Das informative Magazin für aktive und passive Tambouren und Pfeifer sowie Freunde des Schweizerischen Tambourenwesens
Le magazine informatif pour les tambours et fifres actifs et passifs, ainsi que pour les amis de l’art du tambour en Suisse
2003 2. Jahrgang CHF 8.50
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Inhalt / Sommaire
Tambour Major Herausgeber/Editeur Schweizerischer Tambourenverband Association Suisse des Tambours
Kontakt/Contact: Markus Estermann Wührestr. 490, 5724 Dürrenäsch [email protected]
www.stv-ast.ch
Redaktion/Rédaction Bernhard Clemenz Markus Estermann Christoph Gnägi Martial Gumy Philippe Müller Christine Rüegsegger Peter Schwarzer René Walz
Kontakt/Contact: Christine Rüegsegger Grassiweg 12, 3714 Frutigen [email protected]
Übersetzungen/Traductions Pascal & Claude Grezet Laurette Gaudin
Auflage/Edition ca. 4'500 Ex.
Tambour Major erscheint/paraît zweimal jährlich, Mai und November deux fois par an, mai et novembre
Anzeigen und Gratisinserate Annonces et insertions gratuites Preise auf Anfrage/Prix sur demande büro Script, Grassiweg 12, 3714 Frutigen
Redaktionsschluss/Clôture de rédaction jeweils 5. April und 5. Oktober 5 avril et 5 octobre, resp.
Abonnemente/Abonnements Einzelpreis/Prix par exemplaire CHF 8.50 Jahresabo/Abonnement annuel CHF 15.--
Gestaltung/Présentation büro Script, Frutigen
Druck und Versand Impression et expédition Egger AG, Frutigen
Die Wiedergabe von Artikeln mit Quellenangabe ist ge-stattet. Die Tambour Major Redaktion freut sich in jedem Fall über ein Belegexemplar.
La reproduction d’articles est autorisée avec indication de la source. La rédaction du Tambour Major s’intéresse dans tous les cas à une copie de votre document.
STV-AST
Editorial 7
Juniorencamp 03 Küchentratsch/Potins de cuisine 3
Gluringen... en mains des tambours et fifres/in der Hand von 4 Trommlern und Pfeifern 5 De Oli isch de Bescht/Oli est le meilleur 6
Knowhow Portrait René Brielmann 10
Der Vereins-Tambourmajor 12
Kommunikation/Communication Leserbriefe 13
Marktplatz/Place du marché 14 In eigener Sache/De notre part 26
Agenda Bunt gemischt/en vrac 35
International French Connection 21
Rhythmus aus der Kiste - das Cajon 24
Traditionen/Traditions Smörebröd im Berner Oberland 32
OTV Aktive Jugend 9
OWTPV Kultur leben und erleben 28
URSTFC Cossonay 2003 - en images 8
ZTPV Endlich, endlich eine Parade 18
VV Scotland for ever 30 Le Tattoo et le séjour de l’UV/AST 34
Foto Cover / Photo couverture Rosemary Enz Lors des festivités du 200ème Anniversaire de l’entrée du Canton de Vaud dans la Confédération à Lausanne, le tambour-major de MERULA, société de fifres et tambours lausannoise, a convaincu le Conseiller fédéral Samuel Schmid ceci au nez et à la barbe de ses gardes du corps et des organisateurs, de donner le départ de la marche «le Wettstein». M. Schmid s’en est parfaitement bien sorti!
2003
3333 Gluringen Camp 2003Gluringen Camp 2003Gluringen Camp 2003Gluringen Camp 2003 STSTSTSTV ASTV ASTV ASTV AST
Texte Philippe Müller, Sepp Hauser, die Kids - Fotos Christine Rüegsegger (Vercorin)
Küchentratsch Sepp Hauser
Schon Wochen vor dem Lager befass-te ich mich mit dem Menuplan und dementsprechend mit den Bestellun-gen der rund 3000 kg Lebensmittel. Ich habe ausgerechnet, dass für die 205 Teilnehmenden während diesen 10 Ta-gen rund 5500 Mahlzeiten verabreicht werden müssen. Wenn man jetzt pro kg einen Durchschnittspreis von Fr. 8.-- oder pro Mahlzeit Fr. 4.50 annimmt, so kann man in etwa das Verpflegungs-budget, selbstverständlich ohne Ne-benkosten, ausrechnen. Ein reichhaltiges Frühstück erweckte jeden Morgen auch die müden Geis-ter. Rund 250 kg Brot, je 30 kg Butter, Käse und Konfitüre wurden verspeist
und dazu mit 440 l Milch je 700 Portionen OVO, Suchard-Express und Kaffee getrunken. Joghurt, Kiri, Nutella und Cornflakes vervollständigten das Frühstücks-Buffet. Zum Znüni und Zvieri wurden ab-wechslungsweise Früchte, Joghurt und Snacks abgegeben. Tagsüber und zu den Mahlzeiten stand immer Eistee bereit, 1300 l flossen die durstigen Kehlen runter. Am Mittag und am Abend wurde währschaft gekocht. Folgende Men-gen wurden dabei verarbeitet: 400 l Suppe, 360 kg Fleisch und weit über 1000 kg Zutaten wie Gemüse, Reis, Teigwaren, Konserven, Oel, Fett und Gewürze. Den Rekord der Beilagen konnten die Pommes-frites für sich verbuchen, denn ganze 50 kg fertige
Frites mussten zum selbigen Mittag-essen gebacken werden. Jeden Tag gab es ein Dessert. Für diese süssen Abwechslungen wurden fast 3000 Franken ausgegeben. Um dies alles zu bewältigen, brauchte es eine leistungsfähige Küchenmann-schaft. Dabei ging es nicht nur um die Zubereitung der Speisen, denn auch das ganze Geschirr wurde in der Küche abgewaschen. 10 Personen arbeiteten durchschnittlich 12 Stunden im Tag. Das sind 1200 Arbeitsstunden, welche Veteranen mit ihren Gattinnen im Ein-satz für die Jungen geleistet haben. Vielen Dank. Es war echt stark, und tschüss!
Potins de cuisine Sepp Hauser
Des semaines à l'avance, je me suis débattu avec le plan des menus et les commandes de quelque 3000 kg de vivres. J'avais compté que pour 10 jours et 205 participants, 5500 repas devraient être préparés. En comptant fr. 8.- par kilo, soit un prix moyen de 4.50 par repas, il m'a été possible d'évaluer le montant du budget, hors tout extra, cela va sans dire. Un « petit »-déjeuner de roi réveillait chaque matin les esprits fatigués. 250 kilos de pain, 30 kg de beurre, 30 de fromage et autant de confiture ont été servis durant le séjour, avec encore 440 litres de lait, 700 portions d'Ovo et de Suchard, sans compter le café. Jogourts, Kiris, Nutella et Korn Flakes complétaient encore le buffet. Pour les dix-heures et les quatre-heures: fruits variés, yogourts et snacks.
Durant la journée et les repas, il y avait toujours du thé froid à disposition; 1300 l. de thé ont coulé dans les gosiers as-soiffés. Les repas chauds servis chaque jour, midi et soir, ont totalisé 400 l. de soupe, 360 kg de viande et plus de 1000 kg de légumes, riz, pâtes, conser-ves ou autre en accompagnement, plus huile, graisse et épices. Mais le record absolu a été remporté par les frites, dont 50 kg ont été servis en un seul repas !
Chaque jour, il y avait aussi un dessert. Une « douceur » à 3000 francs sur le budget total. Pour maîtriser tout cela, il a fallu une équipe bien rodée. Car, il ne s'agissait pas uniquement de préparer les repas, la vaisselle sale revenant, bien sûr, vers la cuisine... 10 personnes ont œuvré 12 heures par jour en moyenne et ac-compli ainsi 1200 heures de travail. Un pensum que les vétérans et leurs com-pagnes ont gracieusement offert à leur jeunesse. On leur adresse un tout grand merci ! Ca été fort, ça été bon !
STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST Gluringen Camp 2Gluringen Camp 2Gluringen Camp 2Gluringen Camp 2003003003003 4444
Gluringen en mains
des tambours et
fifres. Philippe Müller
Les appréhensions anticipées préten-dant que le camp de l’AST ne se dé-roulerait pas aussi aisément que les années dernières en raison du grand nombre de participants, n’ont heureu-sement pas reflété la réalité. Le 7ème camp des juniors à Gluringen a été un succès sur toute la ligne. Un des points culminants fut le concert final à Brigue. Et vlanEt vlanEt vlanEt vlan !!!! !!!! !!!! Les quelque 160 participan-tes et participants au camp étaient là ! Plus d’un moniteur ressentit une curieuse sensation à l’estomac en apercevant la meute de jeunes tam-bours et fifres. Peut-être eurent-ils quel-ques doutes quant aux possibilités réel-les d’étudier tout le répertoire prévu. Vu après coup: Ce fut possible !
Mais restons-en quelque peu au début de ce 7ème camp des juniors de l’AST, qui s’est déroulé du 25 juillet au 3 août 2003 à Gluringen (VS). Déjà avant que le camp ne commence, la matière à discussion était abondante. Le nombre record de participants donnait avant tout à réfléchir. Cet énorme intérêt des jeunes tambours et fifres démontre clairement que par l’organisation de ces camps de juniors, l’Association Suisse des Tambours répond à un vrai besoin. En cela, la jeunesse pense tou-jours à sa façon, à savoir à des concerts amusants et à des présenta-tions, tel qu’il y en a eu à nouveau cette année.
«Rocktrap» en tant que fait marquant Mis à part le record de participants, une première mondiale était égale-ment à inaugurer à Gluringen. La composition « Bodypercussion » Rock Trap a été interprétée par l’ensemble des participants au camp. 160 jeunes tambours et fifres, répartis en 4 groupes ont éprouvé un réel plaisir à exécuter des rythmes drôles et modernes, en uti-lisant différentes parties de leur corps, telles que les pieds, les mains, les cuis-ses et la cage thoracique. La joie a également envahi le public qui, à chaque Rock Trap, a applaudi frénéti-quement.
Vercorin et Viège Cette année, deux concerts ont eu lieu dans le cadre du camp des juniors. Lors des camps précédents, il y avait plus d’apparitions en public, raison pour laquelle les spectateurs étaient moins nombreux. Par contre, les deux concerts de cette année à Vercorin et Viège ont été très bien fréquenté. Lors de la fête du 1er août, une marche de propagande a d’abord eu lieu au tra-vers du charmant village de Vercorin et suivie d’en concert nocturne sous un ciel limpide. Le dernier soir, tout le camp s’est dé-placé à Viège au moyen de 4 cars, où le concert final fut interprété sur la scène du Centre La Poste. Une fois de plus, ce fut pour les jeunes des instants de concentration intense, afin de pré-senter sans faute le programme étudié. Quoi qu’il en soit, un CD du concert a été enregistré en direct, grâce auquel dans plusieurs années encore, les ju-niors se souviendront avec enthou-siasme de ce 7ème camp de l’AST. Au dernier jour encore, un concert a été donné au camp même, pour les parents et amis, avant que chacun ne prenne congé de Gluringen, ainsi que de toutes les amies et tous les amis rencontrés durant ce séjour. Le 7ème camp des juniors s’est parfaitement déroulé, comme peu de fois aupara-vant. Ceci est certainement dû au tra-vail impeccable de Oli Fischer, qui as-sumait l’entière responsabilité de la di-rection du camp.
5555 Gluringen Camp 2003Gluringen Camp 2003Gluringen Camp 2003Gluringen Camp 2003 SSSSTV ASTTV ASTTV ASTTV AST
Gluringen in der
Hand von Trommlern
und Pfeifern. Philippe Müller
Befürchtungen im Vorfeld, dass das
STV-Lager wegen der grossen Teilneh-
merzahl nicht ganz so glatt ablaufen
würde wie in früheren Jahren, wurden
nicht zur Realität. Das 7. Juniorencamp
in Gluringen war ein Erfolg auf der gan-
zen Linie. Einer der Höhepunkte war
das Abschlusskonzert in Brig.
Wham!!!Wham!!!Wham!!!Wham!!! Und die rund 160 Lagerteil-
nehmerinnen und Lagerteilnehmer wa-
ren da. Mancher Leiter hatte wohl ein
etwas mulmiges Gefühl im Magen, als
er die Meute jugendlicher Trommler
und Pfeifer erblickte. Vielleicht kamen
auch Zweifel auf, ob es überhaupt
möglich wäre, das geplante Repertoire
einzustudieren. Im Nachhinein betrach-
tet: Es war möglich.
Bleiben wir aber noch etwas beim Be-
ginn des 7. STV-Juniorencamps, das
vom 25. Juli bis zum 3. August 2003 in
Gluringen (VS) durchgeführt wurde.
Schon bevor das Lager überhaupt be-
gonnen hatte, war genügend Ge-
sprächsstoff vorhanden. Vor allem die
rekordverdächtige Teilnehmerzahl gab
zu reden.
Dieses grosse Interesse bei den jugend-
lichen Trommlern und Pfeifern zeigt
deutlich, dass der Schweizerische
Tambourenverband mit der Durchfüh-
rung des Juniorencamps einem richti-
gen Bedürfnis nachkommt. Die Jugend
bedankt sich dafür immer auf ihre Wei-
se, nämlich mit tollen Konzerten und
Vorführungen, wie es sie auch in die-
sem Jahr wieder gegeben hat.
Rocktrap als Highlight Neben dem Teilnehmerrekord gab es
in Gluringen auch eine Weltpremiere
zu feiern. Die Bodypercussion-
Komposition Rock Trap wurde mit sämt-
lichen Lagerteilnehmern aufgeführt.
160 junge Tambouren und Pfeifer, in 4
Gruppen aufgeteilt, hatten sichtlich
Spass an den lustigen und modernen
Rhythmen, bei denen Körperteile wie
Füsse, Hände, Oberschenkel und Brust-
korb zum Einsatz kamen. Die Freude
sprang denn auch aufs Publikum über,
das bei Rock Trap immer frenetisch
applaudierte.
Vercorin und Visp In diesem Jahr fanden im Rahmen des
Juniorencamps zwei Konzerte statt. In
früheren Camps gab es zum Teil mehr
öffentliche Auftritte, dafür war der Pub-
likumsaufmarsch oft nur mässig. Die
beiden diesjährigen Konzerte in Verco-
rin und Visp dagegen waren sehr gut
besucht. Anlässlich der Feier zum 1.
August fanden im hübschen Städtchen
Vercorin zuerst ein Propagandamarsch
und anschliessend ein Abendkonzert
unter freiem Himmel statt.
Am letzten Abend fuhr das ganze
Camp mit 4 Bussen nach Visp, wo im
Zentrum La Poste das Abschlusskonzert
über die Bühne ging. Noch einmal galt
es für die Jugendlichen, sich voll zu
konzentrieren und das einstudierte
Programm möglichst fehlerfrei vorzu-
tragen, immerhin wurde vom Konzert
eine Live-CD produziert, dank der sich
die Kids auch in vielen Jahren noch an
das 7. Juniorencamp erinnern werden.
Am letzten Tag fand für die Eltern und
Angehörigen auf dem Lagerarel noch
ein Konzert statt, danach galt es für al-
le, Abschied zu nehmen von Gluringen
und den neu gewonnenen Freunden
und Freundinnen.
Das 7. STV-Juniorencamp verlief so
friedlich wie kaum jemals zuvor. Das ist
sicher nicht zuletzt das Verdienst von
Oli Fischer, der die Gesamtleitung des
Lagers unter sich hatte.
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Ich sägu nur: B wiä Bes-ser. Super Lager gsi. Z’Lager isch im grossu und ganzu güet gsi. Ich ha viel gleert :-) und ha g’Schpass ka. Und wiör welle widär chu, wen ischi Petra öi da isch. Echt pingelig med dr Nachtrueh, aber anondför-sech gaaanz cool gsi! Isch scho Hammer gsi.
De Oli isch de BESCHT!De Oli isch de BESCHT!De Oli isch de BESCHT!De Oli isch de BESCHT!S’Ässe isch huere fein. Das Lager sött all Jahr stattfinde. Zu frühe Tagwacht. Ich fand es sehr schön! Es war nur doof, dass man nicht länger ausschlafen durfte. Die Küche war mega...!!! Es isch voll es easy Lager gsi, es het huere cooly Lüüt gha. Es sötti all Jahr stattfinde!! Das Stück „Polygon“ ist eines der besten Stücke, die ich je ge-spielt habe. Grossen Dank an Rolf und Daniel, die das ganze geschrieben haben. Das Lager selber war genial aber auch anspruchsvoll. Ich finde es allerdings schade, dass wir dieses Jahr nur im Wallis Konzerte gaben. Man sollte auch in der Ausserschweiz Konzertstopps ma-chen. D’Leiter settet eim ned emmer i Grend zündte!!! Söscht cool!!! Es set meh Freizit ho!
Oli est lOli est lOli est lOli est le meilleur !e meilleur !e meilleur !e meilleur !Les repas sont excel-lents. Le camp devrait avoir lieu chaque année. J’ai trouvé cela très bien! Ce fut seulement un peu bête que l’on ne puisse pas dormir plus longtemps. La cuisine fut mega…!!! Il y avait toujours assez de viande.
Hip Hip Hurra, tout est super, tout est magnifique. Ce camp a été vachement sympa! J’ai trouvé le camp super. C’était quelque peu sé-vère, mais j’ai beaucoup appris. Le camp fut super, mais également très strict. Nous avons pu apprendre énormément. Seul le service de réveil était absurde. Le camp lui-même a été génial, mais aussi très exigeant. J’ai trouvé dommage que cette année, les concerts n’aient eu lieu qu’en Valais. Nous de-vrions également donner d’autres concerts ailleurs en Suisse.
Güggeli dü Schnüggeli - bye Petra Ich fand das Lager super. Es war zwar ein wenig streng, aber ich habe viel gelernt. Das Lager war super. Aber auch sehr streng. Man konn-te viel lernen. Einzig der Weckdienst war blöd! Es hatte immer
genug Fleisch. Hip Hip Hurra, al-les ist super, alles ist wunderbar. P.S. De Oli het’s drof!De Oli het’s drof!De Oli het’s drof!De Oli het’s drof! De Enedienst chasch rauche ! Userd de Martin !!! Wenn d’Leiter Tagwach au nöd verpenne würdet!
S’Lager esch hüere güet gsi! Félicitations aux organisateur, pour ce Camp 03 très bien organisé ! Abgseh dervo, dass s’Ässe zum rauche isch gsi, isch’s es mega cools Lager gsi. Je Baby. P.S. Dä mit de blaue Möse
????
7777 EditorialEditorialEditorialEditorial STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST
“Es gibt nichts Erfolgreicheres als der Erfolg!” „Il n’y a pas de plus belle réussite que le succès!“
Markus Estermann
„S’Maximum!, mega..., super, fantas-tisch, einmalig, überwältigend und voll fett“ sind nur einige der Superlativen, die für das Frühjahr und den Sommer 2003 von den Fernseh-Zuschauerinnen und -zuschauern übers Trommeln und Pfeifen ausgesprochen wurden. „Top Secret“ hat uns allen gezeigt, was mit einer perfekten Show und einem professionellen Marketing er-reicht werden kann. Die Fernseh-, Ra-dio- und Presseberichte haben ein un-geheuer positives Echo für unser Hobby erzeugt. Kürzlich hat mir ein Jungtam-bour gesagt, „Nach dem Besuch des „Top Secret“ Konzertes in Aarburg bin ich wieder voll motiviert zum Üben“. Weitere Glanzpunkte dieses Sommers waren das STV-Juniorencamp in Glu-ringen/VS, Cossonay mit dem URSTFC-Fest, Auslandauftritte von Vereinen in Saint-Brieuc(F) und Neuilly-Plaisance(F), der Besuch des französischen Startam-bours Jean-Luc Langlois beim STV-Ju-niorencamp in Gluringen und der Tambouren-RS in Aarau. Alle Ereignisse haben das Bild vom Schweizer Trommeln und Pfeifen im In- und Ausland positiv beeinflusst. Jeder Erfolg einer Trommel- und Pfei-fergruppe spornt andere an, ähnliches zu tun. Wenn publikumswirksam konzer-tiert wird, kommt das Publikum und damit der Erfolg. Es ist wichtig, dass wir möglichst viele Auftritte und Konzerte durchführen können und uns im Wett-spiel gegenseitig messen können. Die musikalischen Fortschritte in der schweizerischen Trommel- und Pfeifer-szene sind enorm. Das Beherrschen un-serer „Zündstoff“-Notenschrift verein-facht das Erlernen und das Kompo-nieren von modernen Stücken. Jedes Jahr werden viele neue Kompositionen klassiert und registriert und können von allen erlernt werden. Viele dieser Trommel- und Pfeiferstücke beinhalten neue und attraktive Stilelemente. Ge-nau solch moderne Werke haben in den vergangenen 20 Jahren einen neuen Trommelstil entwickelt.
Das schweizerische Trommeln ist sehr innovativ, wie noch nie in der Ge-schichte dieses Instruments. „Schreibt so viele Zeitungsberichte wie möglich, denn nur durch die Öffent-lichkeitsarbeit werden die Eltern unserer künftigen Jungtambouren- und –pfeifer auf uns aufmerksam und schicken ihre Kinder in unsere Trommel- und Pfeifer-schulen. Tut Gutes und sprecht darü-ber!!!“.
Euer Präsi «Le maximum!, mega ...., super, fantas-tique, unique, grandiose, etc., ce ne sont là que quelques-uns des superlatifs prononcés par les téléspectatrices et téléspectateurs au printemps et en été 2003 à propos du tambour et du fifre. « Top Secret » nous a démontré à tous ce que l’on pouvait atteindre avec un show parfait et un marketing profes-sionnel. Les communiqués de la télévi-sion, de la radio et de la presse n’ont pas tari d’éloges sur notre hobby pré-féré. Récemment, un jeune tambour m’a dit : « Après avoir assisté au concert de „Top Secret“ à Aarburg, je suis à nouveau complètement motivé à m’entraîner ! »
D’autres points chauds de cet été : le camp des juniors de l’AST à Glurin-gen/VS, la fête de l’URSTFC de Cosso-nay, l’entrée en scène de sociétés suis-ses à Saint-Brieuc (F) et à Neuilly-Plai-sance (F), la visite de la star du tam-bour français, Jean-Luc Langlois, au camp des juniors de l’AST à Gluringen et l’ER tambours d’Aarau. Tous ces événements ont exercé une influence particulièrement positive pour l’image du tambour et du fifre suisses, tant dans notre pays qu’à l’étranger. Chaque succès d’un groupe de tam-bours et fifres incite les autres à faire de même. Si le concert est attractif, le public vient et le succès est assuré. Il est important que l’on puisse donner le plus de concerts possible et que l’on puisse s’évaluer réciproquement lors des concours. Les progrès musicaux réalisés par la scène suisse du tambour et du fifre sont énormes. La maîtrise des partitions de notre « Zündstoff » facilite l’apprentissage et la composition de morceaux modernes. Chaque année, un grand nombre de nouvelles com-positions sont classées et enregistrées et peuvent être ainsi apprises par tout le monde. Bien des morceaux pour le tambour et le fifre contiennent des éléments de style inédits et attractifs. C’est exactement de cette manière que des œuvres modernes ont déve-loppé un nouveau style de jeu du tambour durant ces 20 dernières an-nées. Le tambour suisse est innovateur comme jamais encore il ne l’a été dans l’histoire de cet instrument. « Écrivez autant d’articles de journaux que possible, car c’est bien grâce à l’efficacité de la publication que l’attention des parents de nos futurs jeunes tambours et fifres sera attirée et qu’ils enverront leurs enfants dans nos écoles de fifres et tambours ». « Faites au mieux et surtout parlez-en ! »
Votre Président
URSTFCURSTFCURSTFCURSTFC 17ème F17ème F17ème F17ème Fête romanête romanête romanête romande des tambours, fifres et claironsde des tambours, fifres et claironsde des tambours, fifres et claironsde des tambours, fifres et clairons 8888
En images
Martial Gumy
Le concours de marche
Le cortège
La remise du drapeau
La proclamation des résultats
Reisebüro Musik-Land
für Tambouren- und Pfeifervereine, Gesangs- und Jodlerchöre, Musikgesellschaften, Schwyzerörgeli- und Volkstanzgruppen usw.
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9999 Aktive JugendAktive JugendAktive JugendAktive Jugend OTVOTVOTVOTV
Herbstlager und Wettspiele 2003 Peter Schwarzer
28. OTV Jugendwettspiele in
Uzwil Über das Wochenende vom 17./18. Mai 2003 traten rund 300 Einzel-wettspieler und 19 Sektionen zum Wett-spiel in Uzwil an. Die Jugendmusik Uzwil hat diesen An-lass sehr gut organisiert. Neben den Kategorien der Tambouren konnte auch eine Konkurrenz mit Clairon durchgeführt werden. Leider fehlten die Anmeldungen, um einen Wettbewerb mit Basler-Piccolos durchzuführen. Das Sektionswettspiel S1 wurde vom Tambourenverein Domat-Ems domi-niert. In der Kat. S2 setzte sich der Tambourenverein Fürstenland Gossau an die Spitze. Die beiden hoch stehenden Finale in den Kategorien T1 und T2 wurden von Albin Lucas (T1) von der Union Tam-bours Rabius und Yves Wiesli (T2) von den Stadttambouren Wil gewonnen. Die ausführliche, gesamte Rangliste ist auf www.otv.ch abrufbar.
OTV Jugendlager in Wildhaus
12.- 18. Oktober 2003 Mit sage und schreibe 55 Teilnehmern und einem 13-köpfigen Leiterteam ging es in Wildhaus so richtig zur Sache. Das Ziel dieser Woche war es, in kleinen Grup-pen, dem entsprechen-den Niveau angepasst, eine intensive Ausbil-dung zu bieten. Das Alter der Teilnehmer wurde nach oben auf 18 Jahre begrenzt und die musikalischen Anforderungen auf ein Minimum beschränkt.
Am Ende der Woche gelang aber dennoch ein ansprechendes Schluss-konzert, zu dem auch unsere Picco-logruppe viel beigetragen hat. Wir haben also immer no ch, zwar eine kleine aber feine Bläser-Szene in der Ostschweiz. Neben dem intensiven Üben wurden alle mit dem Besuch der Tambouren RS Aarau und einem Schnupperkurs im Curling spielen überrascht. Diese Auflockerungen wurden sehr geschätzt und machten oben drein noch Spass.
Jugend- und Erlebnishaus Eichberg
Musik Oesch Basel
BocciaBocciaBocciaBoccia VolleyballVolleyballVolleyballVolleyball Swimming PoolSwimming PoolSwimming PoolSwimming Pool grosse und grosse und grosse und grosse und kleine Spielwiesekleine Spielwiesekleine Spielwiesekleine Spielwiese GrillplatzGrillplatzGrillplatzGrillplatz gedeckte gedeckte gedeckte gedeckte TerrasseTerrasseTerrasseTerrasse
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STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST KnowhowKnowhowKnowhowKnowhow 10101010
Komponist vieler Basler Fasnachtsmärsche
Silvia Fuchs
Naarebaschi, Altfrangg, d Veegel, Hanswurscht, Yankee und viele weitere ebenso bekannte wie beliebte Klassiker stammen aus der Feder von René Brielmann. WerWerWerWer ist eigentlich René Brielmann? ist eigentlich René Brielmann? ist eigentlich René Brielmann? ist eigentlich René Brielmann? Ich treffe René in seinem Lieblings-kaffee in Arlesheim. Vor mir sitzt ein sehr netter, angenehmer und bescheidener Mensch. Er ist 81 Jahre alt. Viele Jahre hat er in seinem Haus an der Hebel-strasse gelebt und ist vor einigen Jah-ren nach Arlesheim BL gezogen. Er wohnt dort seit ein paar Monaten im Altersheim, wo es ihm sehr gut gefällt. Musikalisch ist er immer noch sehr aktiv, wenn auch nicht mehr für die Fas-nacht. Am Sonntag und jeden zweiten Freitag spielt er Orgel in der Altersheim-Kapelle. Wenn’s pressiert, zaubert er am Samstagabend für den Sonntags-gottesdienst noch rasch ein Arrange-ment für Orgel und Flöte aus dem Ärmel! Die Kirchenlieder bringt er mit eigenen Variationen. Sein nächstes Projekt ist ein Konzert mit Jazz-Evergreens, wofür er jetzt schon täglich auf seinem E-Piano übt. „Dieses Konzert soll aber im kleinen Rahmen stattfinden“, meint er. „Die Alten und Kranken haben grosse Freude an meinem Spiel.“ Früh hat ihm sein musikalischer Vater „Sachen“ auf dem Piano beigebracht. „Der Junge ist begabt“ hiess es. Des-halb durfte er schon mit 8 Jahren das Konservatorium besuchen. Piccolo spielen gelernt hat er in der Jungen Garde der Fasnachtsclique Central Club Basel CCB und bereits im zarten Alter von 13 Jahren seinen ersten Marsch geschrieben, „dr Knopfli“. „Leider war dieses Märschli nicht so der Hit... und natürlich wurde es nicht aufgeführt“, sagt er lachend. Mit 22 Jahren zog es ihn zum Jazz. Sein Vorbild war der britische Pianist Charly
Kunz. Rasch stiess er zum Orchester von Manfred Werthemann, das später un-ter dem Namen „Fred Many’s Band“ bekannt wurde. 1945 schrieb er sein erstes Klavier-arrangement „Victory Day“, das im Radio mit dem bekannten Cédric Dumont aufgeführt wurde. Den Schritt zum Berufsmusiker habe er aber nie ganz vollzogen, er sei nämlich ein eingefuchster Drogist gewesen, der diese Materie – wie sein Piano – glei-chermassen liebte. „Ich war mit diesen beiden Gebieten verheiratet – Klavier und Pharmazie“, schmunzelt er. In dieser Zeit war auch das Piccolo vergessen. René trat aus der CCB aus und erlebte die Fasnacht jeweils als Pianist an den legendären Masken-bällen. Die Piccololegende Hans Schneider brachte René schliesslich zur Gundeli-Clique, wo er das Piccolospiel wieder pflegen konnte. „Es war eine Freude, mit diesen vielen Pfeifern und auf diesem grossartigen Niveau unter der Leitung von Hans zu pfeifen“, erinnert er sich. „Schreib uns ein Märschli“, bat ihn Schneider bereits nach kurzer Zeit. Was er auch umgehend in die Tat umsetzte. „Nit ibel“, meinte der stets sehr kritische Schneider, als seine Komposition in der Pfeiferstunde zum ersten Mal durchgepfiffen wurde. Die Gundeli-Pfeifer waren begeistert und fanden den Marsch von René toll. Dieser wurde zuerst „namenlos“ gepfif-fen. Heute kennt ihn jedes Kind – es war „dr Naarebaschi“! Da ihn die Cli-que an der Fasnacht nicht als Pfeifer-solo spielen wollte, setzten sich die Gundeli-Tambouren zusammen und schrieben den Trommeltext dazu! Der Naarebaschi war Anfang einer ganzen Serie von Märschen, die eine neue Fasnachtsmusik-Aera einläuteten. Die Brielmann-Märsche machten Furo-
re. René ging mit seinen Kompositionen von den schwerfälligen Marschtakten weg. Er setzte seine Verse leicht und melodiös und untermalte sie mit präch-tigen Unterstimmen. „Ich wollte „finger-gerecht“ komponieren, die Märsche sollten nicht all zu schwer sein, ich ver-mied wenn möglich Fingerbrecher“, sagt er.
Oesch bemühte sich stets um die Ver-besserung des Instruments und trug ebenfalls dazu bei, dass die Brielmann-Märsche jeweils zum Concerto wurden und die harmonisch gesetzten Tiefstim-men sowohl die Musizierenden als auch die Zuhörenden begeistern.
René Brielmann’s 20 schönsten Mär-sche wurden im 2000 auf einer CD verewigt (Musik Oesch Basel, Fr. 29), aufgeführt von „d’Pfyffer“ unter der fachmännischen Leitung von Mi-chael Robertson. Auf www.ztpv.ch ist „Hornpipes“ als Komposition des Monats September zu finden. Die Noten sind nur in der STV-Notenbibliothek erhältlich. Dans le site www.ztpv.ch, sous la composition du mois de septembre, vous trouverez « Hornpipes ». Les notes ne peuvent pas être obte-nues dans le commerce, mais sont disponibles dans la bibliothèque des partitions de l’AST.
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Er hat diese Kompositionen den Cli-quen immer geschenkt. „Wer ihn spielt, bekommt ihn auch.“ war sein Motto. Insgesamt hat er über 100 Märsche und Arrangements für Basler Piccolo geschrieben. „Und welcher ist dein Lieblingsmarsch?“ möchte ich von ihm wissen. Er überlegt nicht lange. „Das ist der Marche bâloise!“ antwortet er. „...und natürlich auch der Hornpipes!“ Erst im Jahr 2000 hat er sich vom Kom-ponieren zurückgezogen. “Ich wollte meinen Platz für den Nachwuchs räu-men“ begründet er seinen Entscheid. Er geht aber immer noch als Zuschauer an die Fasnacht und „gässlet“ den Cli-quen hinterher. Heute ist er Ehrenmit-glied der Gundeli-, Naarebaschi- und Bajass-Clique sowie den Znyynipiggern, mit denen er ab und zu als Gastpfeifer durch die Strassen zog. „Wenn du deine eigene Komposition hörst, ist das ein wunderschöner Mo-ment.“ schwärmt er und seine Augen leuchten. Ein grosses Anliegen ist ihm, dass seine Märsche, Kompositionen und Arrangements möglichst oft ge-spielt und nicht unter Verschluss gehal-ten werden. Die Pfeiferwelt ist René Brielmann dankbar für die vielen musikalischen Highlights, die er ihr gesetzt hat und wünscht ihm viel Freude bei seinem weiteren musikalischen Wirken.
René BrielmannRené BrielmannRené BrielmannRené Brielmann - compositeur de nombreuses marches du carnaval de Bâle, tel Naarebaschi, Altfrangg, d Veegel, Hanswurscht, Yankee et bien d’autres classiques. Qui est en fait René Brielmann ?Qui est en fait René Brielmann ?Qui est en fait René Brielmann ?Qui est en fait René Brielmann ?
J’ai rencontré René dans son café pré-féré, à Arlesheim. En face de moi, se tient un homme gentil, agréable et modeste. Il est âgé de 81 ans. Musica-lement, il est toujours très actif, bien que plus du tout pour le carnaval. Le dimanche et chaque deuxième ven-dredi, il jour de l’orgue à la chapelle du home de vieillesse. Lorsque cela presse, il sort vite de sa manche le sa-medi soir, comme par magie, un ar-rangement pour orgue et flûte pour le service religieux du dimanche ! Son prochain projet est un concert avec Jazz-Evergreens, pour lequel il s’exerce déjà chaque jour à son «E-Piano». «Ce concert doit cependant avoir lieu dans un cadre restreint» avise-t-il. «Les vieux et les malades apprécient beaucoup mon jeu». Très tôt déjà, son père musicien lui fait découvrir le piano. A 8 ans, il va au conservatoire. Il apprend à jouer du piccolo dans la jeune garde de Cen-
tral Club Basel CCB et à l’âge précoce de 13 ans, il écrit sa première marche dr Knopfl». «Malheureusement cette petite marche n’était pas vraiment un hit et ne fut naturellement pas jouée» dit-il en riant. A 22 ans, il se tourne vers le jazz. Sa référence est le pianiste bri-tannique Charly Kunz. Très vite, il ac-cède à l’orchestre de Manfred Wer-themann, qui fut connu plus tard sous le nom de Fred Many’s Band.
En 1945, il écrit son premier arrange-ment pour piano Victory Day, qui fut in-terprété à la radio avec le célèbre Cédric Dumont. La légende du piccolo, Hans Schnei-der, emmène finalement René à la Clique Gundeli, où il peut à nouveau exercer le jeu du piccolo. «Ce fut un réel plaisir de jouer sous la direction de Hans, avec tous ces fifres et ce niveau exceptionnel» se souvient-il. «Écrit-nous une petite marche» lui demanda Schneider peu de temps après. Ce qu’il réalisa immédiatement. Aujourd’ hui, chacun connaît dr Naarebasch»! Les marches Brielmann font fureur. Avec ses compositions, René s’éloigne des marches au rythme difficile. Il écrit des strophes plus faciles et mélodieuses et fait ressortir magnifiquement les sous accords. «Je voulais composer en con-formité avec le positionnement des doigts; les marches ne devaient pas être trop difficiles» explique-t-il. Il a tou-jours offert ses compositions aux cli-ques. «Qui les joue, en profite égale-ment» reste sa devise. En tout, il écrit plus de 100 marches et arrangements pour piccolo bâlois. En l’année 2000 seulement, il cesse de composer. «Je voulais laisser ma place à la jeunesse» justifie-t-il. Mais il va tou-jours au carnaval en spectateur et em-boîte le pas aux cliques. «Lorsque tu entends ta propre composition, c’est un moment merveilleux», s’exalte-t-il avec des yeux brillants.
Büchler& Steiner
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So oder so oder wie?
Markus Estermann
Ab 1874, als der Tambourmajor in der schweizerischen Armee abgeschafft wurde, hat sich das Wissen über die Funktion und Stellung des Tambour-majors nicht weiterentwickelt. Seit bald 130 Jahren wird alles Wissen dieser Kunst ausschliesslich mündlich überliefert. Jeder neue Vereins-Tam-bourmajor stellt sich dieselbe Frage „Wie gehe ich mit diesem Ding (Tam-bourmajorstock) um?“. Der Neue muss sich bei Kollegen, Vorgängern zu die-sem Thema durchfragen und erhalten dabei sehr unterschiedlich, ja sogar widersprüchliche Antworten. Der Festumzug in Sierre 2002 hat ein, milde ausgedrückt, sehr heterogenes Bild der Tambourmajore und deren Stellung und Funktion im Verein gege-ben, ganz im Besonderen die Handha-bung der Stöcke. Die wenigen schriftlichen Dokumente stammen aus Reglementen des Schweizer Militärs des 19. Jahrhunderts. Patrick Robatel hat in den letzten Jahren die Spielführung mit dem Tam-bourmajorstock bei den Militärspielen wieder eingeführt. Dazu hat er ein ent-sprechendes Dokument erstellt, worin zu allen Kommandos die entsprechen-den Stockzeichen beschrieben sind. Leider sind diese Lehrmittel noch nicht öffentlich zugänglich. Es ist zu hoffen, dass unsere Tambourunsere Tambourunsere Tambourunsere Tambour----majore, die wichtigsten Repräsentanmajore, die wichtigsten Repräsentanmajore, die wichtigsten Repräsentanmajore, die wichtigsten Repräsentan----ten jedes Vereines bei öffentlichen Auften jedes Vereines bei öffentlichen Auften jedes Vereines bei öffentlichen Auften jedes Vereines bei öffentlichen Auf----trittentrittentrittentritten, in naher Zukunft eine kleine Hilfe oder Ideenstütze zur Stock- und Spiel-führung erhalten. Um dieses Wissen zu sammeln und hilfreich aufzubereiten, bitte ich alle, welche über Dokumente – Bilder, Text, Fotos usw. – verfügen, diese dem STV zugänglich zu machen. Für die Informationen danken wir be-reits jetzt. Adresse: Schweiz. Tambourenverband, Wührestr. 490, 5724 Dürrenäsch.
Sache gitts, in Glattbrugg bei Zürich!? Wer (er)kennt den Zusammen-hang? Hinweise bitte an die Redaktion...
Le Tambour major dans nos so-ciétés
Depuis 1874, alors que le tambour major disparaissait de l’armée suisse, les connaissances quant à sa fonction et son rôle ne se sont pas dévelop-pées davantage. Cela fait bientôt 130 ans que tout le savoir sur cet art ne s’est transmis que de manière orale. Chaque nouveau tambour major de sociétés se pose la même question: « Comment vais-je évoluer avec cette chose (la canne de tambour major) ? ». Le novice doit se renseigner à ce sujet auprès de ses collègues ou prédécesseurs et obtient en cela des réponses très diversifiées, voire contradictoires. Ceci dit sans méchanceté, le cortège de Sierre 2002 a montré une image très hétérogène des tambours majors, ainsi que de leur position et de leur rôle au sein des sociétés, notamment dans le maniement de la canne. Le peu de documents écrits existants sont tirés des règlements du militaire suisse datant du 19ème siècle.
Rettungsringe für den (Flug!)-Hafen? Französischen Trommler zum Mit-nehmen? Hafenbeiz ohne Schiffe?
Ces dernières années, Patrick Robatel a réintroduit la conduite musicale au moyen de la canne de tambour major dans la musique militaire. Il a élaboré de plus un document correspondant, dans lequel sont décrits tous les com-mandements effectués au moyen de la canne. Malheureusement, cette mé-thode n’est pas encore accessible pu-bliquement. Il est à espérer que dans un proche avenir, nos tambonos tambonos tambonos tambours majors, dignes urs majors, dignes urs majors, dignes urs majors, dignes représentants de chareprésentants de chareprésentants de chareprésentants de chaque société lors que société lors que société lors que société lors de manifestations publiquesde manifestations publiquesde manifestations publiquesde manifestations publiques, recevront une aide ou un soutien quant au ma-niement de la canne et à la conduite musicale. Afin de rassembler de telles connaissances, et de collaborer acti-vement, je prie tous ceux qui pos-sèdent des documents, images, textes, photos, etc. de bien vouloir les tenir à disposition de l’AST. D’avance, je vous remercie pour toute information. Adresse: Association Suisse des Tam-bours, Wührestr. 490, 5724 Dürrenäsch
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Ihre Meinung interessiert uns. Vielen Dank für Ihre Äusserungen - die Redaktion
Auch die zweite Ausgabe des Tambour Majors gefällt mir. Das Konzept lässt alle, die wollen, zu Wort kommen. aus VV-Bulletin, April 2003, R. Walz ... Ziel der Promotions-Aktion ist, das of-fizielle Organ auch ausserhalb des Schweizerischen Tambourenverbandes bekannt zu machen. Der Tambour Major bietet neben verbandsinternen Meldungen auch viele interessante Be-richte über Tambouren- und Pfeiferfes-te in der Schweiz... Das handliche Ma-gazin besticht durch saubere Ge-staltung. Alle Artikel sind zweisprachig. Zahlreiche, zum Teil farbige Bilder, lo-ckern die Berichterstattung auf... aus Newsletter 02.09.03 von Basler Fas-nacht Online, H. Strohm Nach Erhalt der Zeitschrift "Tambour Major" (1/2003) habe ich die Zeitschrift sofort mit grossem Interesse ausführlich
gelesen. Ich möchte Dir und allen Mit-arbeitern, speziell jenen, welche einen Beitrag geschrieben haben, ein grosses Kompliment aussprechen. Für die nächste Ausgabe wünsche ich weite-ren Erfolg. Mit freundlichem Tam-bouren-Gruss, Philipp Herzog, Luzern Vielen Dank für Ihre Mühe bei der Su-che der ersten Ausgabe des Tambour Majors. Ich habe es soeben mit Interes-se gelesen. Nochmals meine Meinung zu diesem Magazin: informativ, unter-haltend, gut gestaltet. Bitte so beibe-halten. M. Hulliger-Grunder, Kirchberg Das letzte Inserat hat megamässig ein-geschlagen und die ersten Artikel wur-den verkauft, bevor wir das Heft in Händen hatten. Somit liegt es nahe, dass die Post verschiedene Zustellzeiten hat. Die letzten Anrufer kamen aus
dem Wallis, nach ca. 6 Wochen, als alles verkauft war. Übrigens hat mir Anfang Oktober noch ein Walliser Kamerad angerufen und sich für die Instrumente interessiert. Demnach wird der Tambour Major auch aufbewahrt und mehrmals gelesen. Er sagte zwar, dass er das Blatt in seinem kürzlich abgehaltenen Militärdienst gesehen habe und auf unser Inserat gestossen sei. Die Resonanz auf das Inserat war auf jeden Fall ein voller Erfolg und alle angebotenen Artikel haben innerhalb 10 Tagen einen neuen Besitzer gefunden. Hoffen wir, dass dies bei den Uniformen (heutige Ausgabe) auch der Fall sein wird... Danke für die Gratis-Benutzung der Marktplatz-Rubrik! Silvio Stucki, Gattikon
Forts. Vereinstambourmajor
Kurzer (!) Auszug aus der TambouroTambouroTambouroTambourorrrrdonnanz vom Jahr donnanz vom Jahr donnanz vom Jahr donnanz vom Jahr
1845 für die eidg1845 für die eidg1845 für die eidg1845 für die eidgenössischenenössischenenössischenenössischen Tru Tru Tru Trupppppenpenpenpen
„Anleitung betreffend die Stel-
lung des Tambourmajors“ A. Stellung und Zeichen des Tambour-majors Gewöhnliche Stellung stehenden Fusses: Der linke Fuss wird 3 Zoll (ca. 7,62 cm) vor die Mitte des rechten gesetzt, die Fussspitze etwas auswärts gedreht, der Stock unter dem Knopfe mit verkehrter Hand angefasst, der Daumen nach hinten... Während des Marschierens: Der rechte Arm natürlich hängend, der Knopf des Stockes neben dem rechten Schenkel, die Spitze vorwärts in der Höhe der Augen, sodann je mit dem Antreten des linken Fusses den Knopf vor die Mitte des Leibes gebracht, zugleich die Spitze etwas gesenkt.
Zur Abwechslung und Erleichterung des Tambourmajors kann der Stock auch während des Marschierens so getragen werden, dass die Spitze des-selben über dem linken Fuss gegen die Erde gerichtet wird, in welchem Fall die Bewegung der rechten Hand ein-fach nach vorn gemacht wird... B. Zeichen um die Trommel abzulegen Die Schlegel einstecken: Der Tambourmajor wendet sich gegen die Tambouren um, hält den Stock mit voller Hand unter dem Knopfe fest, bringt diesen in die Höhe der Augen und streckt den Arm vorwärts aus... usw. (3 Seiten)!
Fachprüfungen 2004Fachprüfungen 2004Fachprüfungen 2004Fachprüfungen 2004
für Militfür Militfür Militfür Militärtamboärtamboärtamboärtambouuuurenrenrenren Alle interessierten Tambouren, wel-che ihre Rekrutenschule im nächs-ten Jahr leisten möchten, müssen sich bis spätestens 15. November mit dem Anmeldeformular für die Fachprüfung Militärmusik anmel-den. Nähere Informationen unter www.militaermusik.ch oder telefo-nisch unter: 062 / 834 72 80. Adj Uof Rütsche Philipp, SAM, Ka-serne, 5001 Aarau militaermusik.ch, 062 / 834 72 80
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Gesehen / Vu
Der berühmte Zürcher Maler AAAAllllbert von bert von bert von bert von
EscherEscherEscherEscher (*1833-1905) hat von allen Schweizer-Milizen Bilder erstellt, wobei immer wieder auch Tambouren, Pfeifer und Tambourmajore vorkommen. Zu finden sind die Bilder unter www.militaerbibliothek.ch. Es müssen mehrere hundert Bilder existieren, wel-che auch bei Antiquariaten gekauft werden können (pro Bild Fr. 75.-). Markus Estermann
Zürich Inf 1847
Le célèbre peintre zurichois Albert von Escher (*1833-1905) a réalisé des tab de toutes les milices suisses, sur lesquels on retrouve toujours des tambours, des fifres et des tambours majors. Il doit exister plus d’une centaine de tab-leaux, qui peuvent être également achetés chez des antiquaires (Fr. 75.- la pièce). Ces images peuvent être con-sultées sous www.militaerbibliothek.ch Aargauer Inf 1827-1842
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Entdeckt
Die Instrumentensammlung
Hans Ebersold, Sarnen Ein lohnendes Ausflugsziel für VereinEin lohnendes Ausflugsziel für VereinEin lohnendes Ausflugsziel für VereinEin lohnendes Ausflugsziel für Vereinssss----
reisenreisenreisenreisen
• Wer hat zwei originale Pfeifer-Ordon-
nanzen für die eidgenössischen Trup-pen von 1819?
• Wer weiss, wie man den Tambourma-jorstock in der Mitte des 19. Jahrhun-derts in der schweizerischen Armee geführt hatte?
• Wann wurden in Basel Trommeln mit Kupferzargen hergestellt?
• Wieso sind in der Schweiz Trommelrei-fen links- oder rechtsschräg bemalt worden?
Dies sind nur einige der Fragen, die Hans Ebersold ganz locker beantwor-ten kann. Hans Ebersold, Tambour aus innerster Überzeugung, hat über Jahr-zehnte ein enormes Wissen erarbeitet. Seine Trommelsammlung umfasst über 300 Trommeln aus der ganzen Welt. 160 Schweizer Trommeln, aus mehreren Jahrhunderten, nennt Hans sein eigen. Dazu ist sein Reiheneinfamilienhaus vom Keller bis unter den Firstbalken voll. Zu jeder Trommel hat Hans eine Ge-schichte zu erzählen. Die genauen Da-ten jedes Instrumentes hat er im Kopf. Es ist zu hoffen, dass dieses enorme Wis-sen in nächster Zeit wissenschaftlich dokumentiert wird.
Freiburger Trommel 1761
Bei meinem Besuch ist mir eine Trom-mel mit nach innen gewölbter Zarge (konkav) aufgefallen. Dieses Feuerwehr Instrument stammt aus der Region Genf, weiss Hans zu berichten. Ich ken-ne nur noch ein weiteres typähnliches Instrument, welches der berühmte Ro-bert Goute (F) besitzt.
Solch seltene Gegenstände hat Hans Ebersold zu zeigen. Die schweizerischen Trommeln bis ins 19. Jahrhundert glichen sich in der gan-zen Schweiz. Zargen aus Holz, Kupfer und Messing waren üblich. Die Trom-meln aus Basel und der übrigen Schweiz waren somit über Jahrhunder-te typgleich. Die Armee entwickelte aus militärischen Bedürfnissen immer kleinere Instrumente. Neben den so ge-nannten „Käseschachteln“ mit Mes-singzargen wurde um 1907 bis 1938 auch Aluminium für Zargen verwendet.
Genf Konkavtrom-mel 1840
Die Basler Trommeln wurden im Verlauf der Zeit immer etwas grösser und erhiel-ten um 1900 die bis heute bekannte Grösse und Form. Beim Militär wurden die Trommeln in dieser Zeitspanne im-mer kleiner und dann wieder grösser und sind heute in den Abmessungen den Trommeln aus Basel gleichgestellt. Die Basler Instrumentengrösse ist seit Jahrzehnten in der ganzen Schweiz verbreitet und wurde zur Schweizer Trommel. So treffen die unterschiedli-chen Wege der Trommeln nach ca. 140 Jahren wieder zusammen und un-ser geliebtes Instrument wird zum ty-pisch schweizerischen Instrument.
Es ist zu hoffen, dass diediediedie EbersoldEbersoldEbersoldEbersold----
SamSamSamSammmmmlung, welung, welung, welung, welche auf Voranmeldung lche auf Voranmeldung lche auf Voranmeldung lche auf Voranmeldung
bbbbeeeesucht werden kannsucht werden kannsucht werden kannsucht werden kann, der Öffentlich-keit in einem Museum zugänglich ge-macht wird.
Der eidgenössische Jodlerverband (EJV) und der Schweizerische Tam-bourenverband (STV) haben Kon-takt miteinander. Peter Portmann, Zentralpräsident des EJV und Markus Estermann kennen sich von diversen Delegiertenversammlungen. Sie pflegen einen guten Kontakt zuein-ander und freuen sich, über musik-politische Fragen zu debattieren. Ei-ne gute Vernetzung des STV mit al-len Schweizer Musik-Verbänden ist sehr wichtig. Peter Portmann ist der Nachbar von Hans Ebersold. Peter Portmann or-ganisierte den Besuch bei der Sammlung Ebersold. Dies war ein kleines Gipfeltreffen des EJV und des STV.
L’Association fédérale des jodleurs (AFJ) et l’Association suisse des Tam-bours (AST) sont en contact. Peter Portmann, président central de l’AFJ et Markus Estermann se connaissent de par diverses assemblées de délé-gués. Ils entretiennent un excellent contact entre eux et ont plaisir à débattre sur des questions de politi-que musicale. De bonnes relations entre l’AST et toutes les associations suisses de musique sont très impor-tantes. Peter Portmann est le voisin de Hans Ebersold. Il a organisé la visite de la collection Ebersold. Ce fut une pe-tite rencontre au sommet de l’AFJ et de l’AST.
Einladung / Invitation
1111. Trummler. Trummler. Trummler. Trummler---- u Pfyffer u Pfyffer u Pfyffer u Pfyffer----SkirennenSkirennenSkirennenSkirennen
auf dem BeatenbergBeatenbergBeatenbergBeatenberg-Niederhorn (BE) Samstag, 14. Februar 2004Samstag, 14. Februar 2004Samstag, 14. Februar 2004Samstag, 14. Februar 2004
Schneebar - Festwirtschaft Übernachtung möglich Startgeld CHF 40.- inkl. Tageskarte Anmeldung an TV Sigriswil-Beatenberg T. Schmocker, 079 652 57 59 [email protected]
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Découvert
La collection d’instruments de Hans Ebersold, Sarnen Un but d’excursion enrichissant pour Un but d’excursion enrichissant pour Un but d’excursion enrichissant pour Un but d’excursion enrichissant pour une sortie de société une sortie de société une sortie de société une sortie de société • Qui possède deux fifres d’ordon-
nance originaux des troupes fédérales de 1819 ?
• Qui sait comment on utilisait la canne de tambour major pour diriger au milieu du 19ème siècle dans l’armée suisse ?
• Quand les tambours ont-ils été fabriqués avec des fûts de cuivre à Bâle ?
• Pourquoi en Suisse, les cercles de tambours ont-ils été peints inclinés à gauche ou à droite ?
Ce sont–là quelques questions auxquelles Hans Ebersold peut répondre en toute décontraction. Par son travail depuis des dizaines d’années, Hans Ebersold, de cœur, a obtenu un énorme savoir. Sa collection compte plus de 300 de tambours en provenance du monde entier. Parmi les160 tambours suisses de siècles différents, Hans reconnaît le sien. Ainsi, sa maison familiale en est remplie de la cave au grenier. Pour chaque tambour, Hans à une histoire à racon-ter. Il a en tête les données de chaque instrument. Il reste à espérer que ces énormes connaissances seront très pro-chainement documentées scientifi-quement.
Berner Trommel
1785
Lors de ma visite, un tambour avec le fût incurvé (concave) m’a frappé. Cet instrument de pompier provient de la région de Genève, révèle Hans. Je ne connais qu’un seul autre instrument de ce type, que possède le célèbre Robert Goute (F).
Se sont des objets de ce genre que Hans Ebersold a à nous montrer.
Luzerner Trommel
1730
Jusqu’au 19ème siècle, les tambours suisses se ressemblent dans tout le pays. Les fûts en bois, cuivre ou laiton sont courants. Ainsi, des siècles durant, les tambours de Bâle et du reste de la Suisse étaient du même type. Pour des besoins militaires, l’armée a développé des instruments toujours plus petits. A part la dite « boîte à fromage » au châssis en laiton, on se met aussi à utili-ser l’aluminium de 1907 à 1938. Les tambours bâlois devinrent toujours un peu plus grands au cours du temps et acquirent vers 1900 leur grosseur et leur forme d’aujourd’hui. Auprès des militaires, les tambours devinrent tou-jours plus petits, puis à nouveau plus grands durant ce laps de temps. De nos jours, ils sont fabriqués aux mêmes dimensions que les tambours bâlois. La grandeur des instruments bâlois s’est répandue en Suisse depuis des dizaines d’année et est devenue ainsi la norme du tambour suisse. Après environ 140 années, les différents chemins du tam-bour se sont rencontrés et notre instru-ment adoré est devenu un instrument typique suisse. Il y a lieu d’espérer que cette colleccette colleccette colleccette collec----tion, qui peut être visitée sur annonce tion, qui peut être visitée sur annonce tion, qui peut être visitée sur annonce tion, qui peut être visitée sur annonce préalablepréalablepréalablepréalable, soit un jour accessible au grand public dans un musée.
Kurs / Cours
Pfeiferkurs STV „Musikalische Grundlagen“ 03 Cours fifres AST „Bases musicales“ 03
Am 23.08.03 wurde mit dem, auf EinEinEinEinzelzelzelzel----modulenmodulenmodulenmodulen aufgebauten Pfeiferkurs be-gonnen. Laut Silvia Fuchs, Pfeiferchefin und Kursleiterin, wurden die ersten Module Notenlehre, Rhythmik und Technik bisher gut besucht. Für Modul 4 sowie für die Prüfung hat es noch Plätze freinoch Plätze freinoch Plätze freinoch Plätze frei! Die Prüfung kann auch ohne Besuch der einzelnen Module ab-solviert werden. Bei bestandener Prü-fung gibt es ein STV-Diplom, für Einzel-modulbesuche eine Kursbestätigung. Modul Modul Modul Modul 4 4 4 4 –––– 06.12.03 06.12.03 06.12.03 06.12.03 Repetition 1., 2. und 3. Modul; Umset-zen des Gelernten, Fingerfertigkeit, schwierige Griffwechsel, Hilfsgriffe, sau-beres Pfeifen, Märsche ab Blatt, einfa-che Noten- und Rhythmusdiktate. Prüfung Prüfung Prüfung Prüfung –––– 24.01.04 24.01.04 24.01.04 24.01.04 Schriftlich Notenlehre, Tonleitern, Rhyth-mus, Instrument, einfaches Noten- und Rhythmusdiktat Praktisch ein frei gewählter Marsch pfeifen und mit 10- bis 15-minütiger Vorbereitung: 1 (unbekannter) Vers in allen 3 Stimmen taktieren und pfeifen, Bindebogenübung pfeifen, Übung mit schwierigen Griffwechseln Weitere Informationen und Anmeldung an Silvia Fuchs, Spitalstrasse 6, 4056 Ba-sel, 061 261 70 48 (P), 061 692 99 44 (G), [email protected]
Neu / Nouveau
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Die “kleinen” Feste
BezirkstambourenfestBezirkstambourenfestBezirkstambourenfestBezirkstambourenfest
WestlichWestlichWestlichWestlich----Raron 2003Raron 2003Raron 2003Raron 2003
in Niedergesteln zeigten sich die Früch-
te der Jugendarbeit vom STV-Camp
2001. Der Tambouren- und Pfeiferver-
ein Burg, Unterbäch, überzeugte das
Publikum und die Kenner der Ahnen-
musikszene mit dem Stück „Hammers“.
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Wenn Trommeln und Pfeifen glücklich machen
Text und Bilder Christine Rüegsegger
Die Welt... ...Trommlerwelt!
Überwältigende Rekordanmeldung Schon früh am Samstagmorgen lässt der Gastgeber, der TV hot sticks Ittigen, die gegen 600 jungen TeilnehmerInnen trommeln und pfeifen. Leben kommt in die sonst Ruhe gewohnte Gemeinde. Währenddessen treffen im Festzelt die aktiven Helfer (in blau gekleidet) noch letzte Vorbereitungen. Es wird erklärt, wie die Kaffeemaschine funktioniert und wo welche Getränke deponiert sind, zu dritt werden Aschenbecher geleert („Die si ja no suber!“) und Schilder „Menu“, „Grill“, „Getränke“ montiert, damit ja niemand am falschen Ort Schlange steht. Tolerante Bevölkerung, friedliche Tolerante Bevölkerung, friedliche Tolerante Bevölkerung, friedliche Tolerante Bevölkerung, friedliche
Trommler und PfeiferTrommler und PfeiferTrommler und PfeiferTrommler und Pfeifer
Rund um die Schulanlage Rain und Gemeindeverwaltung steht das letzte Wochenende im September 03 im Zeichen des Trommelns und Pfeifens. Die Bevölkerung wurde im Voraus gebeten, das Musizieren zu tolerieren und dafür Verständnis aufzubringen, wenn am Samstagabend einzelne Sektionen trommelnd und pfeifend durch Ittigen marschieren... Nach ersten Enttäuschungen im Vorfeld des Anlasses, weil man die Bitte, das Gässli zu unterlassen als Verbot verstand, wird dann doch mit offizieller Bewilligung gässlet - anstän-dig, tolerant, friedlich und entgegen-kommend bis 23 Uhr. Anschliessend hockt man in der Dorfbeiz, die Wirtsleute freut’s, und bestellt ne Schlummerrunde - chauti Schoggi! Ideenreiche Unterhaltung Derweil präsentieren im Festzelt das Perkussionsensemble und die Tambou-ren des Schweizer Armeespiels alle Facetten der Schlagzeug- und Trom-melkunst. Die Show des Tambouren-vereins Laupersdorf-Thal, als amtieren-der Schweizermeister zu Höchstleis-tungen verpflichtet, lässt auf knall-hartes Training schliessen und die 13
angefressenen Trommler aus den Kan-tonen Bern, Solothurn und Wallis, ge-nannt Drumfire, begeistern mit Schlä-gen auf Trommel, Koffer, Petflaschen, Hackbrettkrawatten und den eigenen Körper. Stetig steigende Marschroute Stetig steigende Marschroute Stetig steigende Marschroute Stetig steigende Marschroute
Wer meint, die nähere Umgebung von Bern sei flach, irrt. Für Junge - no problem! Sektion für Sektion marschiert sichtlich stolz, vorbei an der ZTPV-Fahne, bis zum Festzelt. Es nimmt fast kein Ende. Eine ältere Dame fragt fröhlich, ob denn immer wieder hinten angeschlossen würde, „ich habe aber noch nie eine „Gruppe“ zwei Mal ge-sehen“. Rundum strahlende, wenn auch aufs Spielen konzentrierte Gesich-ter. Kein Wunder, seit 1999 mussten die Mädchen und Jungs wegen des Dau-erregens auf „ihren“ Festumzug ver-zichten. The EndThe EndThe EndThe End
Müde aber gespannt auf die Rangverkündigung hockt man dicht gedrängt im Festzelt, blickt durch den immer dichter werdenden Sandnebel, wegen desselben mit roten Augen auf die Bühne und lauscht noch einmal den RS Tambouren. Der Sturm auf die Kaugummis und das Gedränge auf die Bühne, um den Erstplatzierten zu gratulieren, vermindern mitnichten den Staub auf Kleidern und Haaren. Nichtsdestotrotz werden die einen wehmütig (nach so viel Vorbereitungs-arbeit), anderen kullern Freudentränen über die Wange wegen der erspielten guten Ränge, wieder andere denken über die neu gewonnenen Eindrücke und Freundschaften nach... So geht auch das „Fest der kurzen Wege -Projekt“ zu Ende. Jedenfalls war es für alle Beteiligten ein erfolgreiches Fest mit im Grossen und Ganzen reibungslosem Ablauf.
Die „heissen Schlegel“ und deren HelferInnen haben ihre Hausaufgaben jedenfalls prima gemacht.
19191919 JungtambourenJungtambourenJungtambourenJungtambouren---- und Pfeiferfest 200 und Pfeiferfest 200 und Pfeiferfest 200 und Pfeiferfest 2003333 ZTPVZTPVZTPVZTPV
Vorher...
während...
und dazwischen...
nachher...
und endlich marschieren!
ZTPVZTPVZTPVZTPV JungtambourenJungtambourenJungtambourenJungtambouren---- und Pfeiferfest und Pfeiferfest und Pfeiferfest und Pfeiferfest 2003200320032003 20202020
Enfin, enfin, un défilé... Participation recordParticipation recordParticipation recordParticipation record Samedi matin de bonne heure, la so-ciété des "hot sticks" d'Ittigen se don-nent en spectacle devant les quelque 600 participants fifres et tambours, animant une commune habituelle-ment calme. A population bienveillante, joueurs A population bienveillante, joueurs A population bienveillante, joueurs A population bienveillante, joueurs ppppaaaacifiquescifiquescifiquescifiques Après quelques déceptions au début de la manifestation, la prière de ne pas jouer en dehors du périmètre de la place de Fête ayant été transformée en interdiction, les autorités accordent finalement aux participants le droit de
fêter librement jusqu'à 23 heures. Ensui-te, tout le monde se rend au bistrot du village pour une tournée de chocolats chauds. Représentation endiablée Représentation endiablée Représentation endiablée Représentation endiablée Sous la tente, l'ensemble TP de l'armée, la société des tambours de Laupers-dorf-Thal et les 13 batteurs des Drumfire font résonner leurs instruments et pré-sentent tour à tour à l'assemblée les facettes les plus inattendues de l'art du tambour et percussions. Ça grimpe, ça grimpe!Ça grimpe, ça grimpe!Ça grimpe, ça grimpe!Ça grimpe, ça grimpe! Ceux qui croient les alentours de Berne plats-plats, se trompent! Pour nos jeu-nes, pas de problème! En sections, ils attaquent la montée qui n'en finit pas,
jusqu'à la place de Fête. Les visages sont radieux. Normal. Les jeunes gens avaient dû renoncer à "leur" défilé de-puis 1999 à cause de la pluie et du mauvais temps. TTTThe Endhe Endhe Endhe End Fatigués mais impatients de connaître leurs résultats, tous se retrouvent en rangs serrés sous la tente. La journée prend fin dans la déception ou dans la joie, ou encore en compagnie de leurs nouveaux amis. Pour tous, la fête a été réussie et finalement, elle s'est déroulée sans anicroche. Les "fines baguettes" et tous leurs compagnons ont réussi un partait sans faute!
2004 - Der Treffpunkt im Oberaargau Vom 25. bis 27. Juni 2004 wird das Stadtzentrum von LangenthalLangenthalLangenthalLangenthal zum BeBeBeBe----gegnungegnungegnungegnunggggsort für Trommler und Pfeifersort für Trommler und Pfeifersort für Trommler und Pfeifersort für Trommler und Pfeifer werden.
Wir freuen uns, dass wir „Ihr“ Fest in der Designer Stadt organisieren dürfen. Wir sind auf eine starke Beteiligung vorbe-reitet. Das OK.
Der TV Langenthal und die Musikgesell-schaft Harmonie Langenthal laden Sie herzlich zum 20. Zentralschweizerischen Tambouren- und Pfeiferfest ein.
Definitive Anmeldung sowie ArbeitsDefinitive Anmeldung sowie ArbeitsDefinitive Anmeldung sowie ArbeitsDefinitive Anmeldung sowie Arbeits----programmprogrammprogrammprogramm sind erhältlich bei: Les formulaires d’inscription dLes formulaires d’inscription dLes formulaires d’inscription dLes formulaires d’inscription définéfinéfinéfiniiiitive, tive, tive, tive, ainsi que le prainsi que le prainsi que le prainsi que le programme ogramme ogramme ogramme peuvent être obtenus auprès de: Ch. Jost, ZTPF Langenthal, Postfach, 4900 Langenthal Samstag Mitternacht Special: „Monschtergässle“„Monschtergässle“„Monschtergässle“„Monschtergässle“
Du 25 au 27 juin 04, le centre ville de LangenthalLangenthalLangenthalLangenthal deviendra le lieu de relieu de relieu de relieu de ren-n-n-n-contre decontre decontre decontre des tambours et fifress tambours et fifress tambours et fifress tambours et fifres. Vous êtes cordialement invités à cette 20ème Fête des tambours et fifres de Suisse cen-trale.
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21212121 InternationalInternationalInternationalInternational STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST
Bâsilicum in Saint-Brieuc, Frankreich Thomas Meyer für “Bâsilicum - s Gwirz vo Basel”
Vom 4. bis 6. Juli fand in Frankreich, genauer in Saint-Brieuc in der Bretag-ne, zum zweiten Mal ein internationales internationales internationales internationales
TrommelfestivalTrommelfestivalTrommelfestivalTrommelfestival statt. Die Schweiz wurde an diesem Wochenende zum ersten Mal vertreten durch die Basler Trommelformation «Bâsilicum – s Gwirz vo Basel». Die Organisatoren hatten sich ein dicht gepacktes und ab-wechslungsreiches Programm für die zahlreichen Formationen aus Frank-reich und der Schweizer Delegation ausgedacht. So begann es am Sams-tagmorgen mit einer «animation des quartiers et rues piétonnes», eine Art Werbeumzug der einzelnen Trommel-gruppen durch die herrlichen Fussgän-gerzonen und Gässchen von Saint-Brieuc. Am Nachmittag fand unter der Leitung von Robert Goute und Yvon Roussel ein Forum statt, wo die Mög-lichkeit bestand, sich mit den anderen Teilnehmern über Trommeltechnik, Trommelbau und Unterrichtsmethoden auszutauschen. Eigentlicher Höhepunkt dieses internationalen Festivals war das «dîner concert» – ein Galaabend ganz im Zeichen der Trommelkunst. Eröffnet wurde der Abend durch die junge Trommelformation «Les Tambours de 89 du pays de fougères», gefolgt von den Formationen «Les tambours de 89 du Nord pas de Calais», «Les tambours de la Ville des Sacres» und «Les tambours du centre de Saint-Brieuc». Eine packende Trommelde-monstration dieser französischen Gruppen – virtuos und abwechslungs-reich. Nach der Pause folgten weitere Höhepunkte. «La batterie des Grognards de Haute Alsace» in ihren sensationellen Uniformen des «Premier Régiment des Grenadiers» von 1810, wirbelten rund und gaben zum Ab-schluss ihres Auftrittes ihr Gesangstalent zum besten. Es folgte der Auftritt von «Bâsilicum». Traditionelles gefolgt von einem abwechslungsreichen trommleri-schen und visuellen Programm aller
Facetten des baslerischen und schwei-zerischen Trommelns, liess die bis auf den letzten Platz gefüllte Halle toben. Danach die Formationen «Les Percus-sion de Grande-Synthe» und «Les Tambours de l’ Odyssée», die mit ihren rassigen Präsentationen überzeugten. Ein Leckerbissen für Ohr und Auge! Heisse Sambarhythmen beendeten diesen sehr gelungenen Galaabend. Die «Tropic Carolo Combo», eine wild kostümierte Sambaformation aus Frankreich, liess die Halle beben. Damit war das Festival noch nicht zu Ende. Am Sonntagmorgen fand das «réveil des quartiers» statt. Die Forma-tionen wurden in verschiedene Quar-tiere um Saint-Brieuc aufgeteilt und zo-gen als Weckdienst, trommelnd durch die Strassen. Krönender Abschluss des Festivals war kurz darauf die «parade des groupes», welche durch die noch etwas ver-schlafene Innenstadt von Saint-Brieuc zum «Hôtel de Ville» führte. Eine höchst erfreute und mit Spannung wartende Regierung empfing alle Mit-wirkenden und ehrte die Formationen und Organisatoren des Trommelge-schehens.
Alles in Allem ein sehr gelungener und erfolgreicher Anlass, der die trommleri-sche Beziehung zwischen Frankreich und der Schweiz neu aufleben liess. Wünschenswert ist, dass die Schweiz für die dritte Auflage des Festivals 2004, nicht nur durch eine einzige Gruppe vertreten wäre. Merci et à la prochaine année!
softwerkstatt
STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST InternationalInternationalInternationalInternational 22222222
Du 4 au 6 juillet a eu lieu pour la se-conde fois à Saint-Brieuc en Bretagne un festival international du tambour. Pour la première fois, la Suisse y était représentée ce week-end, par la for-mation tambours «Bâsilicum – s Gwirz vo Basel». Les organisateurs avaient préparé un programme copieux et di-versifié pour les nombreuses formations de France et la délégation suisse. Ainsi, tout cela débuta le samedi matin avec une animation des quartiers et des rues piétonnes ; un genre de cor-tège publicitaire des différents groupes de tambours à travers les charmants quartiers de Saint-Brieuc. Sous la conduite de Robert Goute et d’Yvon Roussel, l’après-midi fut consacré à un forum au cours duquel les participants eurent la possibilité d’échanger entre eux leurs expériences sur la technique du tambour, la construction du tam-bour et les méthodes d’enseignement. Le point chaud de ce festival fut entre autres le «dîner concert» – une soirée de gala entièrement placée sous le si-gne de l’art du tambour. En ouverture de celle-ci, le jeune groupe «Les Tam-bours de 89 du Pays de Fougères», suivi par les formations suivantes : «Les Tambours de 89 du Nord Pas de Ca-lais», «Les Tambours de la Ville des Sa-cres» et «Les Tambours du Centre de Saint-Brieuc». Une impressionnante démonstration de tambours de la part de ces groupes français, à la fois virtu-oses et diversifiés. Après la pause,
d’autres points forts s’en suivirent. «La Batterie des Grognards de Haute Alsa-ce» qui, parés de leurs superbes uni-formes du «Premier Régiment des Gre-nadiers» de 1810, offrit un magnifique spectacle et démontra pour conclure ses excellents talents de chanteur. Puis ce fut au tour de «Bâsilicum». Le tradi-tionnel fut complété d’un programme diversifié et visuel, où furent démon-trées toutes les facettes du tambour bâlois et suisse, enthousiasmant une salle comble jusqu'à la dernière place. Se produisirent ensuite les formations «Les Percussions de Grande-Synthe» et «Les Tambours de l’Odyssée», qui cap-tivèrent le public par leur présentation de haute qualité. Enfin, une friandise pour les yeux et les oreilles ! Des ryth-mes endiablés de samba mirent fin à cette soirée de gala parfaitement ré-ussie. Les «Tropic Carlo Combo», une formation de samba de type brésilien, aux costumes de circonstance, fit re-muer toute la salle. Mais le festival n'était pas encore à sa fin. Le dimanche matin eu lieu le «réveil des quartiers». Les formations furent ré-parties dans différents quartiers de Saint-Brieuc et tirèrent les rues de leur sommeil au son du tambour. Pour couronner ce festival, une parade conduisit les groupes à travers le cen-tre de Saint-Brieuc encore endormi, jusqu'à l'Hôtel de Ville. Ils furent ac-cueillis par les autorités locales qui at-
tendaient avec impatience l’arrivée des formations et des organisateurs, afin de les féliciter chaleureusement. L’un dans l’autre, ce fut une manifesta-tion parfaitement réussie et pleine de succès, qui aura contribué à resserrer très fortement les liens du tambour en-tre la France et la Suisse. Il est vivement souhaitéIl est vivement souhaitéIl est vivement souhaitéIl est vivement souhaité que pour la troisième édition du festival en 2004, la la la la Suisse Suisse Suisse Suisse ne soit pas représentée uniqune soit pas représentée uniqune soit pas représentée uniqune soit pas représentée uniqueeee----ment par un seul ment par un seul ment par un seul ment par un seul groupe de tambours groupe de tambours groupe de tambours groupe de tambours
StStStSt----BrieucBrieucBrieucBrieuc
2ième au 4ième juillet 04
Fête Internationale du
Tambour Infos www.tamboursde89.com Toutes les sociétés suisses de tam-bours et fifres seront cordialement les bienvenues en Bretagne. Les in-téressées sont priées de s'annoncer à l'adresse suivante: Alle Schweizer Tambouren- und Pfeifervereine sind herzlichst in der Bretagne willkommen. Interessen-ten melden sich bei: Les Tambours de 89, Yvon Roussel, Président, Secrétariat: 4, rue Fran-çois, Menez - 22000 Saint-Brieuc – France, Tél./Fax 02 96 94 63 42
Jean-Luc Langlois, chef de la commission tambours des « Tambours de 89 » a été invité au camp des jcamp des jcamp des jcamp des ju-u-u-u-
niors de l’AST à Gluringenniors de l’AST à Gluringenniors de l’AST à Gluringenniors de l’AST à Gluringen et en a été l’hôte durant cinq jours. Ce fut une première fois en matière d’échange d’information au niveau des jeunes avec la France. Sa présence sympathique a enchanté tout le monde. Un grand merci
Kresa
23232323 InternationalInternationalInternationalInternational STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST
Les Fifres et Tambours du
Conservatoire Populaire de
Genève ont été très sollicités pour le
week-end de la Fête de la Musique: « Nous avons participé à trois manifes-tations importantes en trois jours. »
La première, le vendredi soir, pour l’Espace Rousseau à Genèvel’Espace Rousseau à Genèvel’Espace Rousseau à Genèvel’Espace Rousseau à Genève: L’Espace Rousseau a découvert dans ses archives des marches pour fifres et tambours écrites par Jean-Jacques Rousseau. La directrice de ce lieu culturel nous a demandé d’interpréter ces oeuvres ainsi que d’autres mar-ches du XVIIème siècle à l’occasion de la Fête de la Musique, en défilant dans la Vieille Ville. Pour faire suite à ce dé-filé une aubade fut donnée devant l’Hôtel de Ville. En interprétant ces marches historiques pour un nombreux public ainsi que pour les responsables de cette association, nos jeunes musi-ciens ont été chaleureusement ap-plaudis. La deuxième manifestation a eu lieu dans le Parc EuroParc EuroParc EuroParc Euro----DisneyDisneyDisneyDisney: Nos jeunes
musiciens ont eu, pendent une grande partie de la journée, la joie de profiter de toutes les attractions de ce lieu fort connu. Dans le courtant de l’après-midi nous avons pu présenter, avec un franc succès, nos évolutions lors de la grande Parade de la Fête de la Musi-que à Euro Disney.
Troisième manifestation à Neuilly PlaNeuilly PlaNeuilly PlaNeuilly Plaiiii----
sancesancesancesance : : : : Dans la banlieue parisienne, Neuilly Plaisance organisa, dans le ca-dre de la Fête de la Musique, sa pre-mière Grande Cavalcade sur le thème des Tambours du Monde. Celle-ci dé-buta le matin par une présentation de chaque groupe autour de la place Stalingrad, ce qui nous donna l’occasion d’apprécier les talents des autres formations invitées. La présence de monsieur Robert Goute, ami de longue date des Fifres et Tambours du Conservatoire Popu-laire, nous a permis de discuter lon-guement de l’évolution du tambour et du fifre dans nos pays respectifs.
Après un repas convivial, l’après-midi fut consacré à un long, voire trop long défilé avec plusieurs prestations sur des places de la ville. Die Tambouren und Pfeifer des Con-servatoire populaire de la Musique, Genf hatten eine bewegten Juni. Am Musikfest in Genf, durften sie histori-sche Trommel- und Pfeifermärsche des XVII Jahrhunderts aufführen. Der L’Espace Jean-Jaques Rousseau, hat in seinen Archiven Märsche für Trommel und Pfeife von Jean-Jaques Rousseau entdeckt. Diese wurden am 20. Juni in Genf aufgeführt.
Am selben Wochenende besuchten sie das Euro-Disney bei Paris, wo sie am täglichen Festumzug teilnahmen. Sonntags wurde in Neuilly Plaicance das Fest „les tambours du monde“ be-sucht. Sie ernteten grossen Applaus und konnten die Beziehungen zu den „Tambours de 89“ und Robert Goute pflegen.
Cave le Tambourin
STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST InternationalInternationalInternationalInternational 24242424
Rhythmus aus der Kiste
Christoph Gnägi
Was vor 500 Jahren als Ersatzinstrument
von Sklaven begann, entwickelt sich
heute nach und nach zu einem belieb-
ten Schlagzeugersatz und vielfältigen
Begleitinstrument: Das Cajon.
Kücheninventar oder Teile der Woh-
nungseinrichtung zum Musizieren ver-
wenden? Für die meisten Nichtmitglie-
der von Stomp (und das sind viele!)
grenzt dieser Gedanke schon ans Ab-
surde. Wenn man aber unseren Kultur-
kreis verlässt und nach Afrika geht, stellt
man schnell fest, dass dort die Verbin-
dung von Gebrauchs- und Musikin-
strumenten alltäglich ist. Kürbisschalen
werden hier mit einem Netz umspannt
und als Rasseln verwendet. Bratpfan-
nen werden zu Glocken umfunktioniert,
aus Pfeilbögen werden Musikbögen,
Tongefässe werden als Flöte oder Kis-
ten als Trommeln wortwörtlich als Ton-
Gefässe gespielt.
Herkunft und GeschichteHerkunft und GeschichteHerkunft und GeschichteHerkunft und Geschichte
Die Idee, auf hohlen Holzgegenstän-
den zu trommeln, ist bereits uralt. Die
Holzkiste, von der hier die Rede sein
soll, wurde jedoch verhältnismässig
spät „erfunden“, nämlich vor etwa 500
Jahren. Das Spiel auf dem „Cajon“,
was in deutscher Sprache schlicht und
ergreifend „Kiste“ bedeutet, wurde von
den Sklaven in Südamerika eingeführt.
Anlass dazu war ein radikaler Erlass der
Weissen: Sie verboten den Sklaven
jede Art der musikalischen Betätigung,
besonders aber das Trommeln. Die
Gutsherren hatten nämlich sehr schnell
zu spüren bekommen, dass es be-
stimmten Stämmen möglich war, sich
mit Trommeln zu verständigen und so
den Widerstand gegen die Weissen zu
organisieren.
Aus diesem trommlerischen Notstand
heraus wurde das Cajon geboren.
Während fast einem Jahrhundert war
die Kiste in Südamerika der einzig ge-
duldete Ersatz für Trommeln. Anfangs
benutzte man simple Transportkisten,
da weder Zeit noch Material vorhan-
den war, um spezielle Kisten als Instru-
mente zu bauen. Doch nur schon die
Transportkisten boten eine Vielzahl an
Klängen, Höhen und Tiefen: Die Fisch-
kisten, sonst mit Kabeljau gefüllt, waren
in leerem Zustand perfekt für bass-
lastige Töne. Die kleineren und dünn-
wandigeren Tabakkisten boten sich für
eine Art Tenorstimme an. Und für die
Soli waren Zigarrenkisten geeignet. Aus
dieser Zeit stammt der kubanische
„Rumba de Cajon“, welche genau in
der oben geschilderten Besetzung ge-
spielt wird.
Als die Sklaven Lateinamerikas Ende
des 19. Jahrhunderts frei wurden, war
viel von dem alten Wissen über ihre ur-
sprüngliche Kultur verloren gegangen.
Aus den Resten einzelner Kulturen ent-
wickelten sich aber neue, facettenrei-
che Mischkulturen, in denen das Cajon
einen festen Stammplatz hatte. Die
Idee, anstelle einer Trommel eine
simple Holzkiste zu spielen, breitete sich
rasch von Lateinamerika nach Afrika
und Europa aus. Diese Ausbreitung war
zum Teil so erfolgreich, dass das Cajon
ins Repertoire der Folklore aufgenom-
men wurde. Heute findet man die Ca-
jones oder „Cajas“, wie sie auch ge-
nannt werden, an der Küste von Peru,
auf Kuba, in Nordbrasilien und einigen
Teilen Südwestafrikas.
Etwa 1975 brachte ein junger Gitarrist
revolutionäre Neuerungen in die tradi-
tionelle spanische Flamencomusik ein:
Paco de Lucia, mittlerweile einer der
bedeutendsten Flamencogitarristen
überhaupt, erweiterte sein Ensemble
zur Stärke einer normalen Jazzband.
Neben Bongos und Congas und an-
stelle eines Schlagzeuges war jedoch
ein Cajon das zentrale Rhythmusins-
trument; dies vor allem für die fla-
menco-typischen 12/8-Takte, den so
genannten Bulerias.
Das InnenlebenDas InnenlebenDas InnenlebenDas Innenleben
Ein Cajon ist letztlich nichts anderes als
ein Resonanzkörper mit einem Schall-
loch auf der Rückseite und einer lose
verschraubten Frontplatte. Der Front-
platte werden oft zwei oder drei Saiten
unterlegt, welche ein Schnarren erzeu-
gen, das dem einer Snaredrum ähnelt.
Schlägt man die Frontplatte in der
Mitte an, ertönt daher ein satter, leicht
schnarrender Basston. Ein Schlag auf
den oberen Rand ergibt einen schar-
fen, snare-ähnlichen Crashton. Dieser
Effekt kann durch Anziehen oder Lösen
der obersten Schrauben an der Front-
platte verändert werden und erweitert
so das Klangspektrum des Instruments.
Mit zwei weiteren Tricks kann der Sound
des Cajons weiter modifiziert werden:
Ein hineingelegtes Kissen oder ein Pul-
lover dämpfen das Instrument und der
Basston wird weicher. Um einen kürze-
ren, „erdigeren“ Ton zu erhalten, klebt
man die Saiten mit einem breiten, aber
dünnen Streifen Tesafilm ab – der
Snaresound wird entschärft.
Die SpieltechnikDie SpieltechnikDie SpieltechnikDie Spieltechnik
Am meisten wird der Klang jedoch
durch die Spieltechnik beeinflusst. Ein
Cajon-Spieler muss vier Basis-Schlag-
techniken beherrschen: Bass, Open, Tip
und Slap.
Die Kombination dieser vier Schlag-
techniken ermöglicht eine grosse Pa-
lette an Rhythmen mit einer breiten
Klangvielfalt.
25252525 InternationalInternationalInternationalInternational STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST
„Bass“ Die Hand ist hohl, der Schlag
geht auf die Mitte der Frontplatte.
Auch hier löst sich die Hand sofort vom
Holz. Der Ton ist tief, voll und satt.
„Open“ Die Hand ist leicht durchge-
streckt, die Bewegung kommt aus dem
Handgelenk, der Schlag wird mit der
ganzen Fingerfläche ausgeführt. Nach
einem kurzen Anschlag schnellt die
Hand vom Holz weg, damit dieses aus-
schwingen kann. Der Ton ist offener,
heller und die Saiten schnarren mehr
als beim Bass-Schlag.
Viele EinsViele EinsViele EinsViele Einsatzmöglichkeitenatzmöglichkeitenatzmöglichkeitenatzmöglichkeiten
Das Cajon wird längst nicht mehr nur
im Flamenco oder im kubanischen
Rumba eingesetzt. Immer mehr Perkus-
sionisten entdeckten die „Kiste“ für sich
und setzen sie in den unterschiedlichs-
ten Stilrichtungen ein. So ist das Cajon
zum Beispiel bei Live-Konzerten von di-
versen Hip-Hop-Gruppen als Schlag-
zeugersatz sehr beliebt. Gerade in die-
ser Eigenschaft liegt ein grosser Vorteil
des Cajons: Es braucht wenig Platz und
gut abgemischt ersetzt es mit seiner
Klangvielfalt annähernd ein kleines
Drumset.
The Corps of Drums Society www.corpsofdrums.com
Der Sekretär des englischen Trommler-
Korps-Verbandes, Reg Davis, schreibt
im Newsletter vom September 03:
„„„„Society NewsSociety NewsSociety NewsSociety News””””
It gives me great pleasure to inform
you that Brig. Richard HolmesRichard HolmesRichard HolmesRichard Holmes, Professor
of Military History at Cranfield University
has accepted the invitation to be-
come the President of the SocietyPresident of the SocietyPresident of the SocietyPresident of the Society, we
look forward to seeing him at our
meetings, I understand that he hopes
to attend the Second rehearsal for the
Lord Mayors Show.
Alle, die es gerne mal selber ausprobie-
ren möchten, finden dazu zwei Rhyth-
musbeispiele. Wer selber kein Cajon
besitzt, findet sicher in einem Schlag-
zeuggeschäft eines zum antesten.
„Tip“ Nur die Fingerspitzen berühren die
Frontplatte ganz leicht am Rand. Die
Tipps sind eigentlich nur als Pausenfüller
gedacht und sollten nicht zu hören
sein. Bei schnelleren Tempi werden sie
oft weggelassen.
„Slap“ Der Schlag kommt aus dem
Handgelenk, die lockere Hand wird zur
Peitsche. Die Handballe trifft auf den
oberen Rand auf, die Finger schnellen
auf die Schlagfläche. Der so entstan-
dene Ton ist hell, scharf, und „knallt“
mit viel Saite.
Der
Trommlerfilm
für’s
2004!
TipTipTipTip
OpenOpenOpenOpen SlapSlapSlapSlap
BassBassBassBass
Pfyfferschuel Lieschtal
STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST KommunikationKommunikationKommunikationKommunikation 26262626
La carte bleue
Ressort AST pour les affaires liées à la Confédération Ressort für Bundesangelegenheiten STV
Hans Käch Qu’estQu’estQu’estQu’est----elle et à quoi sertelle et à quoi sertelle et à quoi sertelle et à quoi sert----elleelleelleelle ? ? ? ? Ces dernières années, mais plus parti-culièrement l’année passée, il est ap-paru combien les connaissances quant à l’utilisation de la « carte bleue » fai-saient défaut, principalement auprès des nouveaux comités de sociétés et fonctionnaires. Par conséquent, c’est pour moi l’occasion rêvée de profiter de l’envoi de notre journal d’as-sociation, « le Tambour major », afin d’en informer une nouvelle fois nos chers lecteurs. Attirez réciproquement l’attention au sein des sociétés, afin que l’existence de ce moyen d’éco-nomie soit à nouveau connu et cor-rectement utilisé partout dans notre association. Il serait particulièrement réjouissant pour moi de constater une augmentation sensible dans l’utilisation de la « carte bleue ». Grâce au fait que l’Association Suisse des Tambours – comme ses sociétés – soit rattachée au plan militaire à la « Section instruction hors du service et du sport militaire (SIHSSM) », il en résulte pour nous certains avantages, (mis à part les devoirs de la formation de tambours militaires !). Un de ceux-ci est
la « carte bleue »! Dans le langage de l’AST, on utilise tout simplement l’ex-pression « carte bleue » parce que depuis toujours, cette carte de légiti-mation a été imprimée de couleur bleue. La désignation correcte est en réalité : Armée suisse « Carte de légitiCarte de légitiCarte de légitiCarte de légiti----mation pour un voyagemation pour un voyagemation pour un voyagemation pour un voyage en civil en civil en civil en civil »! Tel que mentionné ci-dessus, nous sommes donc rattachés au SIHSSM et ainsi, nos manifestations officielles – concours, cours, assemblées de délé-gués et réunions de nos organes d’association – sont considérées comme activités hors du service, of-frant la possibilité à des personnes en civil de voyager à demi-tarif avec les moyens de transport publics. Les excur-sions de sociétés ou autres sorties sont exclues de cette possibilité ! La « carte bleue » autorise son détenteur à retirer un billet ½ taxe pour se rendre à la manifestation indiquée sur la carte. Une combinaison cumulée avec d’autres légitimations ou abonnements n’est pas possible ! Lors d’un grand voyage de groupe cependant, il existe la possibilité aux CFF de combiner les
abonnements et les cartes demi-tarif avec un billet collectif. Il doit être clair également qu’avant une commande pour de telles cartes de légitimation, il y a lieu de vérifier d’abord au sein de la société, qui des participants à la manifestation est déjà en possession d’un AG ou d’un abon-nement demi-tarif. Pour ces membres, aucune « carte bleue » ne doit être commandée. Pour les jeunes en des-sous de 16 ans également, aucune carte de légitimation n’est nécessaire, étant donné qu’ils voyagent de toute façon à demi prix. Les commandes de ces cartes de légi-timation doivent être effectuées exclu-sivement au moyen du formulaire offi-ciel par poste ou en cas d’urgence par fax. Ceci pour la bonne raison que je dois comptabiliser et archiver le retrait de telles cartes. Le formulaire de commande peut être téléchargé sous le site www.stv-ast.ch et doit être rem-pli correctement à la machine à écrire ou en écriture d’imprimerie afin d’éviter des erreurs de lecture en-nuyeuses. Merci bien!
Tambour Major Abonnementsbestellung / Déclaration d’abonnement
Anzahl Abos Nombre d’abonnements __________ Bitte Talon ausgefüllt einsenden an: Prière de remplir le talon ci-après et de l’envoyer à: büro Script, Grassiweg 12 3714 Frutigen.
Name, Vorname Nom, prénom Adresse Unterschrift Signature Besten Dank und viel Freude beim Le-sen des informativen Tambour Majors. Die Redaktion.
Un grand merci et bien du plaisir à la lecture informative du Tambour Major. La rédaction.
27272727 KommunikationKommunikationKommunikationKommunikation STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST
Was und Was und Was und Was und wofürwofürwofürwofür ist sie? ist sie? ist sie? ist sie?
In den letzten Jahren, aber besonders
im vergangenen Jahr, zeigte es sich,
dass hauptsächlich bei den jüngeren
Vereinsvorständen und Funktionären
die Kenntnis über die Möglichkeiten
der "Blauen Karte" weitgehend fehlt.
Daher ist es mir ein Anliegen, mit dieser
Einsendung in unserem Verbandsorgan
"Tambour Major" Sie, geschätzte Leser,
wieder einmal darüber zu informieren.
Machen Sie sich in den Vereinen dar-
über gegenseitig aufmerksam, damit
das Wissen über diese Sparmöglichkeit
wieder überall in unserem Verband
richtig verstanden wird. Es würde mich
freuen, wenn die "Blaue Karte" wieder
vermehrt, aber auch korrekt genutzt
würde.
Durch den Umstand, dass der STV –
und damit seine Vereine – der militäri-
schen "Sektion für Ausserdienstliche
Ausbildung und Militärsport" (SAAM)
angeschlossen ist, ergeben sich für uns
neben Pflichten (Ausbildung von Mili-
tärtambouren!) auch einige Vorteile.
Eine davon ist die "Blaue Karte"! Im
Sprachgebrauch innerhalb des STV hat
sich vereinfachend der Ausdruck
"Blaue Karte" eingebürgert, ganz ein-
fach darum, weil diese Ausweiskarte
von jeher in blauer Farbe abgegeben
wird. Die korrekte Bezeichnung dafür
heisst eigentlich "Au"Au"Au"Aussssweiskarte für eine weiskarte für eine weiskarte für eine weiskarte für eine
Fahrt in ZiFahrt in ZiFahrt in ZiFahrt in Zivil"vil"vil"vil" der Schweizerischen Ar-
mee!
Durch den Anschluss an die SAAM gel-
ten unsere offiziellen Anlässe – Wett-
spiele, Kurse, Delegiertenversammlun-
gen und Sitzungen der Verbandsorga-
ne – als ausserdienstliche Tätigkeiten,
zu deren Ausübungsort wir als Zivilper-
sonen auf den öffentlichen Verkehrs-
mitteln zur halben Taxe fahren können.
Vereinsausflüge und ähnliches sind von
dieser Möglichkeit ausgeschlossen! Die
"Blaue Karte" berechtigt ihren Inhaber
also, für den auf der Karte eingetrage-
nen Anlass ein ½-Tax Billet zu lösen. Eine
Kumulation mit anderen Ausweisen
und Abonnementen ist nicht möglich!
Bei einer grösseren Reisegruppe be-
steht jedoch bei den SBB die Möglich-
keit, diese Halbtaxabos und –Karten
mit einem Kollektivbillet zu kombinieren.
Damit sollte auch klar sein, dass vor ei-
ner Bestellung von solchen Ausweis-
karten im Verein zuerst abgeklärt wird,
wer von den am Anlass teilnehmenden
Mitgliedern ein GA oder ein ½-Tax Abo
besitzt. Für diese Mitglieder sollten kei-
ne "Blauen Karten" bestellt werden.
Ebenso ist für Jugendliche unter 16 Jah-
ren eine solche Ausweiskarte nicht nö-
tig, da sie sowieso zum halben Preis
fahren.
Die Bestellungen für solche Ausweiskar-
ten haben ausschliesslich mit dem offi-
ziellen Formular per Briefpost oder in
Notfällen per Fax zu erfolgen. Weil ich
die Kartenbezüge abrechnen und be-
legen muss. Das Formular kann im In-
ternet unter www.stv-ast.ch abgerufen
werden und sollte korrekt mit Schreib-
maschine oder in Druckschrift ausge-
füllt sein, um ärgerliche Lesefehler zu
vermeiden. Danke und gute Fahrt.
Atelier Fantasia
OWTPVOWTPVOWTPVOWTPV Oberwalliser TambourenOberwalliser TambourenOberwalliser TambourenOberwalliser Tambouren---- un un un und Pfeiferfest 2003d Pfeiferfest 2003d Pfeiferfest 2003d Pfeiferfest 2003 28282828
Das Fest, ein Gedicht!
Text Bernhard Clemenz Bilder Christine Rüegsegger
Erinnerung an Visperterminen
Es pfeift und trommelt ob den Heiden,
Oberwalliser Ahnenmusikfest ist es
eben.
Einmarschiert mit strammem Schritt, Der
Fähnrich sucht den richtgen Tritt.
Ein Festakt mit Fahnenmarsch und Ve,
Erhabnes Zusammenspiel, was will man
mehr!
Dicht an dicht die Zaungäste stehn,
Verein für Verein lässt’s «nitschig» gehn.
Die alten Weisen sind allen vertraut,
der Trommelschlag widerhallet laut.
Der Stolz durchdringt die Musikanten-
brust, Hoch das Haupt, das gibt Durst.
Beim Ehrenwein ein Tröpfchen Heida,
den spürt man nicht, bis beide Beine
da,
machen was der edle Saft befiehlt,
die Kurven drehen, der Pfeifer schielt.
Froher Jubel dröhnt durchs Fest-
gelände, doch ein Jungchen wischt
sich ganz behände,
eine Träne der Enttäuschung von der
Wange, Trommeljury ich komm wieder
– keine Bange
Wer einmal Ahnenmusikantenluft gero-
chen, gepackt vom Fieber, Treue
versprochen.
Der ist und bleibt ein Fan für immer, nur
Leben ohne Müsig, das ist schlimmer.
Obewalliser VeteranentagungObewalliser VeteranentagungObewalliser VeteranentagungObewalliser Veteranentagung 03 03 03 03
Mit strammem Schritt geleitet der TPV «Heiden-biel» Raron/St. German/VS die Veteranen zur diesjährigen GV.
OWTPV- Veteranen-obmann Anton Noti,
Stalden, ehrt den ältesten Teilnehmer.
Albert Schnyder, Erschmatt (1922) freut
sich über die Ehrenurkunde.
29292929 Oberwalliser TambourenOberwalliser TambourenOberwalliser TambourenOberwalliser Tambouren---- und Pfeiferfes und Pfeiferfes und Pfeiferfes und Pfeiferfest 2003t 2003t 2003t 2003 OWTPVOWTPVOWTPVOWTPV
.
Das Festival der alten Weisen unsrer
Ahnen, läuft derzeit in erfolgreichen
Bahnen.
Jung und Alt vereint zum Spiel, Kame-
raden sein, ist unser Ziel.
Unsere Traditionen sollen weiter beste-
hen, Trachten, Uniformen gern gese-
hen.
Pfiffa und Trumma sind unsere Beglei-
ter, dann ist das Leben froh und heiter.
Musik Center Wyssen Ihr MusikfachgeschäftTrommeln und Perkussionsinstrumente
Natwärischpfeifen in verschiedenen Holzarten
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VV Edinburgh retour 30
Der ganz besondere Ausflug!
Text Babette Voisard - Bilder Matthias Voisard
„Top Secret“ war es keineswegs, als 2001 René Walz an der GV die Idee in den Raum stellte, ans Tattoo nach Edinburgh zu reisen. Natürlich wusste zu diesem Zeitpunkt niemand, welche Bedeutung diese zwei Worte für das Tattoo, die Schweiz, ihre Trommelfans und die Basler im Besonderen bekommen sollten. Der Vorschlag fand Anklang, und es meldeten sich 41 Tattoo-Interessierte an. Zürich-London-Edinburgh
Nach und nach trafen die Teilnehmer der "Gruppe Walz" am Terminal 1 in Kloten ein. Die Gesichter sind bekannt, nur mit den dazu gehörenden Namen haperte es wie immer. Die Luft war klar und die Aussicht auf die Alpen fantas-tisch! Das Umsteigen in London bean-spruchte mehr Zeit als die ganze Fliegerei. Obwohl klar als deutschsprachig er-kennbar, redete unsere Reiseleiterin Manuela Smith während der Busfahrt zum Juri’s Inn von "wir Schotten ..." und erzählte mit Witz, leisem Spott aber auch mit Stolz von den vielen Golf-plätzen, den verstopften Strassen, den Sehenswürdigkeiten und vom Parla-ment. Apropos Parlament: Wenn die Gedankengänge der Parlamentarier so verwirrend und verrostet sind wie die Stahlgerüste an den neuen Parla-mentsgebäuden, dann sehe ich Schwarz für die Zukunft. Vom geruhsamen Altstadt-Kern, wie wir ihn von früheren Besuchen her kann-ten, war nichts zu spüren. Buntes, leb-haftes Treiben füllte die Royal Mile und gab einen recht guten Vorgeschmack auf das Festival, das ebenfalls zu dieser Zeit stattfand. Das warme Wetter trug das Seine dazu bei, dass die Meisten am Freitagabend erst sehr spät ins Hotel zurück kehrten...
Das Spektakel
Auf der Rund-, eher Kreuz-und-Querfahrt durch die Alt- und Neustadt, bekamen wir einen guten Ein- und Überblick. Auf dem Calton Hill wurden wir noch mit einer kleinen Geburts-tagsfeier überrascht, auch Kuchen und Kerzlein fehlten nicht. Später, auf der Burg, schien mir das Interesse an der Dreizehn-Uhr-Kanone am Größten zu sein. Am Nachmittag warteten je nach Lust und Laune Museen, schattige Plätzchen mit kühlem Nass, und die Geschäfte in der Princess Street auf uns. Hat da nicht jemand eine grosse Hutschachtel ins Hotel getragen?
Das gemeinsame Nachtessen war, war, na ja..., das grosse Ereignis des Ta-ges war ohnehin das Tattoo!!! Voll Erwartung zogen wir los und waren überrascht, dass wir in einer Menge, dem Morgestraich nicht unähnlich, in unzähligen Etappen die Royal Mile "hoch geschoben" wurden. Doch das tat der guten Stimmung keinen Ab-bruch. Auch wenn es zu Beginn nicht so aussah, Jedermann hatte seinen Platz. Das Gebotene war toll, abwechslungs-reich, farbig und spannend. Die ersten Dudelsack Klänge und das Donnern aus den "Half-Pipe-Kanonen“ hatten eine ähnliche Wirkung wie das "Vieri-Schloo".
Tatsächlich waren die Begeisterung und der Applaus nach dem Auftritt von Top Secret am Größten. Die un-heimliche Präzision und das Tempo waren wirklich sehr beeindruckend. Es war nicht schwierig zu erkennen, in welcher Ecke die Schweizer ihre Plät-ze hatten.
Heimgartner Fahnen
33331111 Edinburgh retourEdinburgh retourEdinburgh retourEdinburgh retour
Die Fans sind hinterher noch im Pub zu-
sammen gesessen (Eintritt nur mit dem
richtigen Losungswort), und ich habe
gehört, dass unser ältester Teilnehmer
(82) in achtsamer Begleitung den
Heimweg erst in den frühen Morgen-
stunden gefunden hatte, als alle Stühle
längst hochgestellt waren.
Ein voller Erfolg also!
Schloss, Wasser und WhiskySchloss, Wasser und WhiskySchloss, Wasser und WhiskySchloss, Wasser und Whisky
Für die Meisten begann der Tag mit
Schlange Stehen fürs Frühstück. Offen-
sichtlich wollten alle Hotelgäste gleich-
zeitig losziehen. Wir fuhren an der Un-
terkunft unserer "Stars" vorbei, und bei
den Brücken über den Firth of Forth
musste natürlich auch ein Fotohalt
gemacht werden.
Stirling Castel (15. und 16. Jh.) steht an
einer strategisch bedeutsamen Stelle
und markiert auch den Eingang zu den
Highlands. Nicht weniger als 15
Schlachtfelder finden sich in der Umge-
bung des Schlosses. Verhungern muss-
te Maria Stuart und Co sicher nicht,
wenn man von dem Angebot ausgeht,
welches in der (Museums-)Küche des
Schlosses gezeigt wird. Sicher muss es in
einem heissen Sommer wie dem jetzi-
gen angenehm gewesen sein, inner-
halb der dicken kühlen Mauern zu le-
ben, aber im Winter...brrrr!
Am Ufer des Loch Lomond wurde eine
Art Raststätte erstellt mit allem was so
ein Touristenherz erfreut.
Mit dem gemeinsamen Mittagessen
hat es nicht geklappt, so sind wir aus-
geschwärmt über den Bauernmarkt, in
die Restaurants oder in den Laden.
Satt und zufrieden ging es weiter mit
einer Schifffahrt auf dem Loch.
Der See ist der grösste in Grossbritan-
nien und sehr lang gezogen. Das Was-
ser hat die Farbe von Coca Cola. Wir
sind im Süden der Highlands, der Wind
bläst uns frisch um die Ohren, und man
kann einen heissen Kaffee vertragen.
Wer nicht gerne Bus fährt wie ich, der
geniesst die Fahrt doppelt.
Unsere nächste und letzte Attraktion
des Tages war die Glengoyne Whisky
Distillery. Mit einem ordentlichen "Ver-
suecherli" wurden wir begrüsst und mit-
tels eines Videos mit der Herstellung
von Whisky vertraut gemacht.
Im Laden lockte die goldgelbe, edle
Flüssigkeit verschiedener Jahrgänge
nicht umsonst zum Kauf, aber natürlich
gab es auch weniger Prozentiges wie
Marmelade, Honig, Shortbread und
Gläser.
AbreiseAbreiseAbreiseAbreise
Mit etwas Glück hatte jedes das Mehr
an Gepäck in seinem Koffer verstaut,
mit einem Seufzer des Bedauerns die
Zimmertüre ein letztes Mal zugezogen.
Innere Bilder hatten wir genug, und so
war die Aussicht nicht mehr so wichtig.
Zufriedene Müdigkeit machte sich
breit. Schöne Erinnerungen sind nicht
gebührenpflichtig und brauchen kei-
nen Gepäckschein, wir konnten viel
mitnehmen.
STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST TraditionTraditionTraditionTradition 32323232
Trommeln ohne Grenzen
Text und Bilder Christine Rüegsegger
Wie alles begannWie alles begannWie alles begannWie alles begann
Bald nach der Aufnahme in den ZTPV, diversen Festbesuchen und der Grün-dung der Jungsektion, machte sich der TV Frutigland Gedanken über das „Wie Weiter?“. Es sollte etwas Neues entstehen, das sich mit den Jahren einbürgert und somit zur Ver-einstradition wird. Das unter vier Mit-gliedern abgehaltene Brain Storming förderte jede Menge Ideen zu Tage, ein markantes Wort stach hervor und „NO LIMITS“, der jährliche Tromm-leranlass ohne Grenzen, war geboren. Zum NO LIMITS 01 NO LIMITS 01 NO LIMITS 01 NO LIMITS 01 wurden Tambouren aus der ganzen Schweiz zu einem Plauschwettbewerb eingeladen. Der friedliche Wettstreit, bzw. -marsch, fand leider zu wenig Anklang, warum weiss man gar nicht so recht. Aber die NO LIMITS Tambouren aus dem Frutigland sind flexible Ideenträger und machten flugs einen internen Sponsoren-Trommler-Marsch auf dem Fussballplatz Frutigen daraus. Das so ertrommelte Geld wurde zur Anschaffung von neuen Holztrommeln auf die Seite ge-legt. Am NO LINO LINO LINO LIMITS 02 MITS 02 MITS 02 MITS 02 in Aeschi (ob Spiez) wurden die neuen Instrumente einge-weiht und ein Dankekonzert für die Sponsoren veranstaltet. Mit von der Partie waren die Oberländer Tambou-renvereine Matten-Interlaken, Sigriswil-Beatenberg und Blumenstein. Das Grainfield Drum & Fife Corp aus Rheinfelden unterhielt die Gäste mit seinen amerikanischen Trommel- und Pfeifermelodien. NO LIMITS 03NO LIMITS 03NO LIMITS 03NO LIMITS 03 nun denn präsentierte in Reichenbach (ebenfalls im „Frutigland“ gelegen) ein Konzert mit dem TV Fru-tigland itself, den Crazy Drummers Lin-den sowie den Querschlegern.
Berechtigt stolz eröffnete Bruno Sieber (oben) mit seiner „erweiterten“ Jung-tambourensektion (7 Mitglieder plus 5 Anfänger) das flippige Konzert des TV Frutigland. Unter der Gesamtleitung von René Rubin entlockten die gute Mischung der Stückwahl und die span-nende Präsentation dem Publikum ein „Ju“, „Yea“ und „Heia Super“ nach je-dem Stück. Die Oberländer Hymne (im Oberland doch schon fast ein Muss!), von drei „hiesigä“ Schwyzerörgelern begleitet, fand bei den Einheimischen natürlich entsprechenden Anklang (sie tobten) und musste ein zweites Mal vorgetragen werden. Damit dürfte wohl das Eis zwischen den Trommlern und der Bevölkerung nun gebrochen sein. Was sich seit längerer Zeit im Emmental zusammengebraut hatte, formierte sich vor einem Jahr zu den Crazy Drummers Linden. Die Truppe mit bald 20 Gielä und Modis aus Linden, Röthenbach, Eggiwil und Heimenschwand scheuten keine Mühe und schleppten ihre In-strumente inkl. Karibikfässern rüber ins Oberland. Sichtlich mit Leib und Seele dabei, eroberten sie sich die Herzen und den Applaus der ZuschauerInnen. Tambourenleiter Heinz Zurbrügg zeigt sich schwer zufrieden, er müsse sogar die eine oder andere Anfrage absa-gen, sonst würde es den Jungen zu viel werden. Fehlt Ihnen ein Schwingbesen, eine Pfanne, ein Becher? Wieder zu finden bei der zusammen gewürfelten, „ver-rücktesten Trommelgruppe“ der Schweiz, wie sich die Querschleger
selbst be(unter)titeln. (Tambour Major stellte sie in der letzten Ausgabe 1/03 näher vor). Mit allen möglichen und unmöglichen Instrumenten, sprich Din-gen, wurde „umegchlefelet“. Die Um-setzung ihres Leitsatzes, „das schweize-rische Trommeln auf rassige Weise dar-bieten“, ist ihnen auch vor dem NO LIMITS-Publikum bestens gelungen. Die Botschaft von NO LIMITS sei klar und deutlich, meinen die Querschleger und kommen nach ihrem offiziellen Ab-marsch ausnahmsweise zurück auf die Bühne um ohne Zeitlimit mehrere Zu-gaben zu trommeln. „Nun wollen wir aber endlich auch mit euch feiern!“ So wird dem Motto entsprechend à dis-crétion gegessen, an der Bar ge-plaudert und verweilt bis... no limits. Keine Bange, denn der Gratis-Heim-fahrservice erlaubt ein, zwei Gläschen mehr des sorgenlosen Geniessens...
Prost und e Guete!
Fortsetzung folgt...Fortsetzung folgt...Fortsetzung folgt...Fortsetzung folgt...
NO LIMITS wird bleiben und zur Vereins-tradition werden. Man darf gespannt sein, womit der TV Frutigland am nächsten und übernächsten NO LIMITS aufwarten und mit welchen neuen Ideen er die BesucherInnen überra-schen wird. Falls Sie Lust haben sollten, mit Ihren Tambouren und Pfeifern selbst daran teilzunehmen, dürfen Sie unver-bindlich mit dem Verein Kontakt auf-nehmen. So viel ist bereits geplant: Im Rahmen von NO LIMITS 06NO LIMITS 06NO LIMITS 06NO LIMITS 06 wird das Zentral-schweizerische Jungtambouren- und Pfeiferfest in Frutigen stattfinden.
33333333 TraditionTraditionTraditionTradition STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST
Tambours sans frontière...Tambours sans frontière...Tambours sans frontière...Tambours sans frontière...
dans l'Oberdans l'Oberdans l'Oberdans l'Oberlandlandlandland
Peu après son accueil dans la ZTPV et la fondation de sa section Juniors, la Société des Tambours (TV) Frutigland a souhaité créer «quelque chose de nouveau», dans la pérennité des tra-ditions de l'association. Le thème «NO LIMITS» s'est précisé durant une réunion et c'est ainsi que la manifestation an-nuelle Tambours sans frontière a vu le jour. Pour NO LIMITS 01NO LIMITS 01NO LIMITS 01NO LIMITS 01, tous les tambours de Suisse avaient été invités. Mais les concours de marches n'ont malheu-reusement eu que peu d'écho. C'est pourquoi, la TV Frutigland a organisé en dernière minute une marche des tambours sur le terrain de football de Frutigen.
L'argent ainsi récolté a contribué à l'achat de nouveaux tambours en bois. Les nouveaux instruments ont été inaugurés à Aeschi (près de Spiez), à l'occasion de NO LIMITS 02NO LIMITS 02NO LIMITS 02NO LIMITS 02. Les TV Oberland, Matten-Interlaken, Sigriswil-Beatenberg et Blumenstein étaient également de la partie. Le «Grainfield Drum & Fife Corp» de Rheinfelden a joyeusement 'dépaysé' les hôtes avec des partitions fifres et tambours made in USA. A Reichenbach, NO LIMITS 03 NO LIMITS 03 NO LIMITS 03 NO LIMITS 03 a présen-té un concert épatant et absolument parfait en présence de la TV Fruti-gland, des «Crazy Drummers Linden» (Emmental) et des «Querschleger».
Des prestations qui ont très rapidement rompu la glace entre joueurs et spec-tateurs. Le message de NO LIMITS était clair, ils entendaient jouer à toute heure, manger à discrétion, refaire le monde au bar et s'attarder jusqu'à... no limits. Et la suEt la suEt la suEt la suite...ite...ite...ite...
NO LIMITS est désormais une tradition. Que nous réserve la TV Frutigland et le prochain concert NO LIMITS? Si vous désirez participer à la manifestation, contactez, sans engagement, la socié-té. Ce qui est déjà prévu: la Fête des jeunes fifres et tambours de Suisse cen-trale se tiendra à Frutigen, dans le ca-dre de NO LIMITS 06.NO LIMITS 06.NO LIMITS 06.NO LIMITS 06.
TV Frutigland
Querschleger
Crazy Drummers Linden
VVVVVVVV Edinburgh retourEdinburgh retourEdinburgh retourEdinburgh retour 34343434
Edimbourg (15.8-18.8.03) Ce n’était « top secret » pour person-ne, puisque René Walz avait lancé l’idée de se rendre à la grande parade du « Tattoo » à Edimbourg lors de l’AG des Vétérans en 2001 déjà. Naturelle-ment, nous ne savions pas à ce mo-ment-là l’effet que produiraient ces deux mots sur le Tattoo, la Suisse et ses fans du tambour, les bâlois en particu-lier. La proposition ayant reçu un ac-cueil favorable, les préparatifs ont pu dès lors commencer. Et ce matin du 15 août, le rêve devient enfin réalité. Vendredi 15.8 : les 41 participants du « groupe Walz » se retrouvent au Termi-nal 1 de l’aéroport de Kloten. Les visa-ges sont connus, les noms un peu moins. Mais chacun retrouve vite une identité et le voyage peut commen-cer… Le ciel est clair, la vue sur les Alpes fan-tastique et la durée du transit à Lon-dres plus longue que le vol dans son entier. Manuela Smith qui nous accueille à E-dimbourg sera notre guide pour quatre jours. En route pour l’hôtel Juri’s Inn, elle plaisante et raille gentiment les au-tochtones, mais nous parle avec fierté aussi des terrains de golf nombreux, des rues encombrées, des curiosités touristiques et du Parlement, renforçant ses propos avec des « nous, les Ecos-sais… » à l’accent alémanique parfai-tement reconnaissable. Nous avons eu l’occasion d’apprécier le charme de la Vieille Ville lors de précédentes visi-tes. Une activité bourdonnante, joyeu-se règne dans la Royal Mile et nous donne un avant-goût sympathique du Festival qui s’y déroule parallèlement. Le temps beau et chaud contribue à ce que la plupart d’entre nous feront une rentrée très tardive à l’hôtel ce premier soir. Samedi 16.8: un tour de ville et la visite du château sont au menu. En car, Ma-nuela nous fait visiter l’ancienne et la nouvelle Cité et nous en donne un so-lide aperçu historique et culturel. Sur le Calton Hill, nous aurons encore la sur-prise d’une petite fête d’anniversaire, avec bougies et gâteau.
Plus tard, dans la forteresse, c’est le canon de 13 heures qui suscitera le plus grand intérêt. L’après-midi est li-bre. Musées, places à l’ombre ou shopping dans la Princes Street nous attendent. L’un de nous ne revient-il pas à l’hôtel avec un gros carton à chapeau…? Le repas pris en commun est euh….disons… Le plus grand événe-ment du jour est sans conteste le Tat-too!!! Nous nous y rendons plein d’attentes et sommes quelque peu surpris de devoir remonter la Royal Mile en de multiples étapes, un peu comme au « Morgenstraich ». Mais rien ne peut casser l’ambiance et bien que cela nous paraisse d’abord improba-ble, chacun finit par trouver sa place et la parade débute à l’heure suisse. Le spectacle est délirant, bigarré, cap-tivant. Le son des premières cornemu-ses et le tonnerre assourdissant des ca-nons du « half pipe » donnent l’impression d’un « Vieri Schloo ». La folie est à son comble après la pres-tation des « top secret », fantastique-ment applaudis. Leur tempo impres-sionnant et la précision de leur jeu donnent le frisson. Et parmi les groupes réunis sur la place, l’endroit d’où jouent les Suisses est aisément reconnaissable. Pour l’instant, les fans sont sagement assis dans le PUP (emplacement réser-vé), mais je me suis laissé dire que l’aîné de nos participants (82) n’a re-trouvé le chemin de l’hôtel que dû-ment accompagné, aux premières lueurs de l’aube. Succès complet, donc! Dimanche 17.8. Pour la plupart d’entre nous, la journée débute par une file d’attente au buffet du petit déjeuner. Apparemment, tous veulent quitter l’hôtel en même temps. Certains pour s’en retourner chez eux, et nous, pour nous rendre au Loch Lomond, en di-rection de Stirling, afin d’y visiter une distillerie. Mais avant cela, Manuela nous accompagne jusqu’au canton-nement de nos ‘stars’ et immortalise l’instant par une photo devant les ponts du Firth of Forth. Le Stirling Castel (15e et 16e siècles) oc-cupe une place stratégique et marque
également l’entrée des Highlands. On compte 15 champs de bataille au pied de ses murs. A voir les cuisines du château trans-formé en musée, Maria Stuart et ses pairs ne devaient pas être affamés. Et par une chaude journée d’été, il de-vait faire bon vivre à l’abri de ses murs épais, mais en hiver…brrr! Au bord du Loch Lomond, une aire de repos est aménagée avec tout ce qui peut réjouir le cœur d’un touriste. Mais le repas proposé ne nous tente pas vraiment et nous préférons nous éclip-ser vers le marché paysan, les restau-rants ou les magasins alentours. Rassa-siés et heureux, nous continuons par une croisière sur le Loch. Le lac, tout en longueur, est le plus étendu de Grande-Bretagne. L’eau a la couleur du coca. Nous sommes au sud des Highlands, le vent qui souffle nous frise les oreilles et un bon café nous ré-conforte. Ceux qui comme moi n’aiment pas trop le car apprécient doublement l’escapade. Notre prochaine et dernière attraction du jour est la Glengoyne Whisky Distil-lery. Nous sommes reçus par un « Ver-suecherli » parfait, puis une vidéo nous apprend tout sur la fabrication du pré-cieux élixir. Dans la boutique, des fla-cons jaune-or de tous âges nous sédui-sent au prix fort, mais il s’y trouve aussi quelques marchandises moins ‘titrées’, tels que marmelade, miel ou short-breads. Malheureusement, le voyage se termine là. Nous prenons congé de notre sympathique accompagnatrice. Grâce à elle, nous avons passé des journées agréables, enrichissantes et divertissantes. Lundi 18.8. Avec un peu de chance, chacun parvient à caser un petit plus dans ses bagages, ferme la porte sur un soupir et un dernier regard, pour s’en retourner vers le car. Tant d’images nous emplissent que le pay-sage n’a plus tellement d’importance et une fatigue bienheureuse s’installe bientôt. Les beaux souvenirs ne sont pas taxés et ne prennent pas de place dans la valise; nous en avons engrangés beaucoup.
35353535 AgendaAgendaAgendaAgenda STV ASTSTV ASTSTV ASTSTV AST
Die Tambouren- und Pfeiferszene Schweiz!
La scène du tambour et du fifre en Suisse!
RothristRothristRothristRothrist 29.11. ZTPV Gruppenmeisterschaft
KlotenKlotenKlotenKloten 29.11. OTV Gruppenmeisterschaft
SolothurnSolothurnSolothurnSolothurn 13.12. Jungtambouren Grand-Prix
AarauAarauAarauAarau 17.1. ZTPV Präsidenten- und Sektionsleitertagung
Köniz Köniz Köniz Köniz 24./25.1. Trommelfestival BaselBaselBaselBasel 1.-3.3. Basler Fasnacht Montreux Montreux Montreux Montreux 5. + 6. 3. Kodo Luzern Luzern Luzern Luzern 8./9./10./11./12. März Kodo
BubendorfBubendorfBubendorfBubendorf 13.3. ZTPV Delegiertenversammlung Naters Naters Naters Naters 14.3. OWTPV Delegiertenversammlung Wil Wil Wil Wil 20.3. OTV Delegiertenversammlung ZürichZürichZürichZürich 16.4. Trummlebummle
Matten bei Interlaken Matten bei Interlaken Matten bei Interlaken Matten bei Interlaken 17.4. Drummer Chilbi AAAAltishofenltishofenltishofenltishofen 23.-25.4. Schweizer Drummer- und Perkussionisten Wettbewerb - Nacht der Drummer Luzern Luzern Luzern Luzern 1./2.5. 2. Internationale Dudelsacktage Staldenried Staldenried Staldenried Staldenried 14.-16.5. 100 Jahre TPV Staldenried Hohtenn Hohtenn Hohtenn Hohtenn 5.6. Bezirkswettspiele
St. Jean St. Jean St. Jean St. Jean 11.-13.6. 35. Unterwalliser Fest Appenzell Appenzell Appenzell Appenzell 12./13.6. OTV Jugendwettspiel VisperterminenVisperterminenVisperterminenVisperterminen 12./13.6. VV-Tagung
Naters Naters Naters Naters 18.-20.6. OWTPV Fest LanLanLanLangenthalgenthalgenthalgenthal 25.-27.6. ZTPV Tambouren- und Pfeiferfest HohtennHohtennHohtennHohtenn 3.-5.9. Bezirksfest Westlich Raron AeschiAeschiAeschiAeschi 4.9. TV Frutigland NO LIMITS AusserbergAusserbergAusserbergAusserberg 12.9. OWTPV Veteranentagung
FreiburgFreiburgFreiburgFreiburg 20.11. STV Delegiertenversammlung
Im Ausland
EnglandEnglandEnglandEngland
London Chelsea London Chelsea London Chelsea London Chelsea Febr/Mai/Sept/Nov Music Meetings Info: www.corpsofdrums.com Dumbarton Dumbarton Dumbarton Dumbarton 22.5. Scottish Championship
EspanaEspanaEspanaEspana
Mula Mula Mula Mula (Provinz Murcia, Südspanien 7.4. Noche des tambores FranceFranceFranceFrance
StStStSt----Brieuc Brieuc Brieuc Brieuc 2ième au 4ième juillet Fête Internationale du Tambour Info: www.tamboursde89.com
Wann ist IhrIhrIhrIhr Anlass?
Mitteilungen bitte an die Redaktion. A quand votrevotrevotrevotre prochaine manifestation ?
Communication à la rédaction.
BaselBaselBaselBasel 14.-16.2. Basler Fasnacht
VispVispVispVisp 13.3. OWTPV Delegiertenversammlung
VispVispVispVisp 10.-12.6. OWTPV Fest
2 20032 20032 20032 2003
Edinburgh Memories Und was bringt uns wohl der Santiklaus? Weil es soooo schön war, dies hier
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