Das informative Magazin für aktive und passive Tambouren und Pfeifer sowie Freunde des Schweizerischen Tambourenwesens
Le magazine informatif pour les tambours et fifres actifs et passifs, ainsi que pour les amis de l’art du tambour en Suisse
2002 CHF 8.50
STV - AST Inhalt / Sommaire 1
Tambour Major
Schweizerischer Tambourenverband Association Suisse des Tambours
Kontakt/Contact: Markus Estermann Wührestr. 490, 5724 Dürrenäsch [email protected]
Bernhard Clemenz Markus Estermann Christoph Gnägi Martial Gumy Philippe Müller Christine Rüegsegger Peter Schwarzer René Walz
Kontakt/Contact: Christine Rüegsegger Grassiweg 12, 3714 Frutigen [email protected]
Pascal & Claude Grezet Laurette Gaudin
4'000 Ex.
zweimal jährlich, Mai und November deux fois par an, mai et novembre
Preise auf Anfrage/Prix sur demande büro Script, Grassiweg 12, 3714 Frutigen
jeweils 5. April und 5. Oktober 5 avril et 5 octobre, resp.
Einzelpreis/Prix par exemplaire CHF 8.50 Jahresabo/Abonnement annuel CHF 15.--
büro Script, Frutigen
Egger AG, Frutigen
Die Wiedergabe von Artikeln mit Quellenangabe ist gestattet. Die Tambour Major Redaktion freut sich in jedem Fall über ein Belegexemplar.
La reproduction d’articles est autorisée avec indica-tion de la source. La rédaction du Tambour Major s’intéresse dans tous les cas à une copie de votre document.
Inhalt / Sommaire
STV-AST
Editorial 4
Knowhow Soldaten und Trommeln 6
Im Schatten von Stomp? 8 Was lange währt... 9
Siders/Sierre 2002 Die Sonnenstadt/La ville de soleil 14
TK Bläser / CT fifres et clairons 16 VV Kontrolleure / Contrôleurs UV 18 Wettspielleitung/Direction du concours 20
Kommunikation/Communication In eigener Sache/De notre part 3
Marktplatz/Place du marché 30 Leserbriefe/lettres de lecteurs 31
Agenda Bunt gemischt/en vrac 22
International Basel grüsst Schottland 24
Traditionen/Traditions L’Escalade 32
OTV Die Jugend im Vormarsch 10
OWTPV Informative Rück- und Ausblicke 12
URSTFC Fête romande 03 23
ZTPV Primel und der Trommelmeister 26
VV Ein Fest der Begegnung 28
Sacha Bittel, Le Nouvelliste
2002
STV - AST Inhalt / Sommaire 1
Im Schatten von Stomp? 8
TK Bläser / CT fifres et clairons 16 VV Kontrolleure / Contrôleurs UV 18
Marktplatz/Place du marché 30 Leserbriefe/lettres de lecteurs 31
Die Jugend im Vormarsch 10
Informative Rück- und Ausblicke 12
Fête romande 03 23
Primel und der Trommelmeister 26
Ein Fest der Begegnung 28
STV - AST Impressum 2
Tambour Major
Schweizerischer Tambourenverband Association Suisse des Tambours
Kontakt/Contact: Markus Estermann Wührestr. 490, 5724 Dürrenäsch [email protected]
Bernhard Clemenz Markus Estermann Christoph Gnägi Martial Gumy Philippe Müller Christine Rüegsegger Peter Schwarzer René Walz
Kontakt/Contact: Christine Rüegsegger Grassiweg 12, 3714 Frutigen [email protected]
Pascal & Claude Grezet Laurette Gaudin
4'000 Ex.
zweimal jährlich, Mai und November deux fois par an, mai et novembre
Preise auf Anfrage/Prix sur demande büro Script, Grassiweg 12, 3714 Frutigen
jeweils 5. April und 5. Oktober 5 avril et 5 octobre, resp.
Einzelpreis/Prix par exemplaire CHF 8.50 Jahresabo/Abonnement annuel CHF 15.--
büro Script, Frutigen
Egger AG, Frutigen
Die Wiedergabe von Artikeln mit Quellenangabe ist gestattet. Die Tambour Major Redaktion freut sich in jedem Fall über ein Belegexemplar.
La reproduction d’articles est autorisée avec indica-tion de la source. La rédaction du Tambour Major s’intéresse dans tous les cas à une copie de votre document.
Inhalt / Sommaire
STV-AST
Editorial 4
Knowhow Soldaten und Trommeln 6
Im Schatten von Stomp? 8 Was lange währt... 9
Siders/Sierre 2002 Die Sonnenstadt/La ville de soleil 14
TK Bläser / CT fifres et clairons 16 VV Kontrolleure / Contrôleurs UV 18 Wettspielleitung/Direction du concours 20
Kommunikation/Communication In eigener Sache/De notre part 3
Marktplatz/Place du marché 30 Leserbriefe/lettres de lecteurs 31
Agenda Bunt gemischt/en vrac 22
International Basel grüsst Schottland 24
Traditionen/Traditions L’Escalade 32
OTV Die Jugend im Vormarsch 10
OWTPV Informative Rück- und Ausblicke 12
URSTFC Fête romande 03 23
ZTPV Primel und der Trommelmeister 26
VV Ein Fest der Begegnung 28
Sacha Bittel, Le Nouvelliste
2002
3 Kommunikation STV-AST
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Die Redaktion / La rédaction
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- Vorstands- und TK-Mitglieder STV, VV und/oder eines Regionalverbandes Membres du comité central et de la CT de l’AST, de l’UV et/ou d’une fédération régionale
- Mitglieder der VV/Membres de l’UV
CHF 15.— alle anderen / tous les autres
gratis/gratuit Inserenten/Insertions
CHF 8.50 Einzelexemplar / Exemplaire unique
Jede Sektion erhält so viele Abos zu CHF 4.80 wie die Anzahl angemeldeter Aktivmitglieder. Werden mehr Abos gewünscht, bitte bei der Redaktion melden. Diese zusätzlichen Abos erhalten Sie zum Preis von CHF 15.--. Chaque section reçoit autant d’abonnements à CHF 4.80, qu’elle a de membres actifs annoncés. Si des abonnements supplémentaires sont souhaités, prière d’en informer la rédaction. Ceux-ci seront facturés au prix de CHF 15.--.
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Besten Dank und viel Freude beim Lesen des informativen Tambour Major’s. Die Redaktion.
Un grand merci et bien du plaisir à la lec-ture informative du Tambour Major. La rédaction.
AST Editorial 4
C’est avec fierté que nous nous re-mémorons la 23e Fête fédérale des Tambours, Fifres et Clairons de Sierre, qui fut un événement inoubliable et d’excellente qualité musicale. Cette manifestation illustra de manière par-ticulièrement impressionnante com-ment les participants et les sociétés de toutes les régions et influences culturelles de la Suisse peuvent certes s’affronter dans le cadre d’un concours, mais en s’unissant dans une même fête extrêmement joyeuse, en passant par-dessus toutes les frontiè-res linguistiques, d’âge, régionales et sociales. Le partage musical de dif-férents styles et tonalités du jeu des tambours, fifres et clairons, également accompagnés d’instruments de per-cussion, est l’expression d’un profond lien d’amitié et d’identité, qui se ma-nifeste au-delà des différences et di-vergences géographiques, politiques et sociales, dans la langue universelle du rythme et des sons. Pour la première fois, des formations d’autres pays qui s’adonnent aux tambours et aux fifres suisses ont pu participer à ce concours AST à titre de "Associated Members". De même, la nouvelle catégorie de concours « tambours et percussions » se produi-sit pour la première fois dans le cadre d’un concours suisse. Ces deux nou-veautés traduisent une ouverture de l’AST, dont le rôle et l’image s’élargiront de plus en plus également au niveau international, en coopéra-tion avec des styles musicaux et des groupes instrumentaux voisins. Le vif
échange durant ces deux dernières années entre tambours, fifres ainsi que leurs groupes en Hollande, en Angleterre, aux Etats-Unis et en France (participations réciproques de concours et d’associations, Clinics et "Master Class" à l’étranger, présence internationale des tambours militaires, échange de jurys de compétition, vente réussie du nouveau matériel di-dactique AST "Roulement" à l’étran-ger ainsi que sa traduction prévue vers l’anglais) témoignent de la ten-dance des tambours suisses et de l’AST à se faire mieux connaître et à se positionner plus clairement sur le plan international. Dans ce contexte, la force de notre jeu de tambours et de fifres se trouve dans son originalité et dans le soin avec lequel la tradition et les parti-cularités culturelles – p. ex. la musique ancestrale ou les tambours de Bâle (nouvelle collection de compositions de marches bâloises) – sont traitées et maintenues de manière aussi origi-nale et authentique que possible. Le développement et les innovations du jeu suisse de tambours et de fifres sont également significatifs ; ce que les nombreuses compositions modernes et parfois très élaborées démontent de manière impressionnante année après année (volume 4prévu des compositions AST). Une attention particulière est portée, au niveau international, à la qualité d’exécution unique en son genre sous
nos latitudes avec laquelle nos joueurs de fifres et de tambours maîtri-sent leurs instruments (dans le cadre d’un grand nombre d’associations et de sociétés dirigées et organisées avec beaucoup de diligence). Les standards de qualité élevés des tam-bours et fifres suisses sont mondiale-ment appréciés et sont directement associés à un profond enracinement et à une identification des interprètes avec leur jeu, à une innovation conti-nue, à une formation moderne et à des concours avec des exigences et des critères de qualité fiables. Cons-ciente de tout cela, la CT AST s’oc-cupe des travaux préparatoires pour le remaniement du règlement de fête et des concours ainsi que pour un nouveau concept de formation. Les travaux préparatoires pour la pro-chaine fête fédérale à Bâle, à l’oc-casion du centenaire de l’AST, ont dé-jà débuté. Cette fête sera également annoncée dans quelques régions d’autres pays et des formations étrangères sélectionnées de tam-bours et de fifres sont attendues comme participants à la fête (pas aux concours!). La valeur inestimable de la musique comme langue unissant les peuples (au niveau national et international) se manifeste tout particulièrement dans les périodes d’insécurité géné-ralisée et de crises entre représen-tants de différents intérêts et cultures. L’AST désire apporter sa contribution à cela dans le Global Village des joueurs de tambours et de fifres.
5 Editorial STV
Musik verbindet – La musique rassemble
Viktor Müller-Oppliger / Traduction Ursula Sila, Genève
Mit Stolz blicken wir zurück auf ein un-vergessliches und musikalisch hoch-stehendes 23. Eidgenössisches Tam-bouren-, Clairon- und Pfeiferfest in Sierre. Dieses Ereignis hat ganz beson-ders eindrücklich dargestellt, wie Teil-nehmerInnen und Vereine aus allen Landesteilen und Kulturräumen der Schweiz zwar gegeneinander antre-ten im Wettspiel, gleichzeitig aber über alle Sprach-, Alters-, regionalen und sozialen Grenzen hinweg ge-meinsam äusserst freudvoll festen und feiern. Das musikalische Miteinander verschiedener Stilrichtungen und Klangfarben im Trommeln, im Pfeifer- und Claironspiel, sowie im Zusammen-spiel mit Perkussionsinstrumenten ist Ausdruck einer tiefen Verbundenheit und Identität, die sich über geografi-sche, politische und soziale Unter-schiede und Differenzen hinweg in der universellen Sprache des Rhyth-mus und der Klänge manifestiert. Zum ersten Mal konnten an diesem STV-Wettspiel Formationen aus dem Ausland, die das Schweizer Trommeln und Pfeifen pflegen, als sogenannte "Associated Members" mitkonkurrie-ren. Ebenso gelangte die neue Wett-spielkategorie "Tambouren & Percus-sion" das erste Mal im Rahmen eines schweizerischen Wettspiels zur Durchführung. Beides weist auf eine Oeffnung des STV hin, der seine Rolle
und sein Selbstverständnis künftig vermehrt auch international und in Kooperationen mit angrenzenden musikalischen Stilrichtungen und In-strumentalgruppen definieren wird. Der rege Austausch in den vergange-nen zwei Jahren zwischen Tambou-ren, Pfeifern sowie deren Verbänden in Holland, England, den USA und in Frankreich (gegenseitige Wettspiel- und Verbands-Besuche, Clinics und "Master Class" im Ausland, die interna-tionale Präsenz der Militärtambouren, gegenseitige Einsitznahme in Compe-tition-Jurien, der erfolgreiche Verkauf des neuen STV Lehrmittels "Wirbel" ins Ausland sowie dessen bevorstehende Übersetzung ins Englische legen Zeugnis ab von der Entwicklung, das Schweizer Trommeln und den STV in-ternational weiter bekannt zu ma-chen und zu positionieren. Dabei liegt die Stärke unseres Trom-mel- und Pfeiferspiels einerseits in des-sen Ursprünglichkeit und in der Sorg-falt, wie Tradition und kulturelle Eigen-arten - z.B. die Ahnenmusik oder das Basler Trommeln (neu erschienene Kompositionssammlung Basler Mär-sche) - so original und authentisch wie möglich gepflegt und aufrechterhal-ten werden. Ebenso bedeutsam ist die gleichzeitige Weiterentwicklung und Innovationen des Schweizer Trommel- und Pfeiferspiels; was zahl-reiche moderne und zum Teil sehr elaborierte Kompositionen Jahr für Jahr eindrücklich aufzeigen (bevor-stehender Band 4 STV Kompositionen). Besondere Beachtung findet im inter-nationalen Vergleich aber die in die-ser Breite einzigartige Ausführungs-qualität, mit welcher unsere Pfeifer und Tambouren ihre Instrumente (im
Rahmen einer Vielzahl gut geführter und wohl organisierter Vereine und Verbände) spielen. Hohe Qualitäts-standards wie im Schweizer Trommeln und Pfeifen finden weltweit Beach-tung und stehen in unmittelbarem Zu-sammenhang zu tiefgreifender Ver-wurzelung und Identifikation der Inter-preten in ihrem Spiel, zu kontinuierli-cher Innovation, zeitgemässer Ausbil-dung und zu Wettspielen mit verlässli-chen Anforderungen und Qualitätskri-terien. Sich dessen bewusst, laufen in der TK STV derzeit die Vorbereitungs-arbeiten zur Überarbeitung des Fest- und Wettspielreglements sowie für ein neues Ausbildungskonzept. Bereits haben auch die Vorbereitungsarbei-ten für das nächste Eidgenössische Fest in Basel zum 100-jährigen Jubi-läum des STV begonnen, das (be-grenzt) international ausgeschrieben werden soll und zu dem auch ausge-wählte ausländische Trommel- und Pfeiferformationen als Festteilnehmer (nicht Wettspieler!) erwartet werden. Besonders in Zeiten globaler Verunsi-cherung und zahlreicher Krisen zwi-schen Angehörigen verschiedener In-teressen und Kulturen tritt der uner-messliche Wert der Ausdrucksform Musik als (national und international) Völker verbindende "Sprache" deut-lich zutage. Dazu möchte der STV sei-nen Beitrag im Global Village der Trommler und Pfeifer leisten.
STV Knowhow 6
Die Aarauer RS-Tambourenformation
im Jahr der Expo.02
Philipp Rütsche
Mitte Juli begann für 20'000 junge Schweizerinnen und Schweizer die Sommerrekrutenschule 2002. 34 da-von haben es geschafft, die vor-dienstliche Prüfung zum Militärtam-bour zu bestehen und absolvieren Ihre RS auf einem der beiden Ausbildungs-standorte Aarau und Bern. Am 15. Juli fanden sich vor dem Trompeterhaus in Aarau – dem Schweizer Ausbildungszentrum für Mili-tärmusik – 17 Tambour-Rekruten und vier abverdienende Tambour-Unterof-fiziere aus insgesamt 11 Kantonen, verteilt auf die gesamte Deutsch spre-chende Schweiz ein. Voller Elan bestreiten sie ihre anspruchsvolle 15 Wochen dauernde Ausbildung zum Militärtambour, welche mit dem Ab-schluss der STV-Leiterkurse zertifiziert wird. Neu seit diesem Jahr besteht für die abverdienenden Tambouren-Ka-der die Möglichkeit, den STV-Leiterkurs Stufe II zu absolvieren. In einer zentra-len Kaderausbildung werden die Tambour-Korporäle durch Hptm Ro-batel und Fw Rütsche auf die hoch-stehenden Kursanforderungen vor-bereitet. Die Tambouren-RS steht seit dem Jahr 2001 unter der Leitung von Fachlehrer Feldweibel Philipp Rütsche. Zusam-men mit den vier abverdienenden Tambour-Unteroffizieren Kpl Moritz Frei, Kpl Daniel Kern, Kpl Jean-Luc Kühnis und Kpl Daniel Plattner gilt es innert kürzester Zeit ein technisch anspruchs-volles Konzertprogramm einzustudie-ren. Dieses reicht vom Marsch im klas-
sischen Baslerstil über Höchstklasse-Kompositionen bis hin zu modernen Kompositionen mit diversen Perkus-sionsinstrumenten und optischen Showeffekten. Zum erstenmal in der Geschichte der Schweizer Militärmusik werden den Rekruten nebst dem persönlichen Ins-trument, der bekannten rot-weissen Ordonnanztrommel mit dem bewähr-ten "Powerfell" aus Kunstgewebe auch eine Holztrommel mit Natur-Kalbfell als Leihinstrument abgege-ben. Diese werden ausschliesslich an den Saalkonzerten zum Einsatz kom-men. Die klanglich hervorragenden Eigenschaften dieser neuen Instru-mente erlauben der Tambourenfor-mation, den möglichen dynamischen Bereich noch zu erweitern und über-zeugen durch eine feinere Differen-zierung in der Akzentgebung. Als Höhepunkte unserer diesjährigen Konzerttournee stehen unter anderem Konzerte an der Expo.02, ein Saalkon-zert mit dem Musikkorps der italieni-schen Luftstreitkräfte in Thun, das ZTPV Jungtambourenfest in Steinen sowie eine Rasenshow im Neuenburger Fussballstadion Maladière anlässlich der "Fête des Vendanges". Als Doku-mentation des hohen Ausbildungs-stands wird in der Schlussphase der Rekrutenschule ein vielseitiger Tonträ-ger in Zusammenarbeit mit dem Ton-studio AMOS produziert.
Genauere Konzertdaten finden Sie unter www.militaermusik.ch
In der schweizerischen Armee wird der Tambourmajorstock wieder eingeführt! Bis vor hundert Jahren hatten alle Musikformationen von eidgenössi-schen oder kantonalen Truppen ei-nen Tambourmajor an ihrer Spitze. Heutzutage kennen nur noch die Tambour- und Pfeifervereine diese Tradition. L’armée suisse réintroduit la canne de tambour-major! L’histoire nous rappelle que toutes les formations musicales des troupes cantonales ou fédérales avaient à leur tête un tambour-major. Seules les sociétés de tambours et fifres ont su garder cet aspect.
7 Knowhow AST
Soldats et tambours – un attrait pour le public. La formation Tambour de l’ER argovienne 2002, année de l’Expo.
20'000 jeunes Suisses sont entrés à l’école de recrues d’été en juillet 2002. 34 d’entre eux ont passé les examens préliminaires de tambour mi-litaire et accomplissent actuellement leur ER dans l’un des centres de for-mation d’Aarau ou Berne.
Le 15 juillet, 17 recrues et 4 sous-offi-ciers Tambour de 11 cantons aléma-niques se sont retrouvés à Aarau, au centre de formation suisse de musi-que militaire. Ils y poursuivent, sur 15 semaines, une formation de haut ni-veau qui sera certifiée par le cours Moniteur de l’AST. Depuis cette an-née, les caporaux Tambour ont par ailleurs la possibilité de suivre un cours Moniteur II, une formation centralisée
à l’intention des cadres, durant la-quelle le capitaine Robatel et le ser-gent-major Rütsche les préparent aux fonctions les plus exigeantes.
Durant l’ER –dirigée depuis 2001 par le sergent-major Philipp Rütsche assisté des caporaux Moritz Frei, Daniel Kern, Jean-Luc Kühnis et Daniel Plattner- les recrues apprennent, en un temps re-cord, à maîtriser un programme de concert complet et techniquement difficile. Celui-ci comprend aussi bien des marches de style bâlois que des compositions de très haut niveau, des morceaux modernes avec instruments de percussion ou des effets de show optiques. Pour la première fois dans l’histoire de la musique militaire suisse, les recrues reçoivent en prêt un tambour en bois recouvert en peau de veau naturelle, en plus de leur instrument personnel, le célèbre tambour d’ordonnance rouge-blanc avec sa ‘powerfell’ syn-
thétique. Ce tambour en bois est des-tiné aux salles de concert unique-ment. Les extraordinaires propriétés sonores de ce nouvel instrument per-mettent d’enrichir et affiner encore le jeu des exécutants.
Cette année, les points forts de notre tournée sont, entre autres, les concerts donnés à Expo.02, un con-cert en salle avec le corps de mu-sique des forces aériennes italiennes à Thoune, la Fête des jeunes tambours ZTPV à Steinen, ainsi qu’un show sur gazon, au stade de la Maladière à Neuchâtel, à l’occasion de la Fête des Vendanges. Un support musical varié, produit en collaboration avec le studio d’enregistrement AMOS, at-teste du haut niveau de notre forma-tion à l’issue de l’ER. Vous trouverez les dates exactes des concerts sous www.militaermusik.ch.
Die Aarauer Tambouren des Rekrutenspiels 2/2002 zum ersten Mal mit Holztrommeln
Les tambours argoviens de l’ER-2/2002 jouant pour la première fois avec des tambours en bois
…Worte überflüssig!
…sans commentaire!
Apropos Für ein Originalfoto kontaktieren Sie:
Pour un foto original contactez s.v.p. :
J. Eigenmann St. Gallen, Tel. 071 244 51 44
STV-AST Knowhow 8
Alltagsgegenstände!
Christoph Gnägi
In der Schweizer Trommel-Showszene
tut sich was.
In einem Zeitraum von rund 10 Jahren
sind mehrere Schweizer Showgruppen
entstanden, die nebst diversen Trom-
meln auch Alltagsgegenstände für
Perkussionsnummern zweckentfrem-
den. In einem ersten Teil stellt Tam-
bourmajor zwei solche Gruppen vor.
www.basilicum.net
Bâsilicum, s’Gwirz vo Basel Auch Bâsilicum haben ihre Wurzeln in
der Rheinstadt. Zur Jahrtausendwen-
de haben sich sechs Trommler und ein
Bassdrummer zu einer Gruppe zu-
sammengetan, deren Ziel es ist, nebst
dem aktiven „Fasnächtlen“ in den
Cliquen dieses Hobby auch ausser-
halb zu pflegen und auch moderne
und attraktivere Trommelliteratur zu
spielen. Weil die Gruppe ihr Programm
auf rassige Art und Weise vortragen
und mit Showeinlagen würzen wollte,
gab man ihr den Namen „Bâsilicum“-
eine clevere Mischung aus Basel und
Basilikum.
Unter der Leitung von Alain Martin
werden zur Zeit hauptsächlich origi-
nelle Strassenmärsche einstudiert, wel-
che stets von einer Stimme für die
grosse Trommel unterstützt und er-
gänzt werden. Eigene Kompositionen
hat Bâsilicum bisher keine hervorge-
bracht, die Gruppe bemüht sich aber,
ihren Darbietungen einen speziellen,
nicht alltäglichen Touch zu verleihen
und ihre eigenen (Show-)Elemente
einfliessen zu lassen.
So kommen auch nicht selten bren-
nende Schlegel oder UV-Licht zum
Einsatz. Die meisten ihrer Auftritte
bestreitet Bâsilicum im Rahmen von
Fasnachts- und Vorfasnachts-Veran-
staltungen. Ein grosser Erfolg konnte
anfangs dieses Jahres gefeiert wer-
den, als die Gruppe gemeinsam mit
Alfons Grieder einen sensationellen
Bühnenauftritt inszenierte, der einer
Weltpremiere gleichkam: Die Tam-
bouren kombinierten Schwatzen und
Trommeln auf gekonnte Weise und
wurden dementsprechend vom Publi-
kum gefeiert.
Troubasticks Basel 1998 ist in Basel aus der Idee, eine
Trommelgruppe mit nicht alltäglichem
Repertoire, welches sich von den
Basler Fasnachtsmärschen abhebt, zu
bilden, die Trommelgruppe „Trou-
basticks“ entstanden. Die fünf Mit-
glieder stammen alle aus verschiede-
nen Basler Fasnachtscliquen und lern-
ten sich bei ihren „ausserfasnächtli-
chen“ Trommelaktivitäten kennen. Die
ihnen gemeinsame Faszination für die
Kombination von Perkussion und Bas-
lertrommel sowie für mehrstimmige
Trommelkompositionen und die Expe-
rimentierfreude jedes Einzelnen führte
zu einem Stil, der die Troubasticks
heute auszeichnet. Aus Show und der
Ergänzung verschiedener Perkussions-
stimmen zu einem Part für das Schlag-
zeug schöpfen die fünf Basler interes-
sante neue Möglichkeiten, die sich mit
bestehenden Kompositionen nur be-
schränkt umsetzen lassen. Aus diesem
Grund wird daher in Kürze ein, exklusiv
für die Troubasticks komponiertes
Stück seine Premiere haben. Im kom-
menden Jahr sollen dann weitere Ei-
genkompositionen folgen, welche die
Troubasticks ihrem eigenen ange-
strebten Stil näher bringen werden.
www.troubasticks.ch
9 Knowhow STV-AST
TV Laupersdorf-Thal in Siders / à Sierre
Philippe Müller
Es gibt wohl keinen Tambourenverein in der ganzen Schweiz, den ein ähnli-ches Schicksal ereilt hat wie den TV Laupersdorf-Thal. Nach 16 Jahren und 4 zweiten Plätzen in Folge an einem Eidgenössischen Tambouren- und Pfeiferfest, ist es dem Verein in Sierre nun zum ersten Mal gelungen, den Schweizermeistertitel zu ertrommeln. Vater dieses Erfolgs ist der langjährige Sektionsleiter Jakob Otter, der den Verein von 1978 bis 1998 von Erfolg zu Erfolg führte. Er hat alles erreicht, alles bis auf den Schweizermeistertitel im Sektionstrommeln. Nach dem Eidge-nössischen in Solothurn hat er seinem Sohn Marcel die Leitung des Vereins übergeben. Diesen Sommer reiste er auch mit ans Eidgenössische Tambou-ren- und Pfeiferfest in Sierre und durfte miterleben, wie der Tambourenverein Laupersdorf-Thal zum ersten Mal in seiner Vereinsgeschichte den Schwei-zermeistertitel ertrommelte. „In diesem Moment empfand ich einfach nur tie-fe Freude und Genugtuung, auch für die Mitglieder, nach 4 mal auf dem 2. Rang nun endlich zuoberst standen“, kommentiert Jakob Otter seine Reak-tion auf den historischen Festsieg.
Tout vient à temps pour qui sait
attendre.
Aucune société suisse n’a connu un destin semblable à celui des Tam-bours de Laupersdorf-Thal. Après avoir, en 16 ans, obtenu 4 fois de suite la 2ème place lors des Fêtes fédérales de fifres et tambours, celle-ci a enfin remporté le titre suprême cette an-née à Sierre. Cette magnifique réus-site revient en premier lieu à son chef de longue date, Jakob Otter, qui, de 1978 à 1998, a mené sa section de succès en succès. Ainsi, ce meneur aura tout gagné, jusqu’au titre de champion suisse pour sa section Tam-bours. Après la Fédérale de Soleure, Jakob Otter avait remis la direction de la société à son fils Marcel. Ce qui ne l’a nullement empêché de faire le voyage à Sierre et d’accompagner sa section vers la première victoire de son histoire. Sa réaction à l’annonce de cette formidable nouvelle a été « une joie intense, et aussi, une pro-fonde satisfaction pour tous les membres du groupe qui après leur ‘abonnement’ aux 2ème rangs se re-trouvaient enfin à la première place».
Die Kommission hat folgende haupt-sächliche Aktivitäten für die Jahre 2003 und 2004 vor: - Fertigstellung des Instruktions- und
Fortbildungskonzepts (Instrukto-ren- und Jurykurse)
- Französische Übersetzung der "Pfyfferschuel" von Silvia Fuchs
- Vorbereitung und Instruktion für das Jugendlager 2003
Wir wünschen allen einen guten Ab-schluss des Jahres 2002. Voici les principales activités de la commission pour les prochains mois: - Concept de formation (cours de
moniteur et jury) - Traduction en français de la mé-
thode de fifre de Silvia suite à la décision de l’utiliser en rempla-cement du Pfiff-Stoff
- Préparation et enseignement au camp des jeunes 2003
Nous vous souhaitons à tous une bonne fin d’année 2002.
OTV Aktivitäten 10
Wettspiele, Konzerte und Kleiderdinge
Peter Schwarzer Foto Daniel Amstutz
27. OTV Jugendwettspiele in
Winterthur
Ende September 02 trafen sich 316 Einzelwettspieler und 18 Gruppen zum 27. OTV-Jugendwettspielen in Winter-thur. Das OK unter der Leitung von Beat Bühler hat mit einer motivierten Crew diesen Anlass perfekt organi-siert. Neben den drei Tambourenka-tegorien konnte auch eine Pfeifer- und eine Claironkonkurenz durchge-führt werden. Nach einem hochstehenden Final der besten OTV-Tambouren ging es zum Unterhaltungsprogramm. Unter dem Motto, „Après Schlepp“ stieg eine fät-zige Party. Alle Wettspielstrapazierten hatten hier die Gelegenheit ihre mü-den Knochen bei impulsivem Party-sound zu shaken. Harassen steigen, Torwand schiessen sowie ein Kino-raum waren weitere Attraktionen die zeigte,n dies war ein Fest der Jugend. Auch das Ramenprogramm am Sonn-tag war gespickt mit Höhepunkten.
Ein imposantes Spektakel war der von Anton Wymann geleitete Gesamtchor aller Tambouren. So manchem Trom-melfan lief es da kalt über den Rü-cken oder er bekam zumindest feuchte Augen. Mit Stepptanz, dem Tambourenverein der Stadt Winter-thur, den Querschlegern und der Per-kussionsgruppe Töss wurde ein volles Showprogramm geboten. Die Spannung während der Rangver-kündigung kann hier nicht beschrie-ben werden, so etwas muss man ganz einfach live erleben. Philipp Rütsche hat diese Aufgabe als neuer TA-Obmann OTV souverän ge-löst.
Es ist klar, neben den strahlenden Sie-gern gibt es auch einige enttäuschte Gesichter. Diese Enttäuschung ist viel-leicht auch eine neue Herausforde-rung. Bereits in einem halben Jahr be-steht eine neue Chance mit der Teil-nahme am 28. OTV Jugendwettspiel 2003 in Uzwil. Die vollständige Rangliste gibt’s unter www.tambourenverband.ch
Neues in Kürze
Kleider machen Leute Gleich zwei Vereine aus unserem Ver-bandsgebiet haben ihr Aussehen ge-ändert. Beide Vereine haben eine moderne und sehr elegante Variante gewählt. Der TV Weinland Andelfin-gen hat sich am Eidgenössischen Fest in Sierre mit einer neuen Uniform prä-sentoert. Der TV Schaffhausen hat sich zu seinem 70jährigen Bestehen eine neue Uniform zugelegt. Die Einwei-hung erfolgte am 7 September im Ca-sino Schaffhausen.
Jubiläum
Wir gratulieren dem Tambourenverein Wädenswil zum 40-jährigen Jubiläum.
OTV Jugendlager 2003
Der OTV führt vom 12.–18. Oktober 03 ein Jugendlager in Wildhaus durch. Die Ausschreibung und die provisori-sche Anmeldung erfolgt im Januar.
2002
11 Aktivitäten OTV
Hirschengrabenkonzert 2002 Von Hämmer’s bis Furioso
Ein Konzert auf höchstem Niveau...
Der Tambourenverein Helvetia Zürich
organisierte das 3. Hirschengrabenko-
zert in der Limatstadt. In diesem Jahr
war neben den Tambouren des Re-
krutenspiels Aarau 2/2002 auch der
Tambourenverein der Stadt Winterthur
eingeladen. Erfreulich war auch in
diesem Jahr die grosse Besucherzahl.
Die Aula des Schulhauses Hirschen-
graben ist wegen der Akustik gerade-
zu ideal für ein Trommelkonzert. Noch
selten habe ich einen so interessanten
Raum gesehen. Offensichtlich wurde
früher alles was an Anschauungsma-
terial für den Schulunterricht ge-
braucht wurde an Decke oder Wän-
de gehängt. Dies führt neben dem
akustischen Verwöhnen auch zu wah-
ren Entdeckungsreisen mit den Au-
gen.
Das Niveau der Darbietungen war
sehr hoch und wurde vom Publikum
jeweils mit grossem Applaus verdankt.
Es wurde wirklich vom Baslermarsch
über artistische Schlegelkünste, Tam-
bouren-Perkussion und erstklassigen
Trommelkompositionen alles geboten.
Die Gastgeber unter der Leitung von
Oliver Fischer und der Tambourenve-
rein der Stadt Winterthur unter der Lei-
tung von Matthias Kilga zeigten sich
von der besten Seite.
Gespannt war man natürlich auf die
Tambouren der Rekrutenschule Aarau
2/2002 unter der Leitung von Feldwei-
bel Philipp Rütsche. Es war gar eine
gewisse Spannung oder einfach Neu-
gier zu spüren wie sich die RS-
Tambouren unter der neuen Leitung
präsentieren werden. Es gelang eine
eindrückliche Präsentation mit hoch-
stehenden Kompositionen.
In der Ansage wurden die RS Tambou-
ren als die momentane Tambouren-
Nati bezeichnet. Auch wenn es keine
solche Nationalmannschaft gibt, das
Publikum war sich einig, dieses Konzert
war Spitze.
Herzlichen Dank allen Beteiligten für
diesen schönen Trommelabend.
Gastgeber TV Helvetia Zürich: „eifach dä Hammer“
Für alle Tambourenfreunde bietet sich
auch im Jahr 2003 eine Besuchsgele-
genheit, wenn der Tambourenverein
Helvetia Zürich zum 4 Hirschengra-
benkonzert einlädt.
OWTPV Oberwalliser Schlagzeilen 12
Von Ausserberg nach Siders,
via München über China und Ungarn nach
Cossonay und zurück nach Visperterminen.
Bernhard Clemenz
Ausserberg Ein guter Gastgeber
Das 61. Oberwalliser Tambouren- und Pfeiferfest vom 7.-9. Juni 2002 war herzlich und sehr gut organisiert. Das Dorf an der BLS-Südrampe präsen-tierte sich als perfekter Gastgeber, wie man es nicht anders erwarten konnte. In Ausserberg kommt ja sowieso bei-nahe jeder zweite Bewohner mit einer Trommel auf die Welt. Der TPV "Ah-nenstolz" reihte seinen Anlass in die Reihe der unvergesslichen OWTPV-Verbandsfeste ein.
Neue Software hat sich bewährt Für den Verband war die Anschaf-fung der neuen Wettspiel-Software vor allem ein finanzieller Hosenlupf. Für die alljährlichen Juniorenwettspiele war aber eine zeitgemässe Anpas-sung notwendig. Das Computerpro-gramm hat seinen Testlauf an den in-ternen Wettspielen in Bürchen und dann den "Ernstfall" am Oberwalliser Fest in Ausserberg mit Bravour be-standen.
Viel Jungvolk im Wettsteit An den OWTPV-Juniorenwettspielen konnte in diesem Jahr wieder eine sehr gute Beteiligung erreicht werden. 153 Jungpfeifer und 105 Jungtam-bouren liessen die Stadel und Spei-cher erzittern und die ansonstig lau-schigen Ecken des Dorfes Ausserberg vom Natwärischklang erzirpen.
Ständchen der Sieger Die TK versucht immer wieder, in klei-nen Schritten die abendliche Sieger-ehrung aufzuwerten. Können die Jun-gen seit einigen Jahren vom Podest
jubeln und sich auf Kränze und nicht nur Zweige freuen, waren in diesem Jahr erstmals die Sieger eingeladen, ihr Wettspielstück auf der Bühne vorzu-tragen. Auch dies benötigt von den Wettspielern Nerven, die bei diesem ersten Versuch nicht von allen aufge-bracht wurde.
Ein Festakt wie aus dem Bilderbuch
Was kann sich ein Verbandspräsident mehr wünschen als einen vollge-pfropften Festplatz. In Ausserberg standen Musikanten und Gäste, Eh-renmitglieder, Veteranen und Ahnen-musikfreunde Kopf an Kopf und erwie-sen dem neuen Verbandsfähnrich bei der Fahnenübergabe und dem Fest-ort ihre Referenz. Die neuen STV- und OWTPV-Veteranen ernteten viel Beifall und beim Abmarsch liess der "Walli-sergrüess" so richtig Emotionen los.
Seit 60 Jahren Ahnenmusikveteran
40 Jahre oder sogar 50 Jahre in einem Verein mitzumarschieren sind ausser-ordentliche Leistungen. Langjährige Treue und Mitfiebern mit dem Verein bekommt aber beinahe eine andere Dimension, wenn dies 60 Jahre lang geschieht. Josef Summermatter aus Stalden war nicht nur Präsident, Vor-standsmitglied, Interims-Tambourma-jor und eifriger Natwärisch-Pfeifer in seinem Verein sondern auch mass-geblich Verantwortlich für die An-schaffung der Walliser Herrensonn-tagstracht aus der Biedermeierzeit, welche seit 1963 ein unvergleichliches Erkennungszeichen der Staldner dar-stellt. In seinem 60. Aktivjahr bekleidet Josef das Amt des Fähnrich-Stellver-
treters und Rechnungsrevisoren. Herz-liche Gratulation. Eindrückliche Messfeier Im Oberwallis gehört ein feierlicher Feldgottesdienst einfach zum Ablauf eines gelungenen Festes. Selber Musik interpretieren zu können erfordert Ge-sundheit und Wohlbefinden, Gesell-schaft und Geselligkeiten. Nicht selbstverständliche Dinge, für die wir einfach einmal im Jahr speziell "Dan-ke" sagen. Mit Pfarrer Pascal Venetz besitzt der OWTPV sogar einen "Ver-bands-Curé", der in seinen Got-tesdiensten heraushören lässt, dass er selber Pfeifer, selber Ahnenmusikant, selber Musikkamerad ist. Die OWTPV-Familie geniesst und schätzt die ein-drücklichen Worte von "Pascha". Der gesamte Gottesdienst wurde von der Perkussionsgruppe von Beat Jaggi umrahmt. Es war eine neue Erfahrung und beeindruckend, wie durch Per-kussionsinstrumente die verschieden-artigen Stimmungen einer kirchlichen Zeremonie ausgedrückt werden konn-te. Ein Kompliment an die begnade-ten Musikanten.
Rote Meile Verwinkelt und mit vielen Überra-schungen gespickt, haben uns die Ausserberger in unzähligen Arbeits-stunden eine "rote Meile" hergezau-bert, die zum Verweilen, zum Ge-spräch und zu Geselligkeit richtigge-hend animierte. Manches "Ballon" Fendant fand eine durstige Kehle, un-zählige Spezialitäten-Menüs einen knurrenden Magen. Die "Rote Meile" war eine Bombensache!
13 Oberwalliser Schlagzeilen OWTPV
Siders Das Fest an der Sprachgrenze
Siders, das sympathische Städtchen,
an der Raspille, am Pfynwald, also di-
rekt an der Sprachgrenze gelegen,
war für alle Oberwalliser Ahnenmusik-
freunde eine echte Herausforderung.
Obwohl im Verbandsgebiet der UR
gelegen, zählte vor allem das "Walliser
sein" und verdankte dies dem OK und
Verein von Siders mit einer 100%igen
Beteiligung aller 26 Verbandssektio-
nen und zahlreichen Festbesuchern
und Umzugszuschauern aus dem
Oberwallis. Musik kennt keine Gren-
zen!
OWTPV-Grossformation
Was in Solothurn vor vier Jahren er-
folgreich getestet wurde, fand am
Eidgenössischen in Siders hellhörige
Ohren beim OK und warmen Applaus
bei den Zaungästen. Es war für alle
Musikanten ein echtes Erlebnis, am
Festmorgen als OWTPV-Grossforma-
tion mit rund 1500 Musikantinnen und
Musikanten aus allen Verbandssektio-
nen sowie einer Schar von Banner-
herren, Ehrendamen, Spiessträgern,
Sapeuren, Hellebardieren und Kinder-
trachten in die Sonnenstadt aufzu-
marschieren.
München TPV Visp am Oktoberfest
Es ist nicht alltäglich, dass Schweizer
Gruppen am grossen Münchner Ok-
toberfestumzug eingeladen sind. Der
TPV Visp machte seine Sache gut und
liess die echte Oberwalliser Ahnenmu-
sik wohl erstmals auf der Wiesn er-
schallen.
Ungarische Pfeife
Das Instrument der Hirten- und Söld-
ner-, Schwegel- oder Seitelpfeifen ist
bekanntlich weltweit verbreitet, wie
dies die Trommel ebenfalls ist. Nicht
nur 4000 Jahre vor Christus wurde in
China auf Knochenpfeifen musiziert,
auch die Hirten in der ungarischen
Puszta kennen dieses Instrument. Tam-
bourkamerad Marcel Escher aus Brig
hat mehrere Instrumente, die unserer
Natwärischpfeife sehr ähneln, ent-
deckt und fotografiert. Sie sind auch
auch im Internet unter www.owtpv.ch
zu bestaunen.
Cossonay Natwärisch erstmals mit dabei
Mit Freude hat man im OWTPV zur
Kenntnis genommen, dass am kom-
menden Fest der UR in Cossonay (4./5.
und 6. Juli 2003) erstmals in der West-
schweiz auch die Natwärischpfeifer
antreten dürfen. Die Gruppenwett-
spiele erfreuen sich zusehender Be-
liebtheit und dürften für die Ahnenmu-
sikanten in Cossonay eine gute Start-
möglichkeit bieten. Der OWTPV be-
dankt sich bei der UR und seinem Prä-
sidenten Martial Gumy für diese zu-
vorkommende Geste.
Visp Ahnenmusik am TV und
STV-Juniorenkonzert
Das Städtchen Visp würde sich aus-
serordentlich freuen, einer der Konzer-
torte beim kommenden STV-
Juniorencamp zu sein. Charly Sum-
mermatter ist zusammen mit Helfern
aus den Vereinen und dem Verband
bereit, den Jungmusikanten aus der
ganzen Schweiz eine prächtige Kon-
zertkulisse und am 2. August 2003 ei-
nen vollbesetzten Saal vorzubereiten.
Fernsehkameras in der Visper Altstadt
sind selten gesehen und wenn sie
noch speziell für die Trommler und
Pfeifer postiert sind, dann freut uns
dies natürlich. Die Tambouren und
Pfeifer von Visp in der schmucken Uni-
form des Walliser Regimentes "De
Courten" defilierten für die TV Sen-
dung "Fensterplatz", welche im Monat
Dezember im Schweizer Fernsehen
ausgestrahlt wird.
Törbel - Fännertag
Alle zwei Jahre soll im OWTPV nun ein
gemütlicher Bannertag durchgeführt
werden. Die Premiere in Stalden war
höchst gelungen, alsogleich eine
Bannerkommission gegründet und mit
Klaus Lochmatter ein Banner-Obmann
bestimmt. Der TPV Törbel wird der
nächste Gastgeber für die OWTPV-
Fähnriche sein.
Eggerberg - Präsidenten- und
Sektionsleiterkonferenz Alle Präsidenten und Sektionsleiter der
OWTPV-Vereine sind auf Freitag, den
13. Dezember 2002 zur Präsidenten-
und Sektionsleiterkonferenz ins Hotel-
Rest. Bergsonne nach Eggerberg ein-
geladen. Das kommende Verbands-
fest in Visperterminen vom 6./7. und 8.
Juni 2003 bildet dabei ein wichtiges
Geschäft.
Brigerbad - Veteranentagung Viele graue Haare, aber fröhliche Ge-
sichter gabs bei der Oberwalliser Ve-
teranentagung in Brigerbad. Präsident
Anton Noti hat seine in ehren ergraute
Truppe fest im Griff und die altgedien-
ten Ahnenmusikanten kamen in gros-
ser Zahl ins Bäderdorf. Hutter Josef
wurde als ältester anwesender speziell
mit einer Urkunde ausgezeichnet.
Gabriel Jossen geehrt
Seit es die Oberwalliser Veteranen-
vereinigung gibt amtete Gabriel Jos-
sen im Vorstand als kollegialer Aktuar
mit. An der Tagung in seinem Heimat-
dorf Brigerbad gab der verdiente Ve-
teran seinen Abschied. "Gabi" du
warst ein vorbildlicher Schaffer und
ein guter Kamerad und die Vetera-
nen hoffen, dich noch viele schöne
Stunden in ihrem Kreise zu haben.
Oberwallis Die Pfeifer-TK des OWTPV kann neu
Philipp Hosennen vom TPV Zermatt
willkommen heissen. Derzeit ist ein Sitz
in dieser Kommission noch vakant,
man hofft aber, die TK Pfeifer bis zum
nächsten Fest wieder komplett zu ha-
ben.
STV 23. Eidgenössisches Tambouren-, Pfeifer- und Claironfest 14
Siders 2002
Christine Rüegsegger - Foto Impressionen von Louis Salamin, Trommelgroep West-Nederland, Les tambours de 89
Das charmante Siders war, zum ersten Mal in seiner Geschichte, Wettspiel-, Begegnungs- und Festort für 3'000 Tambouren, Pfeifer und Claironisten, Fähnriche, Ehrendamen, Tafelträger sowie für tausende von Gästen und Zuschauern. Siders zeigte sich von seiner besten Seite. Das wunderschöne, heisse Früh-sommerwetter trug das Seine dazu bei und machte dem Übernamen der kleinen Stadt „am Fusse der funkeln-den Hügel“ alle Ehre.
Originelle Ideen begleiteten Teilneh-mer und Besucher während der 4 Ta-ge. So z. B. hatte die skurrile Show der Trans Express, zusammen mit den Mas-sen von Tambouren und Pfeifern beim traditionellen Nachtumzug auf der Avenue General-Guisan ganz schön eingeheizt und auf dem Festplatz ei-nen beeindruckenden akrobatischen Kampf dreier Musikwelten, mit verei-nigendem Happy End demonstriert. Wie Markus Estermann, STV-Zentral-präsident es voraussagte: „Das Feuer fürs Trommeln und Pfeifen wird wäh-rend vier Tage über Siders brennen.“ Das Feuer brannte lichterloh!
Siders ist klein aber deshalb keinesfalls weniger sympathisch. Spätestens beim Gässlen fiel auf, dass oft die sel-ben Cliquen und Gruppen vorbeimar-schierten. Sah man sie eine Zeitlang nicht mehr, so musste man anneh-men, dass sie sich in eines der netten Beizli oder Bars zu einem oder zwei, drei Glas Wyssä niedergelassen ha-ben müssen... Die Nächte waren, ab-gesehen vom immer kühlenden Walli-serwind, sehr angenehm und deshalb auch lang, sehr lang. Schade, dass sich die Unterkünfte ausserhalb be-fanden, so dass man aus dem nächt-lichen, für Tambouren- und Pfeifer-feste typisch friedlichen Ambiente re-gelrecht herausgerissen wurde.
Am Sonntag traf man sich wieder. Die einen oder anderen mit mehr oder weniger kleinen Augen, aber alle mit in Erinnerung bleibenden Erlebnissen, mit frisch geknüpften Kontakten und um spezielle Erfahrungen reicher.
Noch einmal haben sich alle fein herausgeputzt für den Festakt. Und für
den Liebling der Zuschauer, den Fest-umzug, wurde extra Verstärkung auf-geboten. Noch einmal „Ystooh, Vor-wärts, Marsch“, diesmal ohne Halt und Umweg. Direkt und gerade aus. Begleitet von den auf Umzugswagen dargestellten vier Jahreszeiten, mit den hübschen Damen, schreiten 109 Sektionen majestätisch die Avenue hinunter. Noch einmal der Schweiz, ja der Welt demonstrieren, wer wir sind, dass es uns gibt. In ganzer Pracht und Vielfältigkeit wie Frühling, Sommer, Herbst und Winter präsentieren wir unsere Trommel- und Pfeifermelodien. Fest entschlossen, das Feuer in uns weiter zu geben.
15 23ème Fête fédérale des tambours, fifres et clairons AST
Sierre 2002
Pour la première fois de son histoire, Sierre la charmante fut un lieu de fête, de concours et de rencontre pour 3000 tambours, fifres, clairons, porte-drapeaux, dames d’honneur, ainsi pour des milliers d’invités et de spectateurs.
Sierre s’est montrée sous ses meilleurs auspices. Le magnifique et chaud so-leil d’été a contribué au fait que cet-te petite ville au pied des collines étincelantes, a mérité sa réputation. Des idées originales ont accompagné participants et visiteurs durant ces 4 jours. Le show burlesque de la com-pagnie Trans Express par exemple, combiné avec la foule des tambours et fifres du traditionnel cortège de nuit sur l’avenue Général Guisan, a considérablement chauffé l’am-biance et créé sur la place de fête une impressionnante confrontation acrobatique de trois mondes musi-caux différents, réunis pour un Happy End. Comme l’avait annoncé préala-blement Markus Estermann, Président central de l’AST: « Le feu sacré des tambours et fifres embrasera Sierre quatre jours durant ». Ce feu a litté-ralement flambé! Sierre est petite et de ce fait d’autant plus sympathique. Ainsi, les mêmes cliques ou groupes ont passé et re-passé dans les ruelles jusque tard dans la nuit. Si l’on ne les voyait plus durant un certain temps, tout laissait à croire qu’ils s’étaient attardés dans une pe-tite auberge ou dans un bar pour un ou deux petits coups de blanc…
Les nuits, malgré le petit vent frais du Valais, se sont révélées très agréables, mais également longues, très longues. Dommage que les logements se situ-aient à l’extérieur, ce qui nous sortait quelque peu de cette ambiance nocturne typique qui caractérise ha-bituellement les fêtes de tambours et fifres.
On se retrouva les uns et les autres dimanche, avec plus ou moins de pe-tits yeux, mais tous avec le souvenir des événement vécus, des contacts fraîchement noués et enrichis d’expé-riences particulières. Une fois de plus, chacun s’était mis sur son 31 pour la cérémonie et cela d’autant plus pour le cortège, manifestation préférée des spectateurs. Une dernière fois : « En avant, mar-che! », mais cette fois, sans halte et sans détour, droit au but. Accompa-gnés des chars décorés sur le thème des quatre saisons et sur lesquels avaient pris place de bien charman-tes dames, les 109 sections ont défilé majestueusement le long de l’ave-nue. Une fois de plus, nous avons dé-montré à la Suisse, au monde, qui nous étions et que nous existions. Dans tout leur faste et leur diversité, tel le printemps, l’été l’automne et l’hiver, nous avons fait résonner les mélodies de nos tambours et de nos fifres. La fête a vécu, mais le feu brûle toujours.
AST Sierre 2002 16
Nouvelles expériences
Daniel Rollier
Après deux cours de jury successifs, les 4, 5 mai et 16 juin, les juges engagés à Sierre étaient prêts pour officier selon une nouvelle méthode de taxation que le temps ne nous a pas laissé vous présenter avant l’événement. Nous profitons de ici de palier à cette lacune : Tout d’abord, la décision de suppri-mer les déductions (impuretés, fautes, interruptions) a été prise. Cette déci-sion repose sur deux raisons importan-tes : - Ne plus forcer les juges à compta-
biliser les points négatifs de la tech-nique des exécutants mais de faire passer au premier plan la musicalité et l’interprétation.
- En observant la tabelle de taxation et ses critères, le risque de double taxation était élevé puisque ces mêmes « imperfections » sanction-nées de déduction entraient direc-tement dans les critères des men-tions des notes de pince/accord et rythme.
La tabelle de taxation n’a pas chan-gé, si ce n’est que les traditionnelles erreurs de partie et interruptions peu-vent faire l’objet d’une diminution des notes, selon l’appréciation du jury et la gravité de l’erreur. Cette tabelle est (ou va bientôt être) à disposition de chacun sur le site internet de l’AST (www.stv-ast.ch) sous «documents». Un second pas important a été fran-chi en libérant, si on peut dire, les ju-ges de leur retenue à utiliser la totalité de la plage des notes de la tabelle. En effet, l’argument trop souvent uti-lisé «...et si un autre fait mieux après? »
pour ne pas mettre la note maximale ne tient pas debout : si nous avons choisi de mettre cette note dans la tabelle c’est qu’elle peut être atteinte et pas uniquement par le dernier exécutant à se présenter (puisque qu’il n’y aura forcément pas mieux après) et de surcroît si la perfection n’existe pas (c’est aussi un argument que l’on entend) il n’existe pas de juge capable de la qualifier, donc lorsque les niveaux sont très hauts, deux exécutants peuvent présenter des différences sans qu’il n’y ait for-cément un « mieux » entre les deux.
Le revers de ce pas, c’est qu’en utili-sant l’entier de la tabelle, les notes du bas sont aussi utilisées sans trop de re-tenue, ce qui peut avoir engendré quelques surprises, nous en sommes conscients. Il faut cependant dire que l‘échelle des tabelles commencent volontairement à une note supérieure à l’habituel 1, synonyme du seul acte de présence, pour tenir compte de l’effet psychologique d’une note trop basse, et que dès lors, les notes les plus basses de ces tabelles, ne sont pas là pour signifier au(x) partici-pant(s) qu’il ne vaut rien et qu’il ferait mieux de changer d’instrument (bien
heureusement car ce n’est de loin pas le cas), mais que son potentiel de progression est encore élevé. Du reste, ce n’est qu’une question de ré-férentiel, hier les notes mises par le jury se comprenaient ipso facto entre 1.5 points au dessus du minimum et 0.2 point avant le maximum, et au-jourd’hui le chef de la commission a transgressé la règle et le référentiel est devenu l’entier de la tabelle. L’expérience de Sierre est positive sur ce plan et une légère inversion de tendance se fait sentir au niveau du poids de l’interprétation sur le classe-ment. Ainsi les notes techniques se mettent un peu en retrait, et il ne suffit plus d’être impressionnant de techni-que pour gagner mais la musicalité, le cœur et les sentiments, en quelques sortes les « tripes », ont pris leur juste valeur. Il n’est pas rare de voir que la note d’interprétation a elle seule fait la différence dans les classements. L’évolution de la méthode de juge-ment n’est bien sûr pas terminée et l’étape suivante sera de documenter correctement les notes par des re-marques, ce qui a fait cruellement défaut à Sierre, non pas par l’absence de remarque de la part des juges, mais parce que le moyen de les transmettre aux concurrents n’était pas prêt. Pour terminer ce chapitre, nous aime-rions féliciter tous les participants et remercier tous les organisateurs de la fête pour le magnifique travail ac-compli.
2002
17 Siders 2002 STV
Wir hatten, für den 4. und 5. Mai und 16. Juni 02 zwei Jurykurse organisiert, wodurch die in Sierre zum Einsatz ge-langenden Jurymitglieder in die neuen Taxationsmethoden eingeführt und instruiert wurden. Folgende Änderungen wurden einge-richtet: Zunächst haben wir entschieden, die Abzüge (für Unreinheiten, Fehler, Un-terbrechungen) abzuschaffen. Dieser Entscheid beruht auf zwei wichtigen Begründungen: - Die Juroren sollen nicht mehr ge-
zwungen sein, die Negativpunkte in der Technik des Vortragenden zu erfassen, sondern in erster Linie die Musikalität und Interpretation be-urteilen.
- Bei Beachtung der Taxationstabelle und ihrer Kriterien bestand ein grosses Risiko, dass die gleichen "Mängel" einerseits durch Abzug und andererseits durch tiefere No-ten aufgrund der Kriterien "An-satz/Stimmung" und "Rhythmus" doppelt bestraft würden.
Die Taxationstabelle hat sich nicht verändert, ausser dass der bisher be-kannte Begriff der Fehler in Wieder-holungen oder Unterbrechungen eine Verschlechterung der Noten nach dem Ermessen des Juroren und des Gewichtes des Fehlers zur Folge ha-ben können. Diese Tabelle steht jeder-mann auf der Internetseite des STV (www.stv-ast.ch) unter "Dokumente" zur Verfügung.
Ein zweiter wichtiger Schritt ist ge-macht worden, mit dem die Juroren nunmehr von ihrer Zurückhaltung "be-freit" worden sind, die ganze Spann-weite der Noten in der Tabelle auszu-nutzen. Tatsächlich wurde häufig das Argument verwendet "...und wenn danach einer noch besser ist?", um keine Höchstnoten zu verteilen. Dieses Argument hält nicht stand: wenn es eine Höchstnote in der Tabelle gibt, so bedeutet dies, dass sie auch von je-dem, und nicht nur vom letzten Vor-tragenden (weil nach ihm kein Bes-serer mehr kommen kann) erreicht werden kann. Wenn die Perfektion nicht existiert (auch ein viel gehörtes Argument), dann steht ebenfalls fest, dass es auch keinen Juroren gibt, der sie beurteilen kann. Demzufolge muss gelten, dass bei Höchstniveau zwei Vorträge durchaus gewisse Unter-schiede aufweisen können, ohne dass, gezwungenermassen einer "bes-ser" als der Andere ist. Der Nachteil dieses Schrittes ist, dass bei Benützung der ganzen Taxations-tabelle die unteren Noten ebenso ohne Zurückhaltung verteilt werden, was einige Überraschungen nach sich ziehen kann. Dessen sind wir uns be-wusst. Allerdings muss man sich dar-über im Klaren sein, dass die Skala der Tabelle bewusst bei einer Note weit über der üblichen Eins (Benotung der blossen Anwesenheit) anfängt, um den negativen psychologischen Effekt einer zu schlechten Note zu umge-hen.
Demzufolge sollen die tieferen Noten der Tabelle den oder die Vortragen-den auch nicht darauf hinweisen, ihr Vortrag sei nichts wert und sie sollten besser das Instrument wechseln, was glücklicherweise bei Weitem nicht der Fall ist, sondern dass sein Lern- und Fortschrittspotential noch gross ist. Dies ist also lediglich eine Frage des Verhältnisses. Früher wurden Noten zwischen 1,5 Punkten über dem Mini-mum und 0,2 Punkten unter dem Maximum verteilt, während heute das selbe Verhältnis bei Ausschöpfung der Gesamtheit der Tabelle erreicht wird. Die Erfahrung in Sierre ist unter diesem Gesichtspunkt durchwegs positiv ge-wesen und es hat sich eine leichte Umkehr in der Tendenz feststellen las-sen, wonach das Gewicht der Inter-pretation etwas grösser geworden ist. Demzufolge sind die technischen No-ten etwas in den Hintergrund getreten und es reicht die reine, eindrucksvolle Technik nicht mehr zum Gewinn. Mu-sikalität, Herz und Gefühl, also gewis-sermassen "der Bauch", sind massgeb-lichere Werte. Man stellt daher nicht selten fest, dass die Interpretations-note alleine den Unterschied in den Klassierungen bewirkt hat. Die Entwicklung dieser Beurteilungs-methode ist selbstverständlich nicht beendet, und die nächste Etappe hat zum Ziel, die gegebenen Noten durch entsprechende Bemerkungen ord-nungsgemäss zu begründen, was in Si-ders sehr bedauerlicherweise empfin-dlich mangelte. Dies ist nicht auf das Fehlen von Bemerkungen seitens der Juroren zurückzuführen, sondern dar-auf, dass die Mittel der Übertragung auf die Noten- bzw. Klassierungs-blätter noch nicht bereit standen.
Zum Schluss sind alle Teilnehmer am Fest herzlich zu beglückwünschen und den Organisatoren für deren hervor-ragende Arbeit zu danken.
STV Siders 2002 18
Aus der Sicht der Wettspielkontrolleure
Le point de vue des contrôleurs
Philipp Herzog
Der Präsident des STV, Markus Ester-mann, als oberster Chef und Prob-lemlöser verlangte seinerzeit, dass am 23. Eidg. Fest die Tambouren, Pfeifer und Clairon-Bläser nach ihrer Vereins-zugehörigkeit zu kontrollieren seien. 7 Männer und 1 Dame der Veteranen-Vereinigung, welche eine einmalig grosse Zuneigung zum Wallis haben, stellten sich für das äusserst verant-wortungsvolle Amt zur Verfügung. Zwi-schen Vorahnung und tatkräftigem Optimismus sagten wir auf der Hin-fahrt nach Sierre " Das schaffen wir schon", denn immerhin waren keine Doping-Kontrollen vorgesehen, das hatte man uns für das grandiose Fest-spektakel erspart. Beim STV gibt es nämlich nur seriöse Musikanten. Unser geselliger Herr und Tätschmeister der VV, René Walz, stellte das Arbeits-programm auf. Er appellierte an un-sere Toleranz. An 3 verschiedenen Orten wurden wir eingesetzt. Vor dem Einzelwettspiel verlangten wir jeweils den Tambou-ren-Pass und erkundigten uns nach der Vereinszugehörigkeit. Dank des angehefteten Abzeichens auf der Brust wirkten wir als Respekts Personen. Weil diese Fragereien kurz vor dem persönlichen Wettspiel erfolgten, konnten wir eine leicht geistige Bean-spruchung für den Spieler bemerken.
Mit einem freundlichen Lächeln wünschten wir den Prüflingen viel Glück vor der unbestechlichen Jury. Bei einer hübschen und doch nervö-sen "Piccoloteuse" mussten wir für die quälenden Fragen 100 % Diplomatie anwenden. Hm, als langjährig ver-heiratete haben wir diesbezüglich schliesslich Erfahrung und wandten bei reizbaren Damen eine soge-nannte Seelenmassage an. Viele Schönheiten vergassen vor dem Wett-spiel ihr Strahlen. Bei den Sektionen war etwas mehr Arbeit zu leisten. Jeder Mitglieder pass (bis zu 26) musste angeguckt und überprüft werden. Hatte eine Sektion die Ausweise nicht dabei, musste jene dies begründen. Wie bei Parksündern glänzten einige Schuldige mit den besten Ausreden. Es war für uns eine gefällige Höflichkeitsbegrenzung ge-genüber den Vergesslichen, dass wir diese beinahe glaubten. Wir Spezialis-ten für Problemlösungen verzichteten auf die gelbe oder gar rote Karte, aber meldeten dies gleichwohl ord-nungsgemäss dem weisen Rat des STV. Dank grosszügiger Zeitplanung konnten wir das Amt des Kontrolleurs gut erfüllen und es blieb auch ein biss-chen Zeit für einen Schwatz mit den WettspielerInnen. Wir glauben, alle (die Festorganisa-toren und Wettspieler) waren mit un-serer Arbeit zufrieden. Bei dieser Ge-legenheit möchten wir auch unserem Louis Salamin herzlich gratulieren für seine tadellose Organisation.
Le président de l’AST, Markus Ester-mann, accessoirement «responsable de la résolution des problèmes ordi-naires et extraordinaires», avait de-mandé que lors de la 23e Fête fédé-rale, vérification soit faite de l’appar-tenance des membres à une société, avant le déroulement des concours. Huit membres de l’Union des vétérans (dont une dame) affichant un atta-chement sans faille au canton du Va-lais, ont bien voulu assumer cette tâ-che ardue. Sur la route qui nous menait à Sierre, nous sommes passés d’une sourde appréhension à un sain optimisme, en nous nous répétant sans cesse „ça se passera bien, ça se passera bien….“. Par chance, les contrôles anti-do-page nous ont été épargnés durant cette fête mémorable. D’ailleurs, l’AST ne compte que des musiciens sérieux. Après avoir établi le programme de travail, le ‘défenseur des opprimés’ de l’UV, René Walz, en a encore ap-pelé à notre indulgence. Nous avons été engagés en trois en-droits. Lors des concours individuels, nous devions demander, avant cha-que prestation, à voir le passeport tambour (livret de sociétaire) du par-ticipant et nous renseigner sur le nom de sa société. L’insigne épinglé à no-tre veston inspirait à tous un profond respect et le fait de ‘soumettre à la question’ les concurrents à un instant pour eux crucial n’était pas fait pour les tranquilliser. C’est pourquoi, nous n’avons omis ni de leur offrir un large sourire ni de leur souhaiter bonne chance.
19 Sierre 2002 AST
Face à une « piccoloteuse » aussi ner-veuse que charmante, nous avons même employé des trésors de diplo-matie. Parfois, quelques beautés semblaient perdre de leur éclat au moment de passer devant les ‘juges’, c’est alors que la longue expérience conjugale des Vétérans entrait en jeu: leur prodiguant un ‘massage mental’ réconfortant, ceux-ci s’efforçaient ainsi d’apaiser les esprits anxieux. Les sections nous ont occasionné un peu plus de travail car il fallait vérifier tous les livrets (jusqu’à 31 par section). Lorsqu’ils manquaient, la section de-vait nous fournir des explications cir-constanciées. Les ‘coupables’ avaient, bien sûr, de très bonnes rai-sons que la politesse d’usage re-commandait d’accepter, si bien qu’en tant qu’autorité responsable, nous avons renoncé à toute distribu-
tion de carton jaune ou rouge et nous sommes contentés de signaler ‘les cas’ au Comité, toujours bienveillant, de l’AST. La planification généreuse des ho-raires nous a permis de bien remplir notre office de contrôleurs et même de bavarder un peu avec les concur-rents.
Nous pensons avoir accompli notre travail à la satisfaction générale (or-ganisateurs et participants). A cette occasion, nous ne manquons pas ici de remercier et féliciter chaleureuse-ment notre président du CO, Louis Sa-lamin, pour l’organisation, plus que parfaite, de cette manifestation.
STV Siders 2002 20
Neue Erfahrungen
Viktor Müller
Wettspielprogramm
Teilnahmebedingungen und Organi-
sation des Wettspieles in Sierre richte-
ten sich nach dem Festreglement des
Schweizerischen Tambourenverban-
des von 1988. Zusätzlich zum beste-
henden Festreglement waren eine
Reihe von Einzelbeschlüssen nötig
geworden, um ein modernes Wett-
spiel in aktueller Form durchzuführen.
Ein Anliegen der TK STV muss deshalb
sein, auf die nächste Delegiertenver-
sammlung hin das Festreglement den
aktuellen Gegebenheiten und Erfor-
dernissen anzupassen und zur Be-
schlussfassung vorzulegen.
Gemäss DV-Beschluss gelangte in die-
sem Jahr im Rahmen eines "Eidgenös-
sischen" zum ersten Mal die neue Ka-
tegorie "Tambouren-Percussion" zur
Durchführung. Die in den vergange-
nen Jahren erarbeiteten Ausfüh-
rungsbestimmungen, Bewertungs-
grundlagen sowie eine über zwei Jah-
re aufgebaute Jury bestehend aus
Tambourenjuroren und "Professionals"
haben sich bestens bewährt und - zu-
sammen mit ausgezeichneten Leis-
tungen der performierenden Gruppen
- zu einem ausgesprochen erfolgrei-
chen Start der neuen Wettspieldisziplin
geführt.
Die verschärften Wettspielanforderun-
gen wurden von den Konkurrenten
gesamthaft betrachtet gut gemeistert
und sind auf allgemeine Akzeptanz
der Wettspieler gestossen. Dabei ist
nach wie vor die Tendenz hin zur Elite-
kategorie T1 augenfällig, die mit 210
Anmeldungen (Solothurn 184; Gossau
134) den obern Anschlag der Mög-
lichkeit zur Durchführung in zwei Vor-
ausscheidungsgruppen erreicht hat.
Erfreuliches Wachstum
Mit der Zunahme an Einzelwettspielern
von 743 auf 808 KonkurrentInnenen (+
9 %), der Natwärischgruppen von 42
auf 51 (+ 21 %) und der Sektionen von
120 auf 158 (+ 32 %) sind einzelne
Wettspielkategorien am Limit für eine
Durchführung der Schweizermeister-
schaft an nur einem Wochenende an-
gelangt. Das Ueberdenken der Anzahl
Wettspielplätze in einzelnen Katego-
rien oder des Gesamtkonzepts ist an-
gezeigt.
Jury und Bewertung
Das Eidgenössische leidet von der An-
lage her darunter, dass sich zahlreiche
Jurymitglieder nicht zur Verfügung ste-
len, weil sie das Schweizerische mit ih-
rem Verein gemeinsam erleben wol-
len, resp. ihren Verein durch die Wett-
spiele hindurch leiten. Ersatzleistende
Regionalverbände stehen dem STV
keine zur Verfügung. Längerfristig ist
deshalb eine sich an der Wettspielteil-
nehmerzahl orientierende anteilmäs-
sige Verpflichtung von Vereinen und
Regionalverbänden in der Jury erneut
zu diskutieren. Positiv ist in diesem Sinn
zu werten, dass seit dem Wettspiel in
allen Regionalverbänden neue Juro-
ren ausgebildet und diplomiert wur-
den.
Die Jury in Sierre wurde nach folgen-
den Kriterien zusammengestellt: Jähr-
liche Fortbildung an Jurykursen (Quali-
fikation), Anzahl jährlicher Einsätze als
Juroren (Erfahrung/Kontinuität), Zuge-
hörigkeit zu einer Technischen-, Klas-
sierungs- oder Ausbildungskommission
(Kompetenz), Regionalverbandszuge-
hörigkeit (Ausgewogenheit der Kul-
turräume) sowie zeitliche Verfügbar-
keit der Jurymitglieder.
Die wettspielspezifische Juryvorberei-
tung erfolgte anlässlich eines 2-tägi-
gen Jurykurses am 4./5. Mai 02 in Ba-
sel. Inhaltlich wurden die Juroren in
verschiedenen Leistungsgruppen und
Ateliers in folgenden Bereichen wei-
tergebildet: Referat "Dynamikbegriff",
Abgrenzung "Technik Dynamik Rhyth-
mik" zueinander, Durcharbeiten neuer
Kompositionen (wo möglich mit Kom-
ponisten), Routinebildung, Vorträge
bewerten (Live-Vorträge in Kategorien
des Juryeinsatzes am Wettspiel), Ent-
wicklung/Diskussion/Arbeit mit neuer
Taxationstabelle, Informationen zum
Wettspiel, Ateliers: "Tambouren + Per-
cussion", "Grundlagen jurieren", "ge-
mischte Wettspiele".
Evaluation
Das Wettspiel ist auf mehreren Ebe-
nen reflektiert und evaluiert worden:
Schriftliche Erhebung bei allen Juroren
an allen Wettspielplätzen (Abgege-
ben: 43, Rücklauf: 36), Evaluation in
den musikalischen Kommissionen des
STV, Nachbesprechung im Zentralvor-
stand. Ein ausführlicher Jurybericht
dazu ist allen teilnehmenden Vereinen
zugestellt worden und kann bei der TK
STV bezogen oder auf der Website
www.stv-ast.ch eingesehen werden.
21 Sierre 2002 AST
Nouvelles expériences
Programme du concours Les conditions de participation et l’organisation du concours s’orientent sur le règlement de fête de l’AST de 1988. Outre celui-ci, toute une série de dispositions ont encore été néces-saires pour organiser un concours mo-derne dans sa forme actuelle. C’est pourquoi la CT AST doit se fixer comme objectif pour la prochaine as-semblée des délégués l’adaptation du règlement de fête aux conditions et exigences actuelles et sa présenta-tion pour approbation. Conformément à la décision de l’AD, la nouvelle catégorie « tambours et percussions » intervenait cette année pour la première fois dans le cadre d’un concours fédéral. Les conditions de participation et principes de nota-tion mis sur pied, ainsi que le jury con-stitué sur deux ans et composé de membres du jury tambours et de « professionnels » ont fait leurs preuves et assuré un départ prometteur à la nouvelle discipline, grâce aussi à des groupes très performants. Les concurrents ont, dans l’ensemble, bien accepté et maîtrisé les condi-tions de participation plus sévères. La tendance continue d’aller vers la ca-tégorie d’élite T1, laquelle a atteint, avec 210 inscriptions (Soleure 184 ; Gossau 134), le seuil supérieur de pos-sibilité d’exécution en deux groupes éliminatoires.
Participation réjouissante Avec l’augmentation du nombre de concurrents individuels, qui passent de 743 à 808 (+9%), des groupes de Natwärrisch, qui passent de 42 à 51 (+21%) et des concours de section, qui passent de 120 à 158 (+32%), cer-taines catégories de concours sont parvenues à la limite d’organisation d’un championnat suisse sur un week-end (du jeudi au dimanche). Il y au-rait lieu maintenant de réétudier le nombre de places de concours dans certaines catégories ou de remanier l’ensemble du concept.
Jury et évaluations Le concours fédéral souffre du fait que de nombreux jurés ne peuvent pas se mettre à disposition pour un concours au niveau suisse parce qu’ils veulent y participer avec leur société ou conduire celle-ci dans les con-cours. L’AST ne peut faire appel à aucune association régionale pou-vant fournir des remplaçants. A plus long terme, une participation obliga-toire des sociétés et fédérations au jury, proportionnelle au nombre de leurs participants, devrait être rediscu-tée. A cet égard, il est réjouissant de constater que depuis le dernier con-cours, de nouveaux jurés ont été diplômés ou formés dans toutes les as-sociations régionales. La sélection du jury de Sierre a été opérée sur la base des critères sui-vants: formation annuelle dans les cours de jury (qualification), nombre
de journées de fonctionnement pen-dant l’année en tant que juré (expé-rience et continuité), appartenance à une commission technique, de classi-fication ou de formation (compéten-ce), appartenance à une association régionale (équilibre des espaces cul-turels) et disponibilités. Un cours de deux jours a été organisé les 4 et 5 mai 02 à Bâle afin d’assurer la préparation du jury au concours fédéral. Différents groupes de travail et ateliers avaient été formés à cette occasion: exposé sur la « notion de dynamique », rapport entre techni-que-dynamique-rythmique, étude de nouvelles compositions (si possible avec les compositeurs eux-mêmes), formation pratique, notation des in-terprétations (formation en ‘live’ dans la catégorie correspondante du juré), évolution et discussion/travail autour du nouveau tableau de taxation, in-formations sur la manifestation; ate-liers: « tambours+percussions », « bases du métier », « concours mixtes ».
Appréciation Le concours a été évalué à plusieurs niveaux: sondage écrit remis à tous les jurés (43 adressés, 36 retournés) ; évaluation aux sein des commissions musicales de l’AST; discussions au CC. Un rapport complet du jury a été adressé à toutes les sociétés partici-pantes; il est également possible de l’obtenir auprès de la CT AST ou de le consulter sur le site web de l’AST.
STV-AST Agenda 22
Die Tambouren- und Pfeiferszene Schweiz!
La matière de tambours et fifres en Suisse!
2002
Solothurn 7.12. TV Solothurn: Jungtambouren Grand Prix
Genève 12.-15.12. L’Escalade
2003
Basel 13.-15.2. S’Offizielle Brysdrummlen und –Pfyffe
Köniz 25.-26.1. Trommelfestival Köniz
Visperterminen 9.3. OWTPV Delegiertenversammlung
Basel 10.-12.3 Basler Fasnacht
Wildhaus 22.3. OTV Delegiertenversammlung
Laupersdorf-Thal 22.3. ZTPV Delegiertenversammlung
Kirchberg 29.3. Tromerama
Zürich 25.4. Zürcher Trummlebummle
Stalden 25.-27.4. Jubiläum 100 Jahre TPV Stalden
Uzwil 17.-18.5. OTV Jugendwettspiel
Eisten 17.-18.5. Jubiläum 75 Jahre TPV Eisten
Vétroz 30.5.-1.6. Unterwalliser Fest
Visperterminen 6.-8.6. OWTPV Fest 100 Jahre TPV Visperterminen
Cossonay 4.-6.7 URSTFC Fête romande des tambours, fifres et clairons
2003
Gluringen 25.7.-3.8. STV/AST Juniorencamp / Camp des juniors
Berner Oberland 09.08. TV Frutigland NO LIMITS
Raron/St. Germann 14.9. OWTPV Veteranentagung
Ittigen bei Bern 27.-28.9. ZTPV Jungtambouren- und Pfeiferfest
Wilhaus 12.-19.10.03 OTV Jugendlager
Kloten 15.11. 19. Dreier-Gruppenmeisterschaften
Et en France:
Saint-Brieuc 4.-6.7. 2ème Festival du Tambour info: www.tambours89.com
2004
Basel 1.-3.3. Basler Fasnacht
Zürich 16.4. Trummlebummle
Langenthal 25.-27.6. ZTPV Fest
Freiburg 20.11. STV Delegiertenversammlung
Sektionen erhalten unter dieser Rubrik Gelegenheit, auf ihre Veranstaltung hinzu-weisen. Einzige Bedingung: das Trommeln und Pfeifen muss im Vordergrund stehen. Mitteilungen bitte an die Redaktion.
Sous cette rubrique, les sections ont la possibilité d’informer quant à leurs manife-stations. Seule condition: Celles-ci doivent concerner à la base le tambour et le fifre. Communication à la rédaction.
www.agner-sticks.com
23 Cossonay 2003 URSTFC
Le thème du tambour, fifre et clairons ainsi que le thème médiéval au 4, 5 et 6 juillet 2003 Martial Gumy / Übersetzung Hansjörg Roth, Basel
Les 4, 5 et 6 juillet 2003, l’Union Ro-mande prendra ses quartiers à Cos-sonay le temps d’un long week-end pour la 17e fête romande des tam-bours, fifres et clairons. La société des fifres et tambours ‘’Diabolo’’ de Cos-sonay, forte de ses 25 membres, et un comité d’organisation aussi solide qu’expérimenté s’apprêtent à re-cevoir la cohorte de l’Union Romande dans un lieu mythique de notre com-mune, s’il en est, afin de réaliser une fête comme jamais il ne s ’est fait dans les concours précédents, ni à Cossonay.
C’est sur le thème du tambour, du fi-fre et du clairon bien sûr, mais aussi sur le thème médiéval que va se dérouler le fil conducteur de notre manifesta-tion. Pendant l’espace de quelques jours, la Vieille Ville de Cossonay va se métamorphoser en un lieu mythique et pittoresque. Ceci ne va pas se faire sans un gros travail de décoration nécessitant la conservation du cadre existant en y implantant des infras-tructures provisoires pouvant tous vous y accueillir.
En parallèle et si la météo nous le permet, les logements ne seront pas réalisés par l’intermédiaire d’abris PC, mais un ‘’village gaulois’’ sera entiè-rement réalisé avec des tentes sur la place du Pré-aux-Moines de manière, d’une part à loger tous les partici-pants sur le site des festivités et d’autres part, de poursuivre dans le thème que nous voulons mettre en place. Nous avons aussi la chance de béné-ficier d’une école et de nombreux lo
caux avoisinant nous permettant de pouvoir choisir au mieux les salles de concours et les infrastructures néces-saires à leurs bons déroulement. Un tel programme est gargantues-que, mais le défi en lui-même a su générer l’engouement général du comité d ’organisation, de la société de tambours et fifres Diabolo, de la municipalité, et prochainement, nous l’espérons, votre engouement, car tout sera mis en œuvre pour faire de cette fête, non seulement, celle des tambours, fifres et clairons, mais de toute une région, d’un canton, de la Suisse romande et pourquoi pas de la Suisse toute entière.
Cossonay 2003
Am 4., 5. und 6. Juli 2003 wird sich die Union Romande in Cossonay während eines langen Weekends zum 17. Tam-bouren-, Pfeifer- und Claironfest ein-finden. Der Tambouren- und Pfeifer-verein "Diabolo" von Cossonay mit seinen 25 Mitgliedern und das erfah-rene Organisationskomitee möchten die Schar der Union Romande an ei-nem mythischen Ort in unserer Ge-meinde zu einem Fest empfangen, wie es weder bei den bisherigen Wettspielen noch in Cossonay selbst eines gegeben hat.
Selbstverständlich werden die Trom-meln, Pfeifen und Clairons im Mittel-punkt unserer Veranstaltung stehen, aber ebenso das Mittelalter an sich. Für die Dauer von einigen Tagen wird sich die Altstadt von Cossonay in
einen mythischen, pittoresken Ort ver-wandeln. Dies wird sich allerdings nicht ohne ei-nen grossen Arbeitseinsatz machen lassen, denn der Ort als solcher muss nicht nur festlich geschmückt, son-dern auch mit der zusätzlich notwen-digen Infrastruktur ausgestattet wer-den, damit wir Sie alle willkom-men heissen können. Gleichzeitig, und falls die Wetterver-hältnisse es erlauben, werden wir die Unterkünfte nicht in Zivilschutzräumen einrichten, sondern auf der Place du Pré-aux-Moines ein vollständiges "galli-sches Dorf" mit Zelten aufstellen, so dass einerseits alle Teilnehmer auf dem Festgelände untergebracht wer-den und andererseits wir unserem Thema, das wir verwirklichen möch-ten, treu bleiben können.
Ausserdem haben wir das Glück, ein Schulhaus sowie zahlreiche benach-barte Räumlichkeiten zur Verfügung zu haben, die für die Durchführung der Wettspiele wie auch für die dafür benötigte Infrastruktur bestens geeig-net sind. Ein solches Vorhaben ist immens. Aber diese Herausforderung hat die allge-meine Begeisterung des OK, des Tam-bouren- und Pfeifervereins Diabolo und der Stadtverwaltung zu wecken vermocht - und möchte, so hoffen wir, als Nächstes nun auch Sie begeistern! Denn wir möchten alles daranset-zen, dass es nicht nur ein Fest der Trommler, Pfeifer und Claironisten wird, sondern eines der ganzen Re-gion, des Kantons, der welschen und, warum nicht, der ganzen Schweiz!
STV International 24
Grandiose Highlights mit Pipes and Drums
aus dem In- und Ausland
Christine Rüegsegger
--- „In der ersten September Woche stand halb Basel unter schottischer Flagge. Zuerst ein Eröffnungskonzert in der Martins-kirche, dann am Donnerstag der „Salute to Scotland“. Schätzungsweise eintausend-vierhundert Pfeifer und Tambouren ver-sammelten sich auf dem Münsterplatz um die Schotten-Bands in Basel zu begrüssen! Ein Defilée via Freiestrasse Richtung Markt-platz folgte und von der Eisengasse her kamen die Schotten. Als Schlussbouquet gab’s von allen Pfeifern und Tambouren gemeinsam den Whisky Soda, phäno-menal. Am Freitag folgte der Gala-Abend im Fest-zelt auf dem Münsterplatz und am Sams-tag die tolle Parade vom Münsterplatz zum Marktplatz mit allen Pipebands aus Schottland, Deutschland, Basel, Zürich, Lausanne, Luzern etc. und vielen weiteren Formationen wie Top Secret, UFS, Polizei- und Militärmusiken etc. Auch d’Schotte-Clique war im Einsatz und zwar nicht nur an der Parade sondern auch auf dem Münsterplatz mit ihrem Schotten-Schloss, wo sie die Besucher be-wirteten.“
S’Dudelsäggli vo de Sporepeter ---
Am Samstag Nachmittag läuft eigent-
lich alles normal, die Geschäfte, der
Markt, die Trämli. Nur dann und wann
begegnet man Menschen mit Instru-
menten, welche in ihren besonderen
Uniformen in kariertem Stoff, doch
auffallen und die Leute ihnen nach-
schauen. Manche fragen achselzu-
ckend, was denn hier los sei. Eine
Menge! Was eigentlich müssen Orga-
nisatoren von Veranstaltungen unter-
nehmen, damit die Bevölkerung
genügend orientiert ist?
Auf dem Münsterplatz formieren sich
die Tambouren und Bläser und es wird
eingedudelt, aufgepumpt, Riemen
gespannt, Kostüme zurecht gerückt.
Genau auf den vorgesehenen Zeit-
punkt des Umzugbeginns reisst die
Wolkendecke auf und die Schar von
Bands können sich in ihren bunt leuch-
tenden Gewändern ins rechte (Son-
nen)Licht setzen, eine Präsentation
auch fürs Auge.
In der „Freien“ bildet sich bereits eine
Stunde vor Marschbeginn ein Men-
schenzaun beidseits der Strasse. Es
herrscht ruhiges und diszipliniertes
aber angenehm gespanntes Abwar-
ten unter den Zuschauern; „Mor-
gestraichler“ kennen dieses Ambi-
ente. Die Freie wirkt von oben herab
wie eine farbige Riesenschlange. Vom
Münsterplatz her, weit weit weg sind
ein paar dumpfe Paukenschläge zu
hören. Nein, es ist ein beim Bankverein
vorbeifahrendes Trämli, das da hol-
pert... Geduld, Geduld. Nun sind es
nur noch 2 Uniformierte, welche auf
sich aufmerksam machen und die
Menschenmenge zum Schmunzeln
bringt. Mit Blick auf die Uhr drängeln
sie eilig in Richtung Münsterplatz...
Endlich, mit Verspätung schreitet die
Swiss Pipes and Drums of Basle in ge-
mächlichem Tempo vorbei, der Tam-
bour Major wirbelt seinen Stock hoch
hinaus und die wunderschön dunkel
tönenden Paukenschläge treffen tief
drinnen fast die Seele.
Es folgen die verschiedenen Bands,
insgesamt deren 27. Eine undiskutabel
gute musikalische Mischung wird den
Zuschauern geboten. In erster Linie
natürlich schottische Folklore, dann
amerikanische mit den Swiss Colonials
und Grainfield Fife and Drum Corps,
Tambourenpower von Top Secret und
Rhyburg-Möhlin, d’Pfyffer-Idylle, Fas-
nachtsklänge von UFS und Guggen-
musik vom Feinsten durch die Schotte-
Clique sowie Bläserharmonie der Poli-
zeimusik Basel , des Armeespiels und
der Knabenmusik Basel, deren Tam-
bouren „s’Brösmeli“ russen.
Auch innerhalb der einzelnen Bands
werden die Stilrichtungen vermischt.
So kann man den Arabi auf amerika-
nisch erleben, was den Grainfields zu-
sätzlichen Applaus und Bravo-Rufe
beschert. Andere geben „Muss i denn
zum Städtele hinaus“ auf schottisch,
oder „Amazing Grace“ nach Basler
Art zum Besten. Musik verbindet, inter-
national!
Am Sonntag treffen sich alle Swiss
Pipe Bands auf dem Münsterplatz zu
einem Massed Band Konzert und zum
offiziellen Teil, das Zelt entsprechend
voll. Es ist unerwartet schön und heiss.
Vermutlich deshalb lässt sich nachher
der eine oder andere freie Platz im
Festzelt ergattern. In seiner abschlies-
senden Rede verspricht OK Präsident
Gilbert Widmer, das Festival auf jeden
Fall wieder in Basel durchzuführen,
wann sei noch nicht klar, aber be-
stimmt so bald wie möglich.
Ab halb Zwei geben verschiedene
Bands spontane Konzerte nach Pro-
grammansage. Bei freiem Eintritt kann
den traditionellen schottischen Lie-
dern, Tänzen und Balladen noch
einmal gelauscht werden. Ein sage
und schreibe fünf minütiges Piper-Solo
riss die Zuschauer vom Hocker, bzw.
von der Bank und sie verlangten mit
25 International STV
tosendem Applaus eine Zugabe. So
rührt die Traditional Pipe Band of Lau-
sanne mit „Amazing Grace“ und „My
Heart will go on“ in den Herzen der
Frauen (und Männer?) bevor sie sich
verabschiedet.
Gegen 15.00 wird Top Secret erwartet.
In der Zwischenzeit weiss jedes Tromm-
lerkind, dass diese Tambourengruppe
aus Basel im 2003 am Mitlitary Tattoo
in Edinburgh teilnehmen wird. Seit 53
Jahren seien keine Schweizer mehr,
ehrenamtlich wohlverstanden, dort
aufgetreten. Besser noch als ein grü-
nes Trämli nach Berlin zu schaffen,
würde dieser Auftritt Werbung für Ba-
sel, für die Schweiz machen. Und auf
diese Weise werden die mehreren Mil-
lionen BesucherInnen sicherlich auch
etwas über das Schweizerische Trom-
meln erfahren. Einige Mitglieder der
Veteranenvereinigung werden sich
unter die Besucher mischen. Tambour
Major hat darüber berichtet – Ausga-
be 1 / 02.
Und da hört man sie, die Perfek-
tionisten, mit Paukendonner den
Münsterberg hinauf kommen. Kaum
auf der Bühne eingestanden, stehen
sie nie mehr still. Wohl kein Schlag,
ohne dass sich nicht irgend etwas
bewegt. Dauernd sind Köpfe, Hände,
Füsse oder auch der ganze Körper im
Einsatz. Und dann legen sie mehr und
mehr an Tempo zu, so dass Auge und
Ohr kaum mehr folgen können. Natür-
lich schlägt man mit den Schlegeln
des öfteren auf den Rand, unter die
Trommel, mit dem Schlegelende, auf
des Nachbarn Fell oder man wirft die
Schlegel durch die Lüfte. Schlegel-
fechten oder, wie es einer der begeis-
terten Gäste nennt, Schlegelballett.
Natürlich darf der berühmt berüch-
tigte, Musketiere nachahmende
Kampf nicht fehlen.
Basel und der ZTPV - und mit ihnen die
Schweiz und der STV - dürfen ruhig
stolz sein, stammen doch einige,
wenn auch nicht alle Top Secret Mit-
glieder aus der „ZTPV-Tambourenfa-
milie“, welche ihnen den Grundstein,
bzw. die Grundlagen, zur Trommler-
Elite gelegt hat.
Mit den Tambouren verschwinden
auch die Top Secret-Fans welche ins
Zelt stürmten, nur um „ihren“ Auftritt zu
sehen, und es wird wieder etwas ruhi-
ger.
Es folgen die Auftrtitte der jüngsten
Band aus Basel, den Dalhousi Pipe-
band, deren 3 Drums von 3 Damen
gespielt werden, der Dance Compa-
ny Basel, welche lüpfig fröhliche und
tempowechselnde Tänze darbieten.
Und zum Schluss spielt The City of Ba-
sel Caledonien rassige Folklore und
deren Tambouren ein Solo, bei wel-
chem das Schlegelfechten ebenfalls
nicht fehlt. Ob sie wohl aus den Rei-
hen Top Secret kommen?
Ein Anlass der besonderen Art ist vor-
bei. Und man freut sich auf eine zwei-
te Ausgabe. Nicht zuletzt weil, Zitat
Regierungsrat Jörg Schild: „für die
Freude und Begeisterung am Touch of
Scotland sicher die ferne Verwandt-
schaft zwischen den Highland Bagpi-
pes, Snare, Tenor und Base Drums mit
dem allgegenwärtigen Basler Trom-
meln und Pfeifen eine Rolle spielt“.
ZTPV Zentralschweizerisches Jungtambouren- und Pfeiferfest 02 26
Jetzt muesch heue, Tinu, heue!
Christine Rüegsegger
Nebel, Regen, Kälte. Erinnert uns ir-gendwie an Schwyz 01, nicht? Was ei-gentlich machen die Innerschweizer falsch, wenn sie ein Zentralschweizeri-sches Jungtambouren- und Pfeiferfest durchführen? Über 2 Jahre im Voraus hatte das OK unter der Leitung von Kurt Gisler ge-plant. Ganz Steinen, eine 2900 Seelen-Gemeinde, steht hinter einem solchen Grossanlass und unterstützt aktiv den TV Steinen und seine zahlreichen jun-gen Leute. In der Innerschweiz wird Freude und Förderung des Trommelns durch die Bevölkerung und Fasnachts-tradition vollumfänglich getragen. Früher hätten die Fasnachtsgesell-schaften den Narrentanz, welcher in Schwyz, Brunnen und Steinen jeweils auf eine andere Art getrommelt und getanzt wird, ohne Tambouren auf-geführt. So weiss ein älterer Herr aus Steinen zu erzählen. Durch den Wunsch der Fasnachtsgesellschaft, den Narrentanz mit Trommelklängen zu begleiten, sei denn auch die Idee zur Gründung des TV Steinen gekom-men. Eine gute Idee, wie es scheint. Der TV geniesst ein grosses Ansehen und ist in und mit der Bevölkerung be-reits fest verwurzelt.
So wundert’s niemanden, dass gegen 300 HelferInnen in ihren auffälligen, samstags gelben und sonntags blau-en T-Shirts, ständig im Dorf Steinen im Einsatz standen, nein liefen, um die Anweisungen des OK’s zu befolgen und so den 650 TeilnehmerInnen so-wie den vielen BesucherInnen ge-recht zu werden. Sie haben ihre Sa-che perfekt gemacht. Also daran lag es nicht. Und auch nicht an zu wenig Sponso-ren. Viele Gaben, u.a. Preise im Ge-samtwert von ca. Fr. 20'000, ermög-
lichten während beider Tage für alle Veranstaltungen Gratiseintritt. So wa-ren denn auch die Tambourenkon-zerte der Inf RS 205 aus Aarau und des TV Steinen hervorragend frequentierte Leckerbissen, im Vergleich zu den eher ernsten Wettspielvorträgen, wo man sicherlich auch gerne mehr Pub-likum zu Besuch hätte. Oder hatte Steinen keine Erfahrung? Nein, bereits zum zweiten Mal, nach 1979, wurde ein Festzelt gestellt, 14 Ju-rylokale eingerichtet, 624 Matratzen für Unterkünfte in Schulhausgängen, Turnhalle und Zivilschutzanlage her-angeschafft. Wurden in der Küche 350 kg Fleisch, 80 kg Kartoffeln, 60 kg Reis, 75 kg Spaghetti und 200 Brot-laibe zu wohlschmeckenden Mahlzei-ten verarbeitet. Das ganze Fest war optimal organi-siert. Gratulation. Dann ist es halt so, dass einzig der Bittbrief an Petrus nicht richtig formu-liert war oder gar nicht erst ange-kommen ist. Tipp: das nächste Mal per Einschreiben senden.
Hätte man der Wettervorhersage Glauben geschenkt, wäre bereits am Freitag klar gewesen, dass das JTPF 02 wieder ohne Festumzug würde aus-kommen müssen. Im hintersten Eck schwelgt immer ein wenig Hoffnung mit, leider vergebens. Einzig am Sams-tag gab die Sonne ein kurzes, wär-mendes Intermezzo. Gegen Abend deckte sich der Himmel wieder um nur noch Nasses zu lassen. Schade. Es wäre den jungen Tambouren und Pfeifern wirklich gegönnt, sie könnten
IHR Fest auch mal bei Sonnenschein abhalten. Die Stimmung liesse sich doch merklich steigern. Wird man sich für die nächsten Feste vielleicht ein originelles Schlechtwet-terprogramm ausdenken, woran die jungen Leute aktiv mitwirken dürften? Dies könnte beinhalten: Workshops, Gässlen im Festzelt, Jekami, Tambou-ren-Session, Pfeiferstücke texten und singen, Austausch der Sektionsleiter, Improvisationen, Schlaginstrumente basteln... Mädchen und Jungs, eure Ideen sind gefragt, bringt sie ein! Wenigstens konnten die teilnehmen-den Kinder und Jugendlichen an den Wettspielen Alles geben. Wobei die Nervosität ab einem gewissen Alter vielen ein Schnippchen schlägt. Einspielen, die Trommel nochmals „in die Mange“ nehmen, das Instrument schnell polieren und „duurebutze“. Dann ein paar Mitkonkurrenten be-obachten, bis man selbst auf die Büh-ne gerufen wird. Dort wird nervös auf den Füssen hin und her getreten, Hände an den Jeans trocken ge-rieben, Lippen wieder und wieder an-gefeuchtet, Gurt in die richtige Lage gebracht, obwohl er schon längst perfekt sitzt!
Jetzt aber los. „Achte auf den 5. Takt, nicht zu schnell, Vorsicht bei den 16-tel Noten, nicht auf die Trommel schauen aber auch nicht zu den Ju-roren, denk ans Piano, nicht schlep-pend, mit dem Bauch atmen...“ Wäh-rend knapp 2 Minuten soll man sich auf so viele Dinge konzentrieren.
27 Steinen 02 ZTPV
So kommt es, dass kaum jemand mit
sich selbst zufrieden von der Bühne
tritt. „Mischt, nid guet.“ Dem Kopf-
schütteln tönen aufmunternde Worte
von Betreuern und Eltern entgegen:
„Doch, doch, du hast halt...“ Erst nach
dem letzten Juryplatz kommt die Er-
leichterung und am Sonntag Abend
zeigt sich dann die ganze Wahrheit -
auf der Rangliste.
Nun ist klar, dass Ruprecht Martin den
herzigen 1-jährigen Stier mit nach
Hause nehmen darf. Ob Primel im
Garten genügend Auslauf haben
wird...?
Zuoberst mögen all jene stehen, wel-
che besonders „gut drauf“ waren, in-
tensiv geübt hatten, einfach mehr
Wettspielerfahrung haben oder viel-
leicht wenig mehr Glück und Talent
besitzen.
Gewonnen haben ALLE, nämlich ein
Quäntchen Selbstvertrauen, Stärke
und Mut.
Die ausführliche Rangliste ist unter
www.ztpv.ch zu finden.
Die Lagerleitung teilt Folgendes mit: Das STV-Juniorencamp dauert vom Freitag, 25. Juli bis Sonntag, 03. August 2003. Das Eintreffen der TeilnehmerInnen im Flablager in Gluringen ist ab 16.00 Uhr vorgesehen. Am 01. und 02. August sind zwei Konzerte im Wallis in Vorberei-tung. Am Sonntag, 03. August wird um 14:00 Uhr ein Konzert in Gluringen für die El-tern der LagerteilnehmerInnen sowie für die Bevölkerung von Gluringen statt-finden. Anschliessend an das Konzert wird das Lager beendet. La direction du camp communique ce qui suit : Le camp AST durera du vendredi 25 juillet au dimanche 03 août 2003. L'accueil des participant(e)s à l'em-placement du camp est prévu à 16h00. Deux concerts seront donnés en Valais les 01 et 02 août. Le dimanche 03 août à 14h00, un concert aura lieu à Gluringen pour les parents des parti-cipant(e)s au camp, ainsi que pour la population du village. Le camp sera clôturé dès la fin de cette présenta-tion. Les formulaires d'inscriptions sont envoyés aux sociétés.
Markus Estermann
Die Innerschweizer würden gerne „ihre“ traditionellen Fasnachtsstücke wie der Brunner, der Schwyzer, der Sattler oder Narrentanz im Wettspiel spielen. Doch diese, wie auch die meisten Basler Märsche / Kompositionen, sind nicht als Wettspielstück klassiert. Unter den Teilnehmern gibt es klare Favoriten:
In Steinen wurden in der Kat. S1 drei mal die Pfeifer Retraite, fünf mal der Binggis und 4 mal der Piccolino zum Besten gegeben. - Die Juroren der S2 allerdings mussten keine Wiederholungen hören. - In der Kat. T2 wurden 23 mal Walliser, 19 mal Wirbelmarsch, 11 mal Celanese, und immerhin noch je 10 mal Lollypop, Teenager und Basler Tagwacht geschlagen. - Die T1 liessen 14 mal Basel Nord, 13 mal Les trois B’s, 9 mal den Teenager und 7 mal Gremlins vom Fell rollen. - In der T3 und T4 (zusammen) wurden 39 (!) mal Pic-colino, 31 x Binggis, 15 x Marschtüfel und 13 mal Wirbelmarsch abgespult...
Wie ist Ihre Meinung zu diesem Trend? Was halten die Juroren davon? Was könnte man dagegen tun? Wurden nicht genügend einfache Stücke komponiert? Wie könnte man mehr Mut zu neuen Stücken machen? Gerne nimmt die Redaktion zu diesem Thema Antworten und Anregungen von Juroren und Wettspielern für die Veröffentlichung im nächsten Tambour Major entgegen. Darauf sind wir alle sehr gespannt.
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VV Veteranentagung 28
Die Delegierten wurden im
Hotel Toggenburg, Wildhaus, mit Kaffee und
Kuchen aufs Herzlichste empfangen.
Sepp Hauser
Eine gutgelaunte Schar von Vetera-ninnen und Veteranen mit ihren Le-benspartnern trafen sich am letzten Mai-Wochenende in Wildhaus zur Jah-resversammlung. Um 15.15 Uhr konnte VV-Obmann Re-né Walz mit 34 Kameradinnen, Ka-meraden, Gästen und Ehrengästen die Versammlung eröffnen. Die 11 Traktanden gaben Rechenschaft über die Aktivitäten, die Mutationen und die Rechnung des vergangenen Vereinsjahres. Sie informierten über In-teressantes aus dem Dach- und den Regionalverbänden. Schliesslich bo-ten sie einen Ausblick in die Zukunft. Zum neuen Sekretär wurde Rolf Müller Reinach gewählt. Die übrigen Vor-standsmitglieder wurden in ihren Äm-tern bestätigt. Sepp Hauser, der zu-rückgetretene Sekretär wurde zum Träger der goldenen Veteranenme-daille ernannt. Parallel zur Versammlung genossen die Begleitpersonen die Höhenluft auf
dem, leider etwas nebelverhangenen Gamplüt. Umrahmt von Darbietungen des Tam-bourenvereins Wildhaus, konnte René Walz beim anschliessenden Apéro, gespendet von Kamerad Marcel Bon-vin, an die 70 Teilnehmer zum gemüt-lichen Teil der Tagung begrüssen. Das vorzügliche Nachtessen im Hotel Toggenburg bildete den Einstieg zum bunten Abend. Das Trio Alpiger/Huser sorgte für Musik, Tanz und Unterhal-tung. Walter Keller und Max Klay wur-den beglückwünscht, weil sie in die-sem Jahr ihren 81. Geburtstag feiern konnten. Die Stimmung war hervorra-gend und manche Bande der Freund-schaft wurde geknüpft zwischen den Teilnehmern von Basel bis Schaffhau-sen und von Biel bis ins Wallis. Am Sonntag Morgen, nach dem Frühstück, mit oder ohne Kater, konn-te man etwas für die Bildung tun. Bei der Besichtigung des Zwinglihauses
lernten wir begreifen, warum Zwingli die Kirche reformiert hatte. Nach dem Spaziergang zum Reka-Zentrum war jedermann wieder soweit wach, um den Ansprachen beim Apéro, gespendet vom OTV und der Gemeinde Wildhaus, zu folgen. Erich Vetsch gab einen Einblick über die Tä-tigkeiten der REKA. Gemeinderätin Ruth Vetsch stellte Wildhaus vor und überbrachte die Grüsse der Gemein-de. Peter Schwarzer, Präsident des OTV dankte der VV für den Einsatz im Dienste unseres Kulturgutes und er-klärte, dass er sich darauf freue, bald selber Mitglied der VV zu werden. Der Kinderchor Grabserberg, genannt “Spatzenchor” umrahmte diese Ver-anstaltung mit einem abwechslungs-reichen Konzert bestehend aus Musik, Theater und Lieder die zu Herzen ge-hen. Die Freude der Kinder und ihrer Chor-Leiterin Frau Gantenbein am Sin-gen und Musizieren sprang über zum Zuhörer und manch einer wischte sich Freudentränen aus den Augen.
2002
29 Veteranentagung VV
All zu schnell verging die Zeit und nach dem Mittagessen musste man schon wieder ans Abschiednehmen denken. Beim originellen Dessert, Tog-genburger Schlurzifladen, verabschie-dete sich Obmann René Walz bei al-len Kameradinnen und Kameraden und bedankte sich bei allen Sponso-ren wie Marcel Bonvin, OTV und Ge-meinde Wildhaus, sowie Erich Vetsch und beim Tambourenverein Wildhaus, welche zum guten Gelingen dieser Tagung beigetragen haben.
L’Assemblée annuelle des Vétérans s’est déroulée en mai dernier à Wild-haus. Les délégués ont été accueillis le samedi après-midi à l’Hôtel Tog-genburg.
A 15h15, René Walz, président de l’Union des Vétérans, a ouvert la séance en présence de quelque 34 camarades, invités et conjoints. Les 11 objets à l’ordre du jour ont donné rap-port des activités, mutations, comptes de l’année écoulée et ont permis aus-si aux personnes présentes d’être in-formées de faits intéressants touchant l’AST et les fédérations régionales. Rolf Müller Reinach a été élu au poste de secrétaire. Les autres membres du Comité ont été reconduits dans leurs fonctions. La médaille d’or des Vété-rans a été remise à Sepp Hauser, le secrétaire sortant. Durant l’assemblée, les personnes accompagnatrices ont profité de l’air pur des montagnes sur les hauteurs du Gamplüt, malheureu-sement noyées dans le brouillard. A l’heure de l’apéritif gracieusement offert par le camarade Marcel Bon-vin, René Walz, soutenu par les presta-tions musicales de la section Tam-bours de Wildhaus, a souhaité une cordiale bienvenue aux quelque 70 participants. La soirée a débuté par un excellent repas à l’Hôtel Toggen-burg, en compagnie du trio Alpi-ger/Huser qui assurait musique, danse et divertissements. Walter Keller et Max Klay ont été félicité pour leur 81e anniversaire. Dans une ambiance formidable nombre d’amitiés se sont
nouées, de Bâle à Schaffhouse en passant par Bienne et le Valais. Dimanche matin, l’esprit plus ou moins clair, les participants se devaient d’entreprendre quelque chose pour leur culture et une visite dans la mai-son de Zwingli leur a permis d’approfondir les causes de la Ré-forme.
Après une balade au Centre REKA, chacun était à même de participer à un nouvel apéritif, offert par l’OTV et la commune de Wildhaus. A cette occasion, Erich Vetsch a donné un aperçu des activités de la REKA et Ruth Vetsch, conseillère communale, a transmis les salutations de la Com-mune. Peter Schwarzer, président de l’OTV a remercié l’UV pour son enga-gement au service de l’héritage culturel commun et affirmé qu’il se réjouissait d’en devenir membre pro-chainement.
Le “Spatzenchor”, chœur d’enfants de Grabserberg a égayé la manifes-tation par un spectacle varié, de mu-sique, de théâtre et de chant, qui al-lait droit au cœur. La joie exprimée par les enfants et leur responsable, Madame Gantenbein, a d’ailleurs ému plus d’un spectateur.
Le temps est passé trop vite et, le re-pas à peine terminé, il a fallu songer au départ. René Walz a pris congé des camarades présents et remercié les sponsors (Marcel Bonvin, l’OTV, la commune de Wildhaus) ainsi qu’Erich Vetsch et la section Tambours de Wildhaus, qui tous ont contribué à faire de ce rassemblement une belle réussite.
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2002
31 Communication AST
Egal was Sie bedrückt oder freut, schreiben Sie uns. Quoi que vous en pensez, écrivez nous.
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Passt auf, dass das Magazin nicht zu amtlich wird. Es sollen auch Themen für ein anderes Publikum wie Ehren-damen, Fähnriche etc. behandelt werden. Prenez garde à ce que le magazine ne devienne pas trop officiel. Des su-jets pour un autre public, tels que dames d’honneur, porte-drapeaux, devraient aussi être abordés. Peter Nydegger, Zürich
Vielen Dank. Wir werden unser Bestes geben. Merci beaucoup. Nous essaie-rons de faire au mieux. Die Redaktion. / La rédaction.
Wichtige Verbandsadressen
Adresses d’Association impor-
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Obmann STV-Technische Kommission Chef de la CT-AST Tambours Viktor Müller-Oppliger
Muttenzerstrasse 35
4127 Birsfelden 061 313 32 32
Obmann STV-Bläserkommission Chef de la CT-AST Fifres Daniel Rollier
Route de la Crottaz
1802 Corseaux 021 921 32 42
STV-Klassierungskommission Commission Classifications AST Hans Luterbacher Dorf
3532 Mirchel 031 711 52 33
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Les faits historiques de 1602
www.compagniede1602.ch
La nuit de l'Escalade
Charles Emmanuel ne rêve pas seu-lement de reprendre l'ancienne capi-tale de ses états en deçà des monts, il a également des vues sur le trône de France. Position qui conduit le roi de France Henri IV - bien que la paix ait été conclue par le traité de Vervins - à occuper la Bresse et à faire mar-cher (lentement) une armée en direc-tion du pays de Gex. Elle s'arrêtera à Châtillon-en-Michaille, à quelques lieues de Genève. Cependant tout le monde, et en particulier les Genevois, croit en la paix conclue, et comme la saison hivernale est peu propice aux opérations militaires, aucune mesure particulière n'est prise pour assurer la sauvegarde de la Cité. Et voilà qu'en pleine nuit, dans les premières heures du 12 décembre 1602, retentit sur le front de Plainpalais le bruit d'un coup de feu, suivi d'un second. Les assail-lants savoyards qui ont escaladé la muraille sont découverts.
La garde accourt au bruit, fait face ; le tocsin et, comme le relève la chro-nique, même la grosse cloche de la cathédrale appellent les citoyens aux armes. Tirés de leur sommeil, ces der-niers courent à leurs postes. Malgré de faux bruits, le lieu de l'attaque est identifié et la défense s'organise vic-torieusement.
Au matin, en découvrant que toute une armée s'était présentée sous les murs, chacun mesura pleinement le grand péril auquel il a échappé. Les quelques prisonniers savoyards, confir-mant que la ville devait être mise à sac furent ainsi passés au fil de l'épée. La Seigneurie de Genève s'empressa dès lors de communiquer à travers toute l'Europe la nouvelle de la «mira-
culeuse délivrance de la Cité». Celle-ci suscita beaucoup d'émotion; des témoignages de reconnaissance as-sortis d'offres de secours en tout genre parvinrent à Messieurs de Genève. Cet immense élan de solidarité et la pugnacité des Genevois, comme cel-le de leurs alliés, conduira les Sa-voyards à la table de négociation. La paix sera enfin conclue en 1603. Quatre siècles plus tard, la République de Genève, Ville et Mandements confondus, se doit de se souvenir sans aucune amertume des événements de la nuit dite de l'Escalade. L'échec de Charles-Emmanuel marque en ef-fet la fin d'une époque difficile, faite de tueries et autres exactions. Il per-met à la Ville et à toute la région ge-nevoise d'entrer sans heurts dans le siècle des lumières.
La Compagnie de 1602 et l’Escalade L'organisation annuelle de l'une des plus belles fêtes historiques d'Europe, n’est au bénéfice d'aucune subven-tion de la Ville ou de l'Etat de Ge-nève; elle est entièrement basée sur le bénévolat des membres de la Compagnie de 1602. Institution chère au cœur des Gene-vois et réputée largement au-delà des frontières suisses, la Compagnie de 1602, fondée en mars 1926 pour perpétuer la commémoration de l'Es-calade, constitue aujourd'hui la plus grande société historique de notre pays.
Avec plus de 2'500 membres, elle re-groupe des citoyens genevois et confédérés, de même que des étrangers au titre de membres sympa-
thisants, hommes, femmes, enfants de tous âges, sans distinction d’appar-tenance religieuse, ni politique. L'ensemble des activités - publica-tions, fabrication et entretien des cos-tumes, armes et accessoires - est au-tofinancé par des cotisations, des dons et la vente de produits spécifi-ques au moment de l'Escalade. La to-talité des effets et du matériel appar-tient à la société et est gérée dans son arsenal par des équipes de béné-voles tout au long de l'année. Chaque année au cours du week-end de l'Escalade (la date la plus proche du 12 décembre), grâce à l'engagement et aux prestations de la Compagnie de 1602 et de ses mille bénévoles, les Genevois commémo-rent cet événement avec chaleur et conviction aux cours de festivités tant populaires que spectaculaires.
Les différentes animations organisées sont l'œuvre de plus de 700 personnes costumées. Parmi elles, vous découvri-rez une imposante cavalerie (50 ca-valiers et une dizaine d'attelages) et des groupes d'hommes d'armes ef-fectuant des démonstrations uniques au monde. Des hommes, des femmes et des enfants, représentant les divers personnages ou métiers d'alors, sont le reflet authentique de la vie dans la Cité d'antan. De plus, la Compagnie de 1602 vient de reconstituer à l'an-cienne le Falco, une magnifique pièe d'artillerie, qui soit la seule existante de cette époque en état de tirer.
La commémoration, qui se veut solen-nelle et historique, se déroule autour de trois temps forts qu'aucun specta-teur ne voudrait manquer:
33 Traditionen STV
- un hommage aux victimes de la tra-gique nuit de décembre, soit un dé-filé réunissant
- un important contingent costumé et des représentants de l'ensemble des autorités politiques, judiciaires et ecclésiastiques genevoises;
- des animations importantes et des plus diverses sur tout le périmètre de la Vieille-Ville de Genève (marchés, tirs, duels, cavalcades, musiques, etc.) et visite de lieux historiques ou-verts uniquement à cette occasion;
- le cortège historique de la Procla-mation; qui réunit l'ensemble de l'ef-fectif costumé et équipé, sur un par-cours traversant toute la partie an-cienne de la ville et s'achevant au-tour d'un feu de joie sur le parvis de la cathédrale Saint-Pierre.
Souvent qualifiée - à tort - de fête na-tionale genevoise, la commémoration de l'Escalade connaît année après année un engouement populaire qui ne se dément pas.
Dans un cadre somptueux, plus de 80'000 spectacteurs se déplacent malgré les frimas hivernaux pour ad-mirer cette reconstitution historique, véritable fresque magique pour petits et grands. Vous aussi, participez à la plus importante reconstitution histori-que d'Europe. La Compagnie de 1602 vous invite à revivre avec ses membres l'ambiance unique de ces hauts faits qui font par-tie du patrimoine de la Genève d'au-jourd'hui.
Die Kompanie von 1602 und
die "Escalade".
Die jährliche Organisation eines der schönsten historischen Feste in Europa erhält weder vom Staat Genf noch von der Stadt finanzielle Unterstüt-zung. Sie ist vollständig auf Basis der freiwilligen Teilnahme der Mitglieder der Kompanie von 1602 gestützt. Diese Institution ist weit über die Schweizergrenzen bekannt und ist den Genfern lieb und teuer. Die Kompanie 1602 wurde im März 1926 gegründet um die Erinnerung an die "Escalade" zu verewigen. Sie ist heute der grösste historische Verein der Schweiz und zählt über 2'500 Mit-glieder. Er setzt sich sowohl aus Gen-fer- sowie anderen Schweizerbürgern zusammen. Männer, Frauen, Kinder, Ausländer und gleichgesinnte Mitglie-der jeden Alters, ohne Rücksicht auf politische oder religiöse Zugehörigkeit bilden den Verein.
Alle Kosten für die Aktivitäten werden selbst übernommen, z. B. die Publika-tionen, die Anfertigung und Pflege der Kostüme, Waffen und Zubehör. Den Verkauf von spezifischen Produk-ten während der "Escalade" sowie Bei-träge und Gaben ermöglichen diese Selbstständigkeit. Das ganze Material gehört dem Verein und wird im Zeug-haus das ganze Jahr hindurch verwal-tet. Jedes Jahr während des Wochen-endes der "Escalade" (es ist immer dasjenige das dem 12.12. näher ist) können die Genfer dank des Einsatzes und der Leistung der Kompanie 1602 und der tausend Freiwilligen an die-sem Ereignis Überzeugung und Warm-herzigkeit spüren. Die verschiedenen eindrucksvollen volkstümlichen Festlichkeiten sind das Werk von über 700 verkleideten Per-sonen. Sie werden auch eine impo-nierende Kavallerie sehen (50 Kava-liere und eine Anzahl Gespanne) so-
wie Gruppen bewaffneter Männer die einzigartige Demonstrationen zeigen. Männer, Frauen und Kinder stellen die verschiedenen Persönlichkeiten und Berufe der damaligen Stadt dar, wie sie in Urschriften beschrieben sind. Die Kompanie 1602 hat das ehema-lige "Falco", eine wunderschöne Ka-none, wieder herstellen lassen. Sie ist die einzige aus dieser Epoche mit der man schiessen kann. Oft zu Unrecht wird die "Escalade als Genfer Nationalfest eingestuft. Die Gedächtnisfeier der Escalade findet von Jahr zu Jahr eine steigende Volks-tümliche Begeisterung. Trotz des kalten Winternebels kommen über 80'000 Zuschauer, um dieses his-torische Ereignis in prächtigem Rah-men zu bewundern. Die Kompanie 1602 und seine Mitglie-der laden Sie ein, die unvergleichliche Stimmung dieser Waffentaten, die zum Erbteil des heutigen Genf gehö-ren, zu erleben.
Programme 12.-15.12.2002 Détails: www.compagniede1602.ch
Jeudi Départ de plusieurs cortèges dans le Vieille Ville
Aubade et présentation d’un nouveau morceau
écrit par M. Willy Blaser
Vendredi Cortège hom-mage aux victimes
Samedi Animation dans tout la Vieille-Ville
Dimanche Animation musi-cale dans la Vieille-Ville
Grand cortège avec 890 figurants et 37 cavaliers
STV-AST Tambour Major 2002
6 0 0 S E M I N A R E U N D L E H R G Ä N G E
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Berufs- und höhere Fachprüfungen
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