENT : 26/11 /201 2Roger FEUILLENT : 26/11 /201 2Lucette TISSERANT : 04/1 2/201 2

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JJooyyeeuuxx AAnnnniivveerrssaaiirreess

Henriette PEZETMarguerite ICHERAndré JULIA

Camille GARNOTELMadeleine ALAUXNoëlie FÉVRIERMaria CAMPOSPilar ESCUDIÉ

Jeanne VELUMadeleine LARTIGUEMarthe MAURELCécile MENUSETJacqueline GUILLOTEmilien ROUANETLouis DOUZALSSimone JULIEN

Michèle BLANCDenise MONTESQUIEUTRose POURSINESYvette MAUREL

Palmyre CORBIÈREMarthe ORTIS

Yvonne BASCOULAndrée ESCAFFITRené GOURC

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DDééccèèssUUnnee ppeennssééee éémmuuee ppoouurr ttoouuss cceeuuxx

qquuii nnoouuss oonntt qquuiittttééss

Jeanne-Marie SABARTHÈS nous a quittés le 07/1 0/201 2 à l 'âge de 83 ans. El leétait parmi nous depuis le 07/03/201 2.

André GAY nous a quittés le 1 7/1 0/201 2 à l 'âge de 84 ans. I l était parmi nousdepuis le 1 4/1 0/201 0.

Gabriel le CAUQUIL nous a quittés le 1 0/05/201 2 à l 'âge de 90 ans. El le était parminous depuis le 23/01 /201 2.

Marie-Antoinette VILLE nous a quittés le 09/11 /201 2 à l 'âge de 85 ans. El le étaitparmi nous depuis le 1 8/05/2004.

Marthe MAUREL nous a quittés le 28/11 /201 2 à l 'âge de 98 ans. El le était parminous depuis le 1 0/1 2/2009.

Noëlie FÉVRIER nous a quittés le 29/11 /201 2 à l 'âge de 94 ans. El le était parminous depuis le 1 9/11 /2007.

Soeur Anne-Marie JORDAN nous a quittés le 24/1 2/201 2 à l 'âge de 91 ans. El leétait parmi nous depuis le 29/1 0/201 2.

Marie-Jeanne CHABBERT nous a quittés le 24/1 2/201 2 à l 'âge de 91 ans. El leétait parmi nous depuis le 31 /03/2008.

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Recette :

LaitdePoule&FinanciersCe trimestre nous vous proposons deux recettes qui s'accordent

parfaitement pour le goûter !

Lait de Poule:

Pour 1 personne : Préparation : 5 mn

Ingrédients: 1 5 g de sucre , 1 jaune d'oeuf, 20 cl de lait, 1 pincée

de cannelle, 1 pincée de noix de muscade

Pour les adultes : 1 cl de rhum blanc ou autres alcool (whisky,

bourbon, eau-de-vie)

1 : Dans une casserole, chauffez le lait avec la cannelle, la noix de muscade. Attention à ne

pas le faire bouil l ir !

2: Dans un bol, mélangez le jaune d'œuf et le sucre pendant quelques minutes.

3: Ajoutez le lait chaud en battant sans arrêt avec le fouet, jusqu'à rendre le mélange

homogène.

Pour finir. . . Pour les adultes, ajouter votre alcool.

A boire chaud. Servir dans un verre de type "tasse".

Les Financiers :

Ingrédients:

1 25 g de poudre d'amandes, 1 00 g de sucre glace, 1 00 g de

beurre, 40 g de farine, 3 blancs d’œufs, 1 c. à soupe de miel

d'acacia, 1 pincée de sel

1 : Préchauffez le four th.6 (1 80°C).

2: Faites fondre le beurre jusqu'à ce qu'i l prenne une jol ie couleur noisette, mais sans le

laisser brûler puis fi ltrez-le sans prendre les dépôts.

3: Mélangez le sucre avec la farine, la poudre d'amandes et le sel. Incorporez les blancs

d’œufs juste détendus à la fourchette, puis le beurre fondu et enfin le miel.

4: Entreposez pendant 1 heure au frais.

5: Répartissez ensuite la pâte jusqu'à mi-hauteur dans de petits moules beurrés.

6: Laissez tiédir avant de démouler.

CCuuiissiinnee

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JJeeuuxxddiivveerrss

Octobre :

Mon premier est un animal domestique

Mon deuxième est une personne qui a mauvais caractère et aussi une maladie

Mon tout est un fruit qui se cache dans une bogue

Mon premier se laboure

Mon deuxième est un oiseau bavard

Mon troisième est un coup de poing

Mon tout se cache dans les bois au mois d'octobre

Mon premier peut-être potable ou non potable

Mon deuxième est le contraire de tard

Mon troisième peut-être de cravate ou papil lon

Mon tout est une saison qui marque la fin des beaux jours

Novembre

Mon premier exprime la total ité

Mon deuxième est un être béni

Mon tout est fêté le 1 °novembre

Mon premier est une période diffici le

Mon deuxième fait douze mois

Mon troisième est une boisson célèbre chez nos voisins les Anglais

Mon quatrième est le cri de la vache

Mon tout est la fleur symbole de la Toussaint

La musique, la peinture, la sculpture sont mon premier

Celle de France est élue pour un an

Mon troisième entrecroise des fi ls

Mon tout est fêté le 11 novembre

Décembre

Mon premier est une note de musique

Mon deuxième est le contraire d'endormi

Mon troisième est un pronom personnel indéfini

Mon tout est le souper de Noël

Mon premier est la onzième lettre de l 'alphabet

Mon deuxième est une note de musique

Mon tout s'offre à Noël

Mon premier est un tableau des jours de l 'année

Mon deuxième représente une paire

Mon troisième est une note de musique

Mon quatrième négocie le prix

Mon tout est un tableau des jours qui précédent Noël

Quelques charades ...

Ces charades ont étéinventées par les résidents

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JJeeuuxxddiivveerrss

SSoolluuttiioonnss ddeess jjeeuuxx dduu nnuumméérroo pprrééccééddeenntt""mmoottss ccrrooiissééss ""PPaayyss BBaassqquuee""

Horizontalement

1 . Sommet des pyrènées situé dans le pays basque: RHUNE

2. Danse traditionnelle du pays basque: FANDANGO

3. Discipl ine sportive qui se pratique au pays basque avec une balle: PELOTE

4. Discipl ine sportive qui se pratique au pays basque avec une planche: SURF

5. Couleur des cerises uti l isées pour la confection du gâteau basque. . . . . Vaste étendue d'eau

salée qui longe la côte basque: NOIRE - OCEAN

6. Couvre-chef basque: BERET

7. Celles des Pyrénées séparent le pays basque français du pays basque espagnol:

MONTAGNES

8. Vil le des Pyrénées-Atlantiques réputées pour ses fêtes en rouge et blanc. . . .Fruits uti l isés

dans la confection du gâteau basque: BAYONNE - CERISES

9. Chaussures de toi le avec semelle de corde: ESPADRILLES

Verticalement

1 . Spécial ité charcutière de Bayonne. . . . .El les donnent le lait uti l isé dans la confection des

fromages basques: JAMBON - BREBIS

2. Une des couleurs dominantes du paysage basque: ROUGE

3. Celui d'Espelette est célèbre: PIMENT

4. Une des rivières du pays basque: NIVE

5. Mur uti l isé pour la pelote basque: FRONTON

6. Vil le célèbre pour son piment: ESPELETTE

7. Celle de cerises noires se déguste avec un fromage de brebis: CONFITURE

NB : Ces mots croisés ont été inventés par les résidents.

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AAggeennddaaddeessrrééuunniioonnss

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PPllaannnniinnggAAnniimmaattiioonn

JANVIERMardi 8 janvier 2013: Gouter du Nouvel An avec les Voeux de la Mairie et dela Direction, à 15h dans la salle de restaurant du bâtiment principal.Mercredi 9 janvier 2013: Loto gratuit, à 15h dans la salle de restaurant dubâtiment principal.Lundi 14 janvier 2013: Rencontre intergénérationnelle: atelier cuisine avec les enfants de"Passerelle",à 10h15 dans la salle d'animationMardi 15 janvier 2013: Goûter des Aînés offert par la Municipalité de Mazamet, à 14h au Palais descongrèsJeudi 24 janvier 2013: Spectacle musical avec la Chorale "Aussillon chante"à 15h dans la salle derestaurant du bâtiment principal.Mercredi 30 janvier 2013 : Célébration des anniversaires dumois de janvier, à 15h dans la salle derestaurant du bâtiment principal.Jeudi 31 janvier 2013: Célébration des anniversaires du mois de janvier, à 15h dans le lieu de vie del'unité Toulouse Lautrec.

FEVRIERMercredi 6 février 2013: Loto gratuit, à 15h dans la salle de restaurant du bâtiment

principal. Mardi 12 février 2013: Mardi Gras: Rencontre intergénérationnelle: ateliercuisine avec les enfants de "Passerelle", à 10h15 dans la salle d'animation.Mardi 12 février 2013: Mardi Gras: Atelier cuisine: réalisation des crêpes, à 15h

dans la salle d'animation.Mercredi 13 février 2013: après-midi festive avec dégustations de crèpes, à 15h dans la salle de restaurantdu bâtiment principal.Jeudi 21 février 2013: Spectacle musical avec la compagnie "la Scie Musicale", à 15h dans la salle derestaurant du bâtiment principal.

MARSLundi 4 mars 2013: Projection de Diapositives réalisée par MonsieurDressayre, à 15h dans la salle Galibert-Ferret.Mercredi 6 mars 2013: Célébration des anniversaires du moisde février, à15h dans la salle de restaurant du bâtiment principal.Jeudi 7 mars 2013: Célébration des anniversaires du mois de février, à 15hdans le lieu de vie de l'unité Toulouse Lautrec.Mercredi 13 mars 2013: Loto gratuit, à 15h dans la salle de restaurant du bâtiment principal.Vendredi 15 mars 2013 : Rencontre intergénérationnelle: atelier jardinage avec les enfantsde"Passerelle", à 10h15 dans la salle d'animation.Mardi 19 mars: Saint-Joseph: Spectacle musical avec le groupe "DISTRAIR", à 15h dans la salle derestaurant du bâtiment principal.Mercredi 27 mars 2013: Célébration des anniversaires du mois de mars, à 15h dans le lieu de vie del'unité Toulouse Lautrec.Jeudi 28 mars 2013: Célébration des anniversaires du mois demars, à 15h dans la salle de restaurant dubâtiment principal.

Planning sous réserve de modifications

AAnniimmaattiioonnss dduu 11iieerr TTrriimmeessttrree 22001133

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IINNVVEESSTTIISSSSEEZZ--VVOOUUSS !!

NNOOTTEE IIMMPPOORRTTAANNTTEE

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SARL JACKY MASSOUTIER ETFILS

PLATRERIE GENERALE

ZA LA MOLIERE - 81300 GRAULHET

TEL : 05 63 42 87 00 - FAX : 05 63 42 87 01

LLeess MMeennuuiissiieerrss RRééuunniiss

1 68 BIS, RUE DE LA RESSE - 81 200 MAZAMET

TEL : 05 63 61 1 3 72 - FAX : 05 63 61 07 00


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